Chapitre 8 – La fessée

Nous n’atteignons l’eau que vers dix heures le lendemain matin. Je me suis réveillé vers sept heures environ, mais le corps doux et chaud de Samantha était tout simplement trop tentant pour moi, et j’ai d’abord passé de longues minutes à la regarder dormir avant que mes mains ne commencent à suivre doucement le long de ces courbes et vallées pulpeuses que sa forme nue me présentait. Plusieurs fois, alors que mes doigts effleurent légèrement un mamelon ou plongent dans son entrejambes, elle soupire doucement dans son sommeil et les coins de sa bouche se recourbent en un sourire.
Quand je ne peux plus supporter sa joliesse sans fin, j’enfonce ma main entre ses cuisses et l’appuie contre son sexe ; je sens ses deux anneaux se presser contre le bord de ma main. Avec mon autre main, je masse le bas de son dos où elle a deux petites fossettes juste au-dessus de ses hanches. C’est alors qu’elle se réveille et me voit lui sourire.
« J’ai oublié de te baiser hier soir, dis-je. »
Je la roule sur le dos et je m’allonge sur elle, je prends dans ma main mon membre raide et le frotte de haut en bas dans sa fente jusqu’à ce qu’elle soit belle et humide, et bouge son cul sous moi. Ses mains attrapent ma tête peu de temps après pour essayer de m’attirer en elle. Je tends la main vers mon sac pour en sortir un cadenas, puis je place sa chaîne sous sa tête et autour de son cou. En rapprochant ses mains sous son menton, il y a suffisamment de longueur dans la chaîne pour que je puisse glisser la manille de la serrure à travers ses deux bracelets et la fermer, emprisonnant ses mains sur les côtés de sa tête avec ses cheveux sous la chaîne. Je me soulève un peu pour avoir une meilleure vue.
Sam a presque l’air comique avec ses coudes relevés et ses mains attachées inutilement sous son visage. Son épaisse masse de cheveux est serrée par la chaîne et encadre sa tête. Son besoin devient urgent, ce qu’elle démontre en levant ses pieds pour essayer de positionner mon cul plus près d’elle afin que je puisse la pénétrer. Je guide ma verge pour enfoncer dans son tunnel de plaisir tout lisse. Sam pousse un faible gémissement de contentement lorsque je touche le fond, ses mains saisissent l’air, s’efforçant de me toucher. Je maintiens ma position pendant plusieurs longues minutes, je la regarde qui est de plus en plus excitée, jusqu’à ce qu’aucun de nous ne puisse plus le supporter, puis je me mets à pomper avec force dans et hors de son vagin serré et humide.
Quand elle commence à faire trop de bruit, j’abaisse mon corps pour verrouiller ma bouche sur la sienne dans un baiser enthousiaste, et j’étouffe efficacement ses cris de plaisir avec ma langue. Nous baisons ainsi pendant ce qui semble être un long moment avant que son deuxième orgasme ne déclenche le mien lorsque les muscles de sa chatte se contractent et se resserrent autour de ma bite, et agissent comme une main gantée lisse et satinée qui serre et trait chaque dernière goutte de liquide de mon corps. Bon sang, j’adore baiser cette fille !
Je parviens à attraper une serviette pour m’essuyer pendant que je roule pour me dégager d’elle, fourrant l’autre extrémité entre ses jambes. Malgré l’effort, il se forme tout de même une grosse tache humide sur le drap. L’air à l’intérieur de la tente est chaud et empeste le sexe. Nous restons allongés pendant plusieurs minutes, haletants et soufflants de nos efforts matinaux, avant que je ne trouve la clé pour déverrouiller ses mains.
Avec un énorme effort de volonté, je me lève du lit pour commencer la journée. Pendant que je m’habille, Samantha sort une robe de son sac pour me la montrer. Elle la déplie et je vois que c’est une courte robe d’été bleu clair sans manches, avec des bretelles boutonnées sur le devant. Je lui demande de l’essayer, alors elle rassemble le tissu et la met sur sa tête, puis lisse la robe sur son corps. Ses bracelets et sa chaîne la gênent un peu pour faire passer les bretelles de son dos jusqu’à ses épaules, mais elle les boutonne rapidement et se tient devant moi, les mains toujours enchaînées, toute habillée.
« C’est parfait, lui dis-je. Mets-la aujourd’hui. Pas de chaussures, pas de sous-vêtements, mais mets ton bikini en dessous avant de partir. Tu es vraiment belle, Sam, ajouté-je.
— Merci Monsieur, dit-elle. Puis-je enlever mes bracelets maintenant ?
— Après le petit déjeuner. Maintenant, au boulot. » LIRE LA SUITE