17- Les transformations de la pièce 69
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// Histoire de modification d’une soumise en objet sexuel. Le lecteur attentif remarquera que les situations décrites dans ce récit ne correspondent pas à la réalité. Dans la réalité, la soumission est entièrement consensuelle et doit le demeurer même quand lorsque les soumis(e)s acceptent de se faire humilier, torturer, modifier, marquer, enchaîner.... //
Après ces terribles épreuves, 69 fut gardée allongée sur un véritable lit plutôt que dans son box, étroitement surveillée par une femme qu’elle ne put jamais voir car on lui gardait toujours les yeux bandés. Mais sa présence, sa voix, ses gestes finirent par faire passer le choc des tortures subies. On lui libéra la bouche en désamorçant le mécanisme qui bloquait ses mâchoires et cette simple manœuvre finit par convaincre 69 qu’après tout il y avait peut-être un chemin de retour vers son humanité, qu’elle cesserait d’être cette poupée malgré la transformation de ses lèvres qui l’empêchait de parler distinctement. D’ailleurs, elle n’essayât même pas de parler. Avoir retrouvé sa bouche fonctionner normalement était un bénéfice : elle put librement manger et boire… bref, faire autre chose que sucer un sexe masculin réel ou artificiel. La femme lui expliquât de sa douce voix qu’elle avait été très brave et qu’elle avait gagné ce droit au repos. Elle l’aidait à boire et manger, lui pansait ses plaies, notamment celles de ses fesses profondément striées par le fouet. Elle l’embrassait aussi et en s’approchant d’elle, 69 pu sentir le latex qui recouvrait la peau de cette infirmière un peu particulière.
Elle-même était toujours nue dans son lit, attachée par des chaînes courtes mais suffisamment lâches pour bouger ses mains. Petit à petit, comme elle s’en doutait, elle se rendit compte qu’elle n’avait pas la possibilité de se lever du lit et que ses anneaux aux pieds étaient reliés probablement à une barre du lit, l’empêchant de les poser à terre. D’ailleurs elle aurait été bien en peine de le faire : ses pieds étaient tendus en pointe dans une sorte de dispositif, un « entraineur de pieds » qui empêchaient de bouger ses pieds et les gardait toujours tendus dans le prolongement de la jambe. Elle se souvint de son amant qui lui avait expliqué que, même au repos, ses pieds devaient être dans la même position que dans les bottines à talons qui lui tendaient les pieds comme des pointes de ballerine. Il avait même parlé de l’opérer pour lui raccourcir les tendons. Mais cette menace ne fut pas mise à exécution (encore ?) : la position permanente forcée par les bottines ou ce dispositif ingénieux était bien suffisants et elle doutait même de sa capacité à marcher sans talons après tant de temps perchée sur ses talons.
Dans les soins prodigués par son infirmière en latex, elle ne fut pas étonnée de l’attention quasi-permanente qu’elle portait à son entre-jambe. Sur le lit, pendant l’une des séances de soins de ses fesses, l’infirmière enfonça délicatement un nouveau gode anal, moins douloureux que tout ce qu’elle avait eu à accepter à ce jour mais aussi plus étrange. Elle ressentait sa présence avec insistance, peut-être à cause du manque d’autres tourments sur son corps… Le gode avait une forme inhabituelle : sa poire anale en métal, extrêmement lourde, avait un diamètre important rendant son introduction et son retrait douloureux mais par contre, la partie qui émergeait était fine et presque impossible à sentir, surtout pour un anus aussi souvent violé, martyrisé et écartelé. Une sorte de crochet suivait l’entre-jambe du trou anal vers son sexe qui se divisait dans l’entre-jambe en deux bras métalliques lesquels s’appuyaient sur ses lèvres, en les écartant et en même temps en s’enfonçant partiellement dans le vagin. Cela lui écartait les lèvres et ouvrait son sexe mais produisait une sorte de gêne permanente dans le vagin et entre son anus et son vagin… L’ouverture permanente de son trou primaire, comme le nommait ses bourreaux, la desséchait de manière désagréable. Mais son infirmière lui mettait un gel qui permettait de protéger ses muqueuses mais aussi la rendait plus accessible… pensa-t-elle. A tort, car personne ne lui enfonça quoi que se soit ni ne profita de cette ouverture rendue aussi visible qu’accessible. Une autre effet étrange de cet engin est qu’elle écartait en permanence ses cuisses pour ne pas ressentir les deux barres métalliques dans son périnée.
Une fois équipée de ce gode anal, on l’obligea à marcher dans la pièce, toujours munie de sa cagoule, toujours aveugle... LIRE LA SUITE
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