Vacances sur la Côte d’Azur

Maître Alexandre l’avait promis. Après ces 5 nuits à être prostituées par et pour leur Maître, pour le renflouer, Maître Alexandre paya deux semaines de vacances en France à ses 4 esclaves et à Maître Manu. Ils partirent donc pour une destination que seul connaissait Maître Alexandre, qui voulait garder la surprise. Maître Alexandre conduisait le van et passa devant l’aéroport de Liège.
« Au fait, les étalons noirs ne sont pas de la partie ? » Dit ironiquement N° 1.
« Non, je leur ai donné un congé définitif avec un chèque en prime. Ils te manquent, tu veux que je les rappelle peut-être ? C’est Maître Manu qui m’a conseillé sur cette affaire, car ils étaient en train de vous user. »
« On ne prend pas l’avion pour aller dans le sud de la France ? » Dit Sweet Pussy.
« Non, on ne prend pas l’avion. Et puis ce serait trop long pour passer le détecteur de métaux avec vos piercings ! Alors ce sera par la route. Au fait Sweet Pussy, tu as pissé avant d’enfiler ta combinaison ? Rappelle-toi ce qui t’est arrivé la dernière fois que nous sommes partis en vacances. »
« Oui j’ai fait avant de partir, Maître. » Dit Sweet Pussy en rougissant.
« Bien, sinon c’est rebelote avec moi et ensuite, une sodomie gratuite par un routier. »
Sweet Pussy fit une moue. N° 1 éclata de rire, tandis que Lola et Soumise Aurore attendaient des explications qui ne vinrent jamais. Les heures passaient sous une musique d’ambiance pour briser le silence. Les esclaves regardaient le paysage défiler devant leurs yeux. La mer s’étendait à perte de vue du côté gauche du véhicule. Sur le côté droit, des villas plus belles les unes que les autres défilaient devant les yeux ébahis. Sweet Pussy se souvenait des vacances passées avec son mari et son garçon quelques années auparavant. Pour elle, ces vacances étaient il y a des siècles maintenant. Le van prit une petite impasse gravillonnée au bout de laquelle trônait un magnifique portail avec de part et d’autre un mur d’enceinte pour que les occupants soient au calme et surtout, ne pas être importunés.
Une villa moderne style architecte s’offrit à leurs yeux. Seul Maître Alexandre restait naturel, car il l’avait déjà vue sous toutes ses coutures. Une femme habillée en uniforme de bonne les accueillit et les conduisit à l’intérieur de la demeure. Les têtes tournoyaient devant tant de luxe.
« Alors, elle vous plaît ? »
Les esclaves entourèrent leur Maître et l’embrassèrent pour le féliciter.
« Vous n’oubliez pas quelqu’un à féliciter, c’est grâce à lui si nous sommes ici. »
« Eh, c’est nous qui avons fait tout le boulot pendant ces cinq nuits à se faire baiser, quand même ! » Dit N° 1 tout en allant embrasser Maître Manu, suivie par les trois autres esclaves. Sweet Pussy embrassa aussi, non sans une certaine retenue, son ancien mari, devenu désormais aussi son Maître.
Maître Alexandre demanda à ses filles de le suivre.
« Venez, je vais vous montrer la piscine. »
Ils sortirent donc et virent devant eux une piscine lagon. Ce n’était pas une piscine en béton, mais bien une plage de sable avec une étendue d’eau majestueuse. Des palmiers de-ci de-là, ornaient le bord de la plage artificielle.
« Mais ça a dû vous coûter une blinde Maître cette villa. J’espère qu’on n’aura pas encore à faire la pute pendant des heures avec toutes ces dépenses. » Dit N° 1.
Maître Alexandre ne répondit pas à cette remarque, détourna la tête et fit signe de le suivre. Ils firent le tour de la villa et passèrent devant le chenil dans lequel se trouvait une troupe de chien qui aboyèrent au passage des nouveaux vacanciers. N° 1 s’approcha lentement du chenil et osa tendre la main. Un des chiens lécha avidement la main droite gantée de N° 1.
« Ils ont l’air gentils ces chiens. »
« Oui, ils sont très gentils m’a dit le proprio. Ce sont des dogues allemands. Allez, on continue le tour. »
Maître Alexandre ouvrit une porte en sous-sol. Il fit la lumière et quand tous furent entrés dans la pièce, ils virent devant eux le plus beau donjon SM qu’ils n’avaient jamais vu. Les esclaves furent bouches bées.
« Vacances ou SM ? » Dit Sweet Pussy en voyant tous ces engins de tortures.
Il y avait là tous les équipements SM que l’on pouvait acheter sur le net, croix de Saint-André, banc à fesser, poutre équipée pour pendre des soumises, cages exiguës, fouets, martinets, cravaches, appareils d’électrostimulation, fucking-machine, des plugs en veux-tu en voilà, des masques latex et cuir, des vacbeds en latex, des patches à sein équipés de punaises, et tout ce qu’il faut pour éduquer une soumise.
« On ne va pas se priver d’utiliser de tels équipements mis à notre disposition pendant ces deux semaines, Maître Manu et moi-même nous occuperons de vous de temps à autre, histoire de ne pas oublier qui vous êtes, même en vacances. »
L’ambiance féérique venait de retomber d’un cran et les quatre esclaves se regardaient comme on si on venait de leur asséner un coup sur la tête. LIRE LA SUITE