Julie et Mme Christine

jeudi 1er juin 2017
par  FRANKIE
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Se veut une suite fantasmée aux 3 agréables récits de Fréderic datés de 2007 et 2008
NB : J’ai écrit ce 4° récit que j’ai intitulé « Julie et Mme Christine », l’année dernière après avoir relu les récits de Fréderic, et la lecture de ceux-ci m’avaient amené à fantasmer la suite ci-dessous ; mais bizarrement j’avais zappé la 4° partie du 3 ° récit du Fréderic, tout aussi intéressant, dont le début est la sortie de la galerie d’art !
Aussi je suggère à Christine de garder le récit ci-dessous, déjà publié sous la dénomination « Julie » ; fantasmé d’une manière différente, mais plus étoffé que celui de Fréderic, et plus en cohérence avec le récit que je suis en train de finir « Julie et Laure et leurs 2 maitresses » Merci

Julie et Mme Christine

Christine et Julie sortent de la galerie d’art, véritablement excitées toutes les deux, Julie appréciant beaucoup le fait que Christine lui masse doucement les fesses en marchant. C’est de cette manière qu’elles rejoignent la place où est garée la voiture de Christine ; il est presque onze heures, donc les rues sont désertes. Arrivées à la voiture, Christine donne l’ordre à Julie de se tenir droite devant elle, puis elle lui enlève sa robe noire ; Julie se retrouve nue en pleine rue mais ne se rebelle pas, car toujours excitée et s’étant rendue compte qu’il n’y avait personne aux alentours, hormis bien sûr le clodo en train de cuver son vin et complétement endormi. Une fois nue, Christine lui ordonne de rester bien droite en mettant ses mains sur la tête, car elle venait d’apercevoir dans l’allée éclairée un petit groupe de personnes sortant elles aussi de la galerie, cela pour leur faire voir qu’elle était avec sa soumise, et donc de ne pas être étonnés d’un tel spectacle, d’autant plus attirant pour des personnes venant d’admirer des statues nues et dans des positions suggestives. Quand elle se rendit compte de l’arrivée de ces personnes près d’elle, Julie se con-tenta de détourner la tête pour ne pas être reconnue, mais resta dans la position exigée par Christine, puisqu’elle lui avait promis de lui obéir pour ce soir, et toujours excitée au souvenir de ces statues dans la galerie.
Une fois les promeneurs passés, Christine ouvrit la portière arrière droite et prit sur le siège des couches pour bébés, et entreprit de les mettre à Julie, en lui faisant lever les pieds ; Julie ne s’était pas rendu compte que Christine lui mettait des couches-culottes, pensant, « un peu pompette » que c’était un string ; ce n’est que lorsque celle-ci voulut lui les attacher à la taille, qu’elle se rendit compte de sa méprise ; elle commença alors à refuser, disant à Christine qu’elle n’était plus un bébé ; celle-ci voulut lui expliquer que c’était un principe de précaution car sa chatte étant complétement humide depuis au moins 2 heures, elle ne voulait pas qu’elle salisse les sièges de sa voiture ; mais Julie n’en avait que faire et commençait à élever la voix ; Christine lui donna une gifle pas trop forte et lui rappela sa promesse d’obéissance ; mais rien n’y fit, Julie élevait la voix de plus en plus forte, et voulait enlever ces couches ; Christine, lasse de cette révolte, attira à elle Julie, et celle-ci toujours nue au bord du trottoir, elle lui infligea une vingtaine de claques sur les fesses, pas trop fortes pour ne pas réveiller le monde des immeubles, et en lui disant que ce n’était qu’un acompte pour une punition plus sévère qu’elle aurait quand elles seraient arrivées dans la maison de Julie, lui redisant encore une fois qu’elle avait promis d’obéir. Cette dernière arrêta de gigoter, enfin soumise, ce qui permit à Christine de lui mettre correctement ses couches culottes, puis de la porter dans ses bras pour l’installer dans un siège bébé pour grands enfants posé sur le siège arrière, et lui mettre sa ceinture de sécurité ; au début Julie eut des velléités de réagir mais le regard noir de Christine la dissuada ; Cette dernière lui mit une couverture sur la poitrine pour pouvoir la conduire chez elle sans crainte d’être arrêtée pour offense à la pudeur. Et avant de monter à l’avant sur le siège conducteur, elle prit Julie dans ses bras en lui donnant des caresses et des baisers sur la bouche et en lui disant gentiment : « voilà mon bébé, je suis sûre que tu es bien maintenant ; pardonnes-moi, mais c’est la seule solution que j’avais pour te ramener chez toi si je ne voulais pas salir les sièges ; heureusement que j’avais ces couches pour bébés, ce sont celles que j’ai utilisées avec d’autres soumises, puisque nous avions laissé ta culotte au salon de beauté ; je pense mon bébé que tu vas te sentir mieux maintenant dans ce siège qui est confortable, puisque tu n’es pas d’une grande corpulence ; dis-moi simplement mon bébé, quand je t’appelle comme cela, est-ce que cela te blesse ? Pour moi c’est une appellation affectueuse due à notre différence d’âge, mais je n’oublie pas que depuis 2 jours nous sommes de véritables amantes, et que nous avons eu du plaisir à nous manifester notre amour de différentes façons ; et ce n’est pas fini parce que nous allons finir la soirée chez toi, et même la nuit si tu en d’accord ; dis- moi amour de bébé, t’ai-je fait du mal ? »
Julie, depuis qu’elle avait entendu Christine lui parler de soumise, et lui dire qu’elle ferait une bonne soumise, commençait à se demander si en fait cette vénération qu’elle avait développé envers Christine depuis quelques jours ne l’amenait pas à une attitude de soumise, soumission acceptée de son plein gré dès le jeudi soir quand elle la laissait faire ce qu’elle voulait faire d’elle sans réagir, subjuguée par « les doigts magiques » de celle qui était devenue en une soirée seulement son amante ; et cette manière d’être appelée « mon bébé » et d’être traitée comme tel, est-ce que ce n’est pas agréable et doux aux oreilles ; en fait la réaction première de tout-à-l ’heure, c’est dû au souvenir de sa mère qui était autoritaire et qui l’avais traité comme un bébé assez tard, jusqu’au jour où heureusement son père était intervenu et avait demandé à sa mère de la considérer comme une fille de son âge !
Donc depuis la sortie de la galerie d’art, Julie avait toutes ses idées qui la travaillaient, aussi quand Christine lui demanda si elle l’avait blessée,
Elle lui répondit : « non mon amour, tu ne m’as pas fait de mal ; que tu m’appelles « mon bébé » ou encore mieux « mon amour de bébé », j’en suis très heureuse, de ces paroles dites par toi ; si j’ai mal réagi tout-à-l ‘heure, c’est à cause du souvenir de ma mère qui m’a traitée trop longtemps comme un bébé, mais ce mot dis par toi, il est exquis à entendre, et même si tu veux me traiter de temps en temps comme un bébé quand nous sommes toutes les deux, tu le peux ; tout-à-l ‘heure quand tu m’a soulevé dans tes bras pour me transporter dans ta voiture, j’ai adoré, et si je n’étais pas un peu « givrée », je crois que je me serais mise en position pour téter comme un bébé. Oui allons vite chez moi maintenant pour passer une soirée et même une nuit exquise, et lors de nos débats amoureux, je serais heureuse que tu me fasses profiter d’une tétée ! »
Ravie d’entendre tout cela, Christine s’empressa de monter dans sa voiture et démarra rapidement après s’être fait mentionnée par Julie son adresse qu’elle ne connaissait pas encore, et avoir pro-grammé le GPS, cette dernière n’étant pas en état pour l’orienter correctement !
Arrivées à destination, Christine demanda à Julie si elle pouvait stationner pas trop loin de l’entrée de l’immeuble, et s’il y avait du monde dans cet immeuble ; devant les réponses de Julie, elle estima qu’il leur fallait être discrètes ; elle descendit de voiture, rejoignit Julie toujours installée comme un bébé, détacha sa ceinture de sécurité et lui mit un imperméable qu’elle boutonna soigneusement de façon à ce que personne ne voit les couches culottes ; et elles entrèrent dans l’immeuble comme deux personnes qui vont passer la soirée ensemble gentiment.
L’ascenseur les conduisit au 6° étage, où se situait l’appartement de Julie et Guy. Après une re-cherche laborieuse des clefs dans son sac, Julie ouvrit la porte et invita Christine à entrer ; Cette dernière, aussitôt à l’intérieur, s’approcha de Julie, lui enleva son imperméable et lui ordonna : « tu gardes les couches culottes pour l’instant ! », puis d’un ton radouci : « alors tu me fais faire la visite du propriétaire ? ».
« Bien sûr, mon amour, tu es comme chez toi ici ; viens, je vais te faire découvrir notre futur nid d’amour ! ». Julie, restée toujours subjuguée par l’aura de Christine, parlait beaucoup sans réfléchir, mais pour Christine, c’était du pain béni car elle voyait que le piège échafaudé avec Corinne se refermait lentement mais sûrement.
Julie lui indiqua donc : » De chaque côté de ce grand couloir, tu as d’abord à gauche une cuisine puis un séjour salle à manger, et à droite notre chambre à Guy et à moi , puis 1 chambres d’amis et la salle bains avec les toilettes ; mon homme étant souvent absent, on ne peut guère inviter des amis ou des connaissances pour un week-end, et donc cette chambre sert peu, mais chaque lit a déjà des draps et des couvertures ; donc pour cette nuit, si tu en d’accord, nous pourrons dormir dans cette première chambre. »
La visite finie, Christine reprit les rênes et intima l’ordre à Julie de se placer droite devant le mur qui est face à la porte d’entrée ; puis, cette dernière une fois en place, elle s’approcha d’elle, lui enleva doucement les couches culottes en lui déclarant : « viens, mon bébé, que je t’enlève ces couches que tu as appréciée, et qui ont évité de salir un siège de voiture ; regarde, sens et hume cette couche, tu te rends compte qu’elle est toute humide à cause de ta chatte qui coule, lèche le fond de cette couche, tu reconnais bien ton odeur ! « et elle continua en passant ses doigts sur la chatte de Julie pour lui faire voir combien elle était encore toute mouillée, et elle lui fit lécher ceux-ci.
Julie acquiesça : « vous aviez raison, Madame, si je ne vous avais pas laissé faire, j’aurais toute inondée vos sièges ; si vous le pensez nécessaire, je vous demande de me punir de ma désobéissance première ; comme cela j’apprendrais à mieux vous obéir ! »
Christine était de plus en plus aux anges : « l’emploi du mot, Madame,
qu’elle lui avait donné au début, c’était le prélude au mot qu’elle aurait bientôt à utiliser « Mai-tresse » ; et de plus l’acceptation spontanée d’une première punition !
Christine lui répliqua : « comme tu me le demandes de toi-même, je vais te donner une punition, mais d’abord vas à la salle de bains et tu me ramènes un gant de toilette avec du savon. »
Julie obtempéra à l’ordre reçu, et revint vers Christine et lui tendit ce qu’elle avait demandé ; la-quelle s’en servit pour bien nettoyer la chatte et les seins de sa soumise avec du savon puis les rinça tous les deux , en se servant de l’eau qui était dans la petite cuvette que Julie avait eu l’idée de lui apporter ; Puis Christine lui dit de se remettre devant le mur, alla elle-même au bout du couloir, et donna l’ordre à Julie de se mettre à quatre pattes, et de venir tranquillement jusqu’à elle , en tortillant un peu des fesses. Arrivée au bout du couloir, Christine se pencha vers elle, lui caressa le visage, sortit un sucre de sa poche, et le fit manger à Julie en lui disant tout bas : « mange mon amour de bébé, c’est une récompense, c’est celle qu’une maitresse donne à son animal de compagnie, en général une petite chienne quand elle a bien obéi, ou quand elle fait bien « la belle » ; tu sais, mon bébé, je pense que tu ferais une bonne petite chienne, très obéissante.
Bien, maintenant je vais te donner la punition promise. » Puis Christine s’assit à la cuisine, fit venir Julie, la fit se mettre en travers de ses genoux Lire la suite




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