l’esclave qui se découvre
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Sabrina après avoir été rasée reçut comme instruction de nettoyer l’appartement et le couloir, elle fut équipée pour cela d’une chaîne d’une 50aine de cm entre les poignets, Cindy termina son installation en retirant sa queue et en la remplaçant par un crochet anal qu’elle relia bien tendu à la chaîne de son cou. Elle devait à présent se tenir bien droite sous peine de grosse douleur. Elle lui montra ou était les produits et la prévient qu’elle allait faire des courses et que tout avait intérêt à être propre à son retour.
Sabrina compris très vite qu’elle allait souffrir en nettoyant, car au moindre mouvement de son corps le crochet lui procurait de vives douleurs, la première fut quand elle voulut s’accroupir pour prendre les produits, la douleur fut si vive qu’elle se lança en arrière, retombant sur son cul ce qui lui fit encore plus mal. Après plusieurs essai, elle comprit qu’il y avait plusieurs possibilités, plier les jambes en restant le dos droit, mais en se relevant elle avait tendances a légèrement plier le dos, ou alors se pencher en gardant les jambes droites et les écartés pour aller plus bas, c’était indécent mais pas le choix … Elle commença par faire la vaisselle , puis décida de bouger les chaises et les quelques petites choses qui étaient au sol avant de faire le nettoyage du sol, en nettoyant le couloir elle était à l’affut de chaque bruit.
Quand Cindy rentra, elle eut en premier la vue indécente du cul de son esclave penchée pour nettoyer les w.c., Sabine sursauta en entendant du bruit mais Cindy lui dit de ne pas bouger, ce qu’elle fit bien entendu. Elle entendit alors un « oh mon dieu » mais n’osa pas regarder, elle resta figée et Cindy lui dit qu’elle n’était pas là pour rêver, ce à quoi elle répondit « oui Maîtresse ».L’autre voix lui dit alors qu’elle avait bien maté cette pétasse, puis ils avancèrent dans l’appartement. Cindy lui dit en passant que dès qu’elle aurait fini les w.c., elle a les courses à aller chercher devant la porte en bas. Ce à quoi elle répondit oui Maîtresse avec l’angoisse qu’elle allait devoir descendre ainsi. Mais se retint bien de faire une remarque qui lui aurait valu une fameuse correction. Elle descendit donc tant bien que mal avec son attirail, une fois en bas elle vit plusieurs paquets, dont un sac de croquettes pour chien, elle regarda vite les autres paquets et vit que deux d’entre eux contenaient des produits frais, elle commença donc par monter ceux-là… en arrivant dans l’appartement, elle vit la personne qui accompagnait sa Maîtresse et reconnut une des filles de l’école qu’elle n’aimait pas du tout. Elle continua sans rien dire et se dirigea vers le frigo quand elle fut interrompue par sa Maîtresse lui demandant si elle n’avait pas d’éducation… elle lâcha ses paquets et alla saluer sa Maîtresse comme il faut puis voulut embrasser caroline qui était à côté d’elle mais sa Maîtresse l’attrapa, par la chaîne reliant son cul à son cou, et lui dit de la saluer comme il faut , qu’elle avait plus de copines et qu’elle devait le respect à toute personne plus importante qu’elle, elle rajouta que si elle voyait un cafard elle devrait pas le saluer. Ce qui lui tira les larmes
Après avoir salué, elle reprit sa tâche, en rangeant les courses, offrant un spectacle humiliant pour elle en montrant de par sa position son sexe et son cul grand ouvert. Sa Maîtresse lui dit que la position qu’elle employait pour ranger sera la seule autoriser pour elle et que sans permission interdiction de plier ses jambes… que de toute façon la pudeur c’était finis pour elle . Elle était mortifiée d’attendre cela et ses larmes coulèrent toutes seules, elle réussit à répondre entre deux sanglots « oui Maîtresse ».elle repartit chercher les derniers sacs, en entrant sa Maîtresse lui dit de mettre les croquettes pas loin de sa gamelle cela sera plus simple. Caroline eut un large sourire en voyant sa mine défaite. Quand elle eut finis de tout ranger, elle dut leur faire à manger et les servir, pendant qu’elles mangent, elle dut attendre les jambes largement écartées et les mains derrière la tête, sa Maîtresse avait apporté sur la table une boite de pinces à linge et elles s’amusaient toutes les deux à les mettre un peu partout sur son corps, Caroline lui en mis aussi une sur la langue, puis lui posa pleins de questions humiliantes, Sabrina essaya de son mieux de répondra mais avait dur avec la pince et en plus bavait énormément. Caroline prit des photos, pour les montrer à ses amies, car sa Maîtresse voulait que tout le monde sache son statut, ce qui mortifia Sabrina. Sa Maîtresse s’en rendit compte et lui confirma que plus personne aurait un doute qu’elle n’est plus qu’une esclave, que dès que possible elle portera un collier en acier fixer à son cou. Et que de par son statut il lui est désormais interdit de tutoyer une personne. Sabrina posa la question pour ses parents et sa Maîtresse lui dit que cela dépendra d’elle, que cela se mérite. Elles enlevèrent ensuite chaque pince en frappant avec une cravache même celle de la langue, elle dut ensuite toutes les ramasser sans se plier, avant de débarrasser la table. Une fois fais sa Maîtresse lui remplit sa gamelle qu’elle dut vider devant eux, elle eut encore quelques haut-le-cœur mais cela allait.
Après son repas, elle dut faire la vaisselle avant de rejoindre les filles dans le salon, sa Maîtresse lui retira ses chaines aux poignets et le crochet anal mais lui laissait sa chaîne au cou. Elle dut ensuite enlever les baskets de Caroline et ses chaussettes, en sentant l’odeur elle voulut se reculer, mais un simple regard de sa Maîtresse lui fit comprendre qu’il ne valait mieux pas. Elle du ensuite lui lécher les pieds et eut toute les peines du monde à ne pas avoir de haut-le-cœur ni de mauvais reflex, elle s’appliqua malgré tout pour lui lécher les pieds comme il faut en y mettant tous son cœur pour rendre fière sa Maîtresse. Elle lui lécha les pieds quasi toute la soirée et en avait mal à la langue, elle fut autorisée à passer à la toilette, avant d’être enchaînée pour la nuit, les poignets furent liés par une chaîne et cette chaîne, cadenassée à celle du cou de façon à ce qu’elle ne puisse pas se caresser pendant la nuit… sa Maîtresse la traîna ensuite sur la terrasse et la mit dans une cage qui s’y trouvait et lui jeta une petite couverture. Elle était là juste dissimulée derrière de fins bambous mis sur la barrière de la terrasse, elle était sûre que si quelqu’un regardait bien il la voyait derrière.
Elle ne dormit pas beaucoup à cause du froid et de la position inconfortable, sa Maîtresse vint la chercher assez tard car le soleil était déjà haut, elle lui permit heureusement directement d’aller à la toilette. Caroline ne semblait plus être là, elle avait surement dû partir tôt ce matin se dit-elle mais ne demanda rien. Sa Maîtresse lui annonça que comme elle l’avait décidée elle serait aujourd’hui marquée et percée , qu’elle aurait sa soumission dans la peau, elle lui demanda ce que cela serait mais eu une gifle en retour lui disant qu’elle n’avait pas à savoir et qu’elle le découvrira bien. Elle se tenait toujours la lorsqu’on toqua a la porte, elle l’envoya ouvrir sans se préoccupé de sa tenue, en ouvrant elle découvrit un livreur de pizza qui fut surpris d’être accueilli ainsi LIRE LA SUITE
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