Le château des horreurs
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La pluie battait fort dans cette soirée d’été sur cette route isolée. La pluie était cependant chaude. Mes deux filles et moi étions épuisées car on s’était perdues au cours de cette randonnée en montagne. Enfin j’aperçus les phares d’une voiture. Je me levai toute mouillée pour faire signe, mon tee-shirt me collait et devait dessiner mes courbes et mes seins aux tétons dressés par la fraîcheur, ma petite jupe me collait aux fesses. Le conducteur allait avoir une surprise de trouver en ce lieu trois femmes épuisées demandant du secours.
C’était en fait une camionnette conduite par une femme qui s’arrêta aussitôt en nous voyant.
Nous ne devions pas être trop belles à voir toutes les trois avec cette pluie qui nous avait surprises et mouillé nos vêtements légers.
I - LA RENCONTRE
La blonde, très jolie, sortit aussitôt pour ouvrir les portes du véhicule. Je remarquais dans son dégagement gracieux de son siège ses jambes superbement galbées, elle portait des hauts talons vernis noirs avec un tailleur noir très strict mais chic dont la jupe droite courte mettait ses courbes en valeur.
« Venez, dit-elle, j’habite avec des copines dans un château à quelques kilomètres »
Je ne demandais pas mon compte et acceptais trop heureuse de trouver de quoi nous abriter et nous changer.
Je ne savais pas que cela allait changer notre vie à moi et mes deux filles et nous retrouver prisonnières pour les vingt années suivantes dans ce château.
Depuis après notre dressage nous avons été vendues comme esclaves depuis quelques années, moi et mes filles, dans un marché aux esclaves blanches à un maître.
Notre nouveau maître est très exigeant. Nous sommes continuellement enchaînées jour et nuit sauf en quelques circonstances définies par notre maître.
Les lèvres de nos sexes et nos clitoris ont grossi ainsi que nos seins qui ont augmenté de volume pendant notre captivité à la suite de tous nos supplices et sévices sexuels. Nous faisons maintenant du 90 C et nos longs clitoris dardent fièrement comme des petites bites quand nous nous préparons à la torture.
J’étais si pudique avec mes filles avant notre captivité. Maintenant nous n’avons plus de pudeur à la suite des traitements qui nous étaient infligés nues et épilées. Je connais toute l’intimité de mes filles et elles aussi. Elles savent me déclencher des orgasmes foudroyants qui me raidissent le corps pour le plus grand plaisir de mon maître et des hommes.
Nos bras sont déformés par les monogants que nous avons portés de longues années, coudes serrés dans le dos et mains liées ensemble avec collier de soumission et souvent bâillon boule pour étouffer nos cris.
Les corsets portés depuis des années nous ont affiné nos tailles et effacé nos ventres.
Mais au prix de douleurs infernales. Mes filles et moi nous nous tordions sur le sol de notre cellule à chaque resserrage. Aucun répit ne nous a été accordé la première année jusqu’à ce que Pamela juge nos tailles, nos seins et nos fesses à son goût.
Je dois dire que le résultat a été atteint et nous étions devenues trois belles salopes, aux seins généreux et saillants avec une taille fine et des fesses rebondies.
Notre vente au marché aux esclaves a rapporté beaucoup d’argent à Pamela car beaucoup voulaient nous avoir ensemble.
Il faut dire que Pamela nous avait écartelées nues sous des portiques afin d’offrir nos corps et nos charmes aux regards des acheteurs très excités.
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