Francine et l’escroc 4

Chapitre 7 et 8 (fin)
jeudi 4 novembre 2010
par  alab
popularité : 1%
5 votes

7 -Une vraie pute.

Il me faut une bonne heure pour récupérer, une bonne douche, évacuer ce foutre qui coule de mon sexe qui me brûle un peu, calmer mon anus….Que c’était bon !!!....

Téléphone….C’est Clément….

— Bravo Francine….Nous le tenons, je crois….Il nous manque juste le nom de ses « protecteurs » au Ministère et à l’Assemblée…Si tu pouvais….

— Et s’il voulait se venger de moi ?....Il saura bien d’où vous tenez ces informations….

— Ne t’inquiète pas….Il n’aura le choix qu’entre la prison ou le suicide….

Gloups….

J’ai dormi jusqu’à 11 heures…Longue toilette….Des griffures sur ma poitrine et sur mon flanc attestent bien de ce qui s’est passé hier….Mario m’a préparé un solide petit déjeuner…

Il tourne autour de moi, toujours impassible, malgré ma nudité….Malgré ce qu’il a du voir ….Teste encore les micros, sans me dire ce qu’il a fait de la vidéo tournée hier…. Nous échangeons à peine quelques mots…

Jean me manque…J’ai envie de pleurer, de ses bras, de son sourire…J’ai envie de ma sœur aussi…Je me sens seule….Courage, ce sera bientôt fini….Une sieste….

Quinze heures !....Albert apparaît….seul….Allongée, nue, pas maquillée, je lui fais un sourire de petite fille….Sans un mot, agenouillé à mon coté, il me tend un écrin….Son air ému m’attendrit….J’ouvre le présent….

— Ooooh !.....Que c’est beau !

Sur le velours sombre, un collier de saphirs et les boucles d’oreille assorties…Les diamants de la monture scintillent….Une petite fortune…J’en reste coite, sans pouvoir détacher les yeux de cette merveille.

Rester distante malgré tout….Ma main effleure sa joue, tendrement…

— Tu crois que je le mérite ?

— Oh oui !!!….Et ce n’est que le début…..Si….

— Si ?

— Si tu voulais être ma compagne….

Un petit pincement au cœur….Le plus dur, c’est ça : vaincre mon cœur d’artichaut… Pour un peu, je tomberais amoureuse !!....Mais ce cadeau, c’est sans doute le fruit de ses malversations….

— Albert !....C’est si rapide….Il faut me laisser réfléchir….Me donner du temps…Je ne dis pas non, tu sais, mais….

Il hoche la tête, un peu dépité….

— J’attendrais….Non, non, c’est à toi….Garde le…Tu penseras à moi en le portant, n’est ce pas ?...

Je me lève….Il est en maillot, encore tendu….Mon geste le calme…Nous buvons mon punch frais…Pendant qu’il me caresse, je le fais parler….Plus aucune retenue….Je suis câline….L’embrasse dans le cou…

— Mais comment peux –tu arriver à ne pas te faire prendre ?...C’est affreusement risqué quand même !

Un gros rire le secoue….

— Si tu savais comme c’est simple !...Il suffit d’ « intéresser » des hommes politiques !!...

Bien sur ils ne sont pas bon marché….X, Y et Z couvrent toutes mes opérations…. J’ouvre de grands yeux…J’ai reconnu au moins le nom de deux personnalités, qui, pour moi, me paraissaient au dessus de tout soupçon….Naïve !!!..

Mon réveil a sonné….quelques minutes plus tard…J’ai gagné….En finir….Impossible pour le moment….Ses mains sur moi, partout, font tendre mon corps…Une espèce de tendresse me dit que je lui dois bien une dernière satisfaction….Dont je vais profiter aussi, bien sur….
Son doigt explore ma fente juteuse….Me fait gémir quand il joue avec mon petit anneau, avec mon clitoris tendu, gorgé de sang, si sensible….Il gémit quand j’explose, mon jus a jailli sur sa main…Dans la mienne, serrée autour de sa bite, il gonfle….

— Tes fesses…Je veux t’enculer….

J’ai un sourire et un petit cri ravi….Je me tourne sur le coté, creusant le dos, une jambe repliée contre moi…Il se colle à moi, je sens sa bite se caler entre mes fesses….Glisser dans ma raie moite….Il est énorme, dur, chaud…..Le suppositoire, quoique inutile, me rend encore plus chienne…

— Viens !....Comme ça….Tu es dur…Si gros…Tu vas me faire mal…
Je l’aide en ouvrant ma fesse…Un sursaut…Il est sur ma rosette….Grogne…. Pousse en me pressant le ventre…Je m’ouvre à peine et il a un cri de victoire en sentant son gland m’investir lentement, dilater mon anneau……

— Oh !....Quel cul !!....Que tu es chaude….Et si serrée…Jamais je n’ai connu ça…. Aaaah !...Quel satin, ton ventre…

D’un énorme coup de reins, il me remplit toute, collé à mon dos, ses couilles pressées contre ma fente….J’ai crié….Ma main projetée en arrière griffe son dos….

— Ne bouge plus !!!….Ouuuuf…Tu m’as fait mal….Laisse moi m’habituer…Tu es si gros…. Làààà… Doucement d’abord….Mmmmh….Prends ton temps….Profite bien de mon cul… J’aime ta grosse bite…..Je sens tes belles couilles…

Il souffle….Je m’attends à ce qu’il jouisse, tellement je le masse, tellement je le serre en moi…Pas du tout !…Il a du se branler, le cochon….Normalement il devrait se rendre !.... LIRE LA SUITE





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Commentaires

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lundi 6 août 2018 à 18h26 - par  Henic

Peut-on dire que la morale est sauve ? Il faut alors qu’elle soit bien élastique...
Mais au sein du cadre original du scénario, l’histoire est bien contée. Certes, il ne faut pas être totalement réfractaire aux récits zoophiles. Mais s’ils n’étaient pas là, l’histoire n’en souffrirait pas vraiment, hormis la véracité du scénario « extrême ».