L’éducation de Kate
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Elle me remet la laisse et m’entraîne derrière elle en me tirant par-dessus son épaule, moi marchant bras croisés dans le dos comme elle me l’a indiqué.
Arrivées dans la salle d’eau, elle défait la laisse et aussi le collier. Elle me pousse sous la pomme de douche et me dit « Inspection », je suppose que je dois me mettre les mains derrière la tête, les jambes écartées. Bingo, c’est ce qu’elle veut.
Elle ouvre le robinet d’arrivée d’eau et une pluie froide me tombe sur la tête et les épaules. Je crie de surprise et je veux sortir de dessous le jet, mais une claque sur chaque sein m’intime l’ordre d’y rester. L’hypothermie me guette à ce régime, moi qui ai horreur des douches froides même par temps très chaud, je suis servie.
Audrey se met sous le jet elle aussi et me tend une fleur de douche imbibée de savon pour me frotter de partout, ne pouvant atteindre mon dos, elle s’en charge rapidement.
Puis c’est son tour de se savonner et de se faire frotter le dos.
En trois minutes, c’est terminé.
Elle arrête l’eau. Ma peau est tout hérissée, je grelotte de froid.
Audrey me tend une grande serviette pour me sécher et en prend une pour faire de même.
Je le fais très rapidement en me frictionnant fort pour essayer d’ôter cette sensation de froid glacial sur mon corps.
« Bien maintenant que la douche matinale, c’est fait. Les toilettes, maintenant.
Tu t’installes et tu fais la petite commission, la grosse si tu dois la faire. Il n’y aura pas d’autre occasion d’ici demain. Alors il faut en profiter tant qu’on peut. Elle me donne une bourgade pour me faire asseoir sur le siège des toilettes. »
« Madame, je ne peux faire mes besoins devant une autre personne » lui dis-je.
« Alors, je vais t’aider un peu. » Et elle saisit chacun de tes tétons entre pouce et index et les écrase méchamment. Je crie sous la douleur, un flot d’urine jaillit de mon ventre et même, des excréments sortent de mon ventre.
« Tu vois un peu d’aide et tu y arrives. » Elle me tend un rouleau de papier hygiénique et me dit :
« Essuie-toi correctement. Et laisse la place. »
Elle s’assoit sur le siège, urine et défèque sans marquer aucune gêne.
Dire que je vais être comme elle. Dans le fond, où est le problème, si ce n’est que dans notre tête à cause de notre éducation, on nous a inculqué que c’est sale, donc il faut être discret et se cacher ! Audrey me montre que l’on peut dépasser les limites des normes de pudeur qui nous ont été imposées dès l’enfance.
Elle se palpe le dessous des bras et la vulve vérifiant toute trace de pilosité.
Elle me dit :
« À toi de vérifier l’état de ton minou et de tes aisselles, sans oublier le cul et les jambes bien sûr. Une esclave doit s’entretenir parfaitement sinon son maître ou sa maîtresse donneront des punitions des plus sévères. Surtout toi qui n’es que rasée.
Alors pour toi, c’est bon ? Voyons ça. » LIRE LA SUITE
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