L’étudiant gay
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Marco me force à me tourner sur le côté avant de s’allonger à son tour, nous nous retrouvons face à face.
Il s’humecte deux doigts, passe la main dans mon dos, commande :
– Écarte tes jambes.
Marco glisse un doigt jusqu’à mon anus, le tapote et le fait pénétrer doucement tout en me branlant.
Je procède comme lui, éprouve des difficultés à faire entrer mon majeur, pourtant bien léché, dans son cul. Du coup, je lui demande, tout en branlant sa bite épaisse :
– Jamais enculé comme moi ?
Ses yeux me fixent avec dureté, les miens restent aussi durs, pour une fois. Si je cède, autant mettre fin à ce qui s’installe entre nous. Il le comprend :
– Oui. Mais ne crie pas…
Je l’embrasse presque sauvagement avant qu’il ne dise des conneries. Marco capitule.
Son doigt se fait plus dur. Le mien reste souple mais le conquiert.
Nous nous branlons et nous doigtons sans que nos bouches se lâchent.
Rapidement la jouissance nous submerge et nos crachons nos spermes à quelques secondes d’écart ; nos ventres sont couverts par le liquide séminal de l’autre. Nos bouches se séparent.
Je sors mon doigt de son cul, mais lui laisse le sien en moi. Peut-être pour se prouver qu’il me domine bien qu’il m’ait cédé ses fesses.
Je décide de le rassurer :
– Ta confiance m’honore. Tu resteras l’actif. Quand je serai prêt, tu auras le privilège de ma virginité anale. J’espère que tu me donneras la tienne…
Marco se crispe.
– … quand toi tu seras prêt. Mais maintenant, on pourrait peut-être se doucher avant de dormir. Tu as salopé mon drap.
Il rit, sort son doigt et me claque le cul.
Un mois plus tard, rien n’a changé entre Marco et moi. Nous étudions ensemble ou séparément, selon nos cours. Car s’il prépare Ingegneria Trasporto e Commerciale, moi c’est Ingegneria Trasporto e Logistica, donc pour les deux dernières matières nous sommes séparés.
Nous sommes toujours vierges analement.
Décembre passe vite, car nous passons des contrôles. À proximité des vacances de Noël, elles débutent dans quatre jours, Marco me dit :
– Je dois aller chez mes parents pour Noël. Toi ?
– Moi aussi, famille oblige. Quand rentres-tu ici ?
Il ne s’engage pas :
– Peut-être ferai-je la fin d’année à Bologna… Ou pas ?
Le sourire sur son visage me donne envie de le gifler. Je m’en abstiens, réplique avec sérieux :
– Tout comme moi. Beau programme.
Rien de tel pour le provoquer et lui faire perdre patience :
– Vais-je devoir te donner une fessée pour que tu répondes ?
J’insiste dans la provocation :
– Démontrer sa force est l’intelligence des imbéciles.
Marco ne se retient pas, s’approche de moi, l’air menaçant, attrape mes épaules :
– Le fais-tu exprès ?
Je capitule un peu :
– Non, non, pas du tout. Même si, depuis presque une semaine, tes mains n’ont pas touché mes fesses…
Comme il se remet à sourire :
– … une fin d’année ensemble ici serait une bonne idée. Je suppose que c’est à cela que tu pensais et… LIRE LA SUITE
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