Surprenantes vacances
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V
Marc dit :
— Mais si… n’oublie pas notre dialogue nocturne. Je prends ton pucelage anal, le lendemain, tu prends le mien. Alors, dans ce sac, j’ai ce qu’il faut…
Romain le coupe :
— À Paris, quand mon doigt s’est posé sur Gallipoli, tu avais déjà prévu tout ça… Non ?
Marc rend son regard moins froid, plus chaleureux, admet :
— Oui. Enfin pas tout à fait. Si, après ta fessée, hier, tu n’avais pas été excité, nous aurions passé des vacances… amicales. Mais ce n’est plus le cas, sauf si tu veux rompre…
Romain, pris un peu au dépourvu par la franchise de son ami, tranche :
— Non, non. Rompre maintenant, tu rêves : je ne vais pas te libérer maintenant ! Alors dans ton sac à malices…
Il laisse sa phrase en suspens…
Marc, un instant troublé, attrape son sac, l’ouvre, cherche à l’intérieur, sort deux plugs identiques, un tube de gel :
— Un pour toi, que je vais te mettre. Un pour moi, que tu vas introduire dans mon cul. Couvre-les de gel…
Romain, revigoré, coupe :
— Baisse ton slip sinon ça va être difficile…
Marc se demande si c’est toujours lui qui dirige les débats et les ébats, tend les deux plugs, baisse son slip, montrant son vit déjà à moitié bandé, va vers un des profonds fauteuils, s’agenouille sur le siège, pose ses bras sur le dossier, cambre ses reins avec les jambes bien écartées.
Un peu timoré malgré tout, Romain couvre les deux objets d’une bonne couche de gel. Ils mesurent moins de quinze centimètres, un sommet fin qui s’élargit rapidement jusqu’à la base large suivie du goulet final et de la plaque large afin que tout reste en place.
Romain en pose un sur l’autre siège, s’approche de Marc qui l’interpelle :
— Ça n’entrera pas si tu ne me mets pas du gel sur mon trou du cul.
Romain sourit :
— Je croyais que tu n’en avais pas besoin…
Marc tourne la tête, fixe son ami droit dans les yeux, dit d’un ton glacial :
— Je n’ai J A M A I S été enculé, crois-moi. Je suis bisexuel, après avoir été hétéro, mais vierge du cul… même si je préfère les hommes… de ton âge.
Romain le calme, tout en glissant son doigt avec sa noisette de gel entre les fesses, badigeonne soigneusement l’orifice :
— Excuse-moi… Ne t’emporte pas… Vu ton expérience, je croyais…
— Non ! Allez, ça suffit, mets-le, je ne vais pas rester deux heures dans cette position !
Romain écarte les globes de deux doigts, abouche le sommet du plug, pousse doucement. Bien graissé, ça pénètre parfaitement même si Marc pousse un petit cri quand, la base passée, il enfonce le dernier centimètre pour coller la pastille sur le trou du cul qui semble se refermer.
— À toi, maintenant : prends ma place.
Marc se lève avec lenteur, sa queue durcit en sentant le plug bouger en lui, frotter sa prostate.
Une fois sur pied, il fait quelque pas, s’aperçoit que cette présence dans son corps n’est pas mauvaise en soi.
Il oint le trou du cul de Romain d’une bonne couche de gel, abouche le plug en écartant les deux globes de sa main libre, pousse lentement. Malgré lui Romain se crispe, tancé par Marc :
— Détends-toi !
Le plug pénètre régulièrement, malgré parfois une résistance nerveuse de Romain qui pousse un petit cri lorsque la pastille se colle sur son orifice anal. Marc alloue une claque au cul, commande :
— Lève-toi ! Marche un peu pour t’habituer.
Romain procède doucement, grimace en sentant le plug bouger en lui selon ses mouvements. C’est une gêne légère, mais pas douloureuse. Il dit :
— Ça va m’encombrer pour aller à la plage et me baigner. Mais, allons-y…
Marc délaisse son slip de bain. Les deux hommes chargent un sac de plage pour eux deux avec serviettes et crème solaire, prennent la carte magnétique, sortent.
Tranquillement, ils empruntent l’allée qui mène à la mer Ionienne. Cinq minutes plus tard, ils installent leurs serviettes. Comme il est quinze heures trente, les Italiens font encore la sieste ; il y a peu de monde sur le sable.
Romain plante Marc et va vers l’eau où il mouille sa nuque avant d’avancer. Marc le regarde, surtout ses belles fesses qu’il a omis de rougir. Peu après, il se décide à le rejoindre.
Ils sont dans la mer, l’eau à hauteur de la poitrine, pieds dans le sable à un mètre d’écart l’un de l’autre, quand Marc agrippe Romain vers lui, l’enlace d’un bras, attire sa tête vers la sienne avec l’autre membre, l’embrasse à bouche que veux-tu. LIRE LA SUITE
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