Mari ou Maître ?
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Audrey est assise dans le fauteuil de la chambre matrimoniale quand Carine y pénètre comme chez elle, sans même avoir frappé avant d’entrer.
Sa tenue surprend : un boléro de cuir bleu marine très moulant, tout comme le pantalon de même matière dont la couture semble pénétrer le sexe.
Carine s’approche d’Audrey à toucher ses genoux, lui dit d’une voix sévère :
— Quand j’entre dans un lieu où tu m’attends, tu dois te lever.
Audrey rétorque :
— Ah bon ?
— Tsss… Tsss… Debout, présente-moi tes fesses. Ton mari m’a dit que tu dois avoir un plug.
Audrey ravale la protestation qui allait jaillir, explique :
— Je ne savais pas que je devais le porter en son absence…
— Je constate qu’une mise à jour est nécessaire. Conduis-moi à la chambre des punitions.
Audrey contourne Maîtresse Carine, reçoit une claque solide sur les fesses, se retourne pour protester, n’en a pas le temps :
— Je constate que je dois aussi t’apprendre la façon de te tenir. Allez… tiens-toi droite !
L’ordre est ponctué d’une nouvelle claque sur les fesses d’Audrey. Une soudaine envie la prend de se tourner et gifler la visiteuse, mais la puissance qu’elle a sentie dans la claque délivrée par cette petite main souple et fine, l’en dissuade.
Le changement radical qui s’est opéré en elle depuis la fessée de la veille donnée par son époux la rend plus malléable, voire soumise. Déteste-t-elle cela ? Pas sûr. Obéir à une si jeune femme ? Après tout pourquoi pas puisque son mari semble l’avoir décidé ? De plus, sans que rien ne l’eût laissé prévoir ni même augurer, Audrey sent une excitation nouvelle sourdre au fond d’elle-même.
Comme elle pénètre dans la chambre devant Carine, son cul est claqué par deux fois avec :
— Je constate qu’il est nécessaire de t’apprendre la politesse.
Audrey bafouille :
— Mais… je suis… chez moi…
— Justement… Nous allons tout mettre à jour… immédiatement.
Carine ferme la porte, met une main sur le cou d’Audrey, l’entraîne dans un demi-tour, si bien que les deux femmes sont face à face, corps contre corps.
Sans préavis, Audrey se retrouve plaquée contre Carine qui lâche son cou et la ceinture alors que des claques anarchiques s’abattent indifféremment sur ses deux fesses. La petite main n’épargne aucune place de la chair nue qui rougit très vite sous la puissance des claques.
Audrey se met à trépigner après une dizaine de claques, se demande comment une si petite main peut lui faire autant mal :
Asssssssez !... Pluuuuuuus !... Aaaaaaaye !... Mad… Maîtressssssse !...
Carine, sans interrompre la distribution des gifles sur les fesses musclées, répond :
— Tu dois être polie, passer après moi sauf devant un ascenseur, me tenir la porte… Je pense que cette petite fessée va t’ouvrir les yeux et l’esprit.
Elle met fin à la distribution claquante, lâche une Audrey larmoyante, qui se recule et frotte ses fesses rouges et chaudes.
Carine, même pas essoufflée, expose :
— Puisque tu n’as pas mis le plug comme ordonné par ton mari, c’est moi qui vais te travailler le cul, puis je te mettrai ce plug. LIRE LA SUITE
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