La visite médicale

dimanche 16 mars 2008
par  Ali
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« À 17 heures, tu es attendue chez le docteur.
— Mais je ne suis pas malade…
— Ce n’est pas chez ton médecin habituel que j’ai pris rendez-vous.
— Mais… pourquoi ?
— Ne discute pas… et obéis ! 17 heures ! Tu as tout le temps de te préparer. Je veux que tu sois impeccablement propre, à l’intérieur comme à l’extérieur, pour cette visite. Je te veux aussi parfaitement nette et lisse. Tu sais ce que ça veut dire. Tu mettras les vêtements qui seront posés sur le lit… Je te donnerai une lettre que tu lui remettras. L’adresse sera sur la lettre… »
Julie se tut et baissa les yeux. En cet instant, Pierre n’était plus son tendre et attentionné mari, mais son Maître exigeant. Son ton montrait assez qu’il n’était pas question pour elle de discuter sa décision. Il avait décidé sans la consulter. Il n’y avait pas à y revenir. Elle obéirait, bien qu’elle ne portât pas son collier de soumise. Comme d’habitude. Depuis qu’elle s’en était totalement remise à lui, il y a quelques semaines, elle avait abandonné toute velléité de rébellion. Elle se soumettait sans murmurer aux ordres que son mari lui donnait parfois, sans solliciter son avis, tant pour sa tenue que pour certains actes. Elle était heureuse qu’il la guide, qu’il la soumette à son autorité.
Elle se demanda quelle diablerie ce rendez-vous cachait. On pouvait faire confiance à Pierre pour avoir les idées les plus surprenantes. Et s’il ne lui en avait pas parlé, c’était sûrement qu’il avait une surprise en tête, qu’il lui préparait quelque chose d’inédit ! Que méditait-il de lui faire subir ?
Elle sentit la boule habituelle d’inquiétude se nouer au creux de son estomac. Pierre l’entraînait parfois dans des situations qu’elle ne maîtrisait absolument pas, des situations où il attendait d’elle qu’elle repousse, chaque fois, ses limites. Elle savait bien qu’elle avait toujours la possibilité de refuser. Mais elle avait totalement confiance en lui. Jamais il ne lui aurait imposé une chose irréalisable. Elle se disait aussi que lui savait, bien mieux qu’elle, ce dont elle était capable. Et elle ne voulait pas le décevoir, elle tenait à réussir ce qu’il lui demandait. Qu’il soit toujours fier d’elle !
Inquiète et nerveuse devant une situation qu’elle allait devoir affronter seule, n’ayant aucune idée de ce qui l’attendait, elle passa une grande partie de l’après-midi à se préparer méticuleusement pour ce rendez-vous, comme Pierre l’avait exigé. Cela l’aida à ne pas trop se tourmenter.
Il la voulait impeccablement propre. Elle savait ce qu’il entendait par ces mots et elle s’y appliqua. Après son bain, elle sortit de l’armoire à pharmacie la poire à lavement que Pierre, à sa grande honte, l’avait envoyé acheter à la pharmacie du quartier quelque temps auparavant. Elle se nettoya consciencieusement l’intérieur du rectum à plusieurs reprises, jusqu’à ce que l’eau rejetée fût parfaitement limpide. Elle savait Pierre capable d’en contrôler la propreté et de lui infliger une punition s’il n’était pas satisfait.
Il avait dit aussi nette et lisse. Depuis que Pierre avait exigé d’elle qu’elle fût rasée intégralement, elle s’appliquait à satisfaire son désir. Il avait refusé la suggestion qu’elle avait faite de se faire épiler. Il voulait qu’elle se rase elle-même, régulièrement, pour être toujours lisse sous ses doigts ou sa langue. Elle avait bien vite dû reconnaître qu’il avait eu raison. Elle prenait grand plaisir maintenant à sentir son ventre aussi dénudé. La fréquence du rasage ne lui était plus une corvée. Elle atténuait grandement l’aspect un peu granuleux, cet air de poulet fraîchement plumé, dû à la repousse des poils. Son pubis avait retrouvé depuis, pensait-elle, l’aspect troublant de celui d’une petite fille, mais l’émergence orgueilleuse de son clitoris à la jointure de ses lèvres démentait cette affirmation. Elle rafraîchit donc ses aisselles et sa toison, et met un soin tout particulier au rasage délicat des contours de ses lèvres et de son anus. Elle y appliqua une crème apaisante autant pour adoucir le feu du rasoir que pour cajoler le petit effronté qui, comme chaque fois, pointe effrontément son nez. Puis elle parfuma discrètement son entrejambe.
Plus tard, coiffée et maquillée, elle se dirige vers la chambre où son mari l’attend. Sur le lit, il a déposé les vêtements qu’elle devra porter. Elle remarque d’abord, avec plaisir, son corset de satin qui laisse ses seins nus et libres et lui affine si bien la taille. Bien sûr, Pierre n’aimant pas lui en voir porter, elle s’attend donc à ce que ses sous-vêtements brillent par leur absence : mais, ô surprise, cette fois-ci, un brésilien attend à côté de ses bas, d’une jupe noire, ample, mais assez courte, d’un corsage en voile légèrement transparent. Une petite veste en lainage complète l’ensemble. Au pied du lit, ses escarpins vernis. Au moins, aujourd’hui, pense-t-elle, sa tenue n’est pas trop provocante et elle pourra marcher sans attirer tous les regards. Cela la rassure un peu.
De son siège, Pierre lui fait signe d’approcher ; il vérifie, d’une caresse de la main, la douceur et le moelleux de son pubis et de sa fente, puis il la fait pencher sur la coiffeuse, jambes écartées. L’un de ses doigts s’insinue entre ses fesses, titille son œillet, s’y enfonce et l’assouplit en de lentes et larges rotations. Un autre doigt rejoint bientôt le premier pour lui prêter main-forte. Quand il est satisfait de son ouvrage, il lui introduit le bijou intime qu’il lui a « offert » quelque temps auparavant. Ni les timides dénégations de Julie ni la soudaine crispation de son sphincter n’arrêtent la progression du plug au creux de ses reins. Ainsi parée, il la fait relever pour s’habiller. Puis, dans l’échancrure de son corsage, il fixe un tour de cou en velours noir, serré, comme les femmes en portaient jadis. Sa main glisse ensuite à l’intérieur du corsage et vient flatter l’un des seins qui bougent librement, au moindre mouvement, sous le tissu léger. Le téton, pincé et trituré entre ses doigts, s’érige rapidement sous la rude caresse tandis que Julie laisse échapper un gémissement.
« Te voilà maintenant prête ! Tu es très en beauté ! Allons, viens ! Je vais te déposer en voiture, mais tu devras ensuite rentrer à pied. Je ne t’attendrai pas.
— Mais je ne peux pas sortir avec “ça” enfoncé en moi ! Je ne vais pas pouvoir marcher !
— Oh que si, tu pourras ! Et ce bijou que tu portes secrètement enfoui en toi te rend encore plus belle et plus désirable à mes yeux !
— Et mon sac… mes papiers ?
— Tu n’en auras pas besoin. Allons-y ! » LIRE LA SUITE


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Commentaires

Logo de Henic
mardi 5 octobre 2021 à 20h05 - par  Henic

Voilà en effet une visite médicale très orientée ! Elle s’exerce sur une femme d’un naturel très soumis, ce qui facilite bien sûr l’exécution de la manœuvre.
Il est toujours étonnant de voir un mari livrer son épouse à un tiers, surtout si elle n’est consentante que par défaut. Mais le récit est agréablement écrit et le lecteur n’a qu’à se laisser faire, tout comme la soumise...