Ma collaboratrice
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Une fois arrivé dans la voiture, je lui demandai donc d’ouvrir sa robe, mais aussi de descendre au niveau des genoux sa culotte. Pour renforcer son inconfort physique et surtout psychique, je lui ordonnai d’écarter les jambes afin de tendre le string, qui cinq minutes plus tard marquait déjà sa peau. Enfin cette position me permettait d’accéder aisément à son intimité.
Gênée, cela se lisait clairement sur son visage, mais elle acceptait mes requêtes. Je sortis donc la voiture du parking direction son domicile. Pendant le trajet, je ne manquais pas d’insinuer mes doigts dans son intimité. Ses lèvres étaient mouillées malgré son embarras, et pour accentuer son excitation je tirais sur ces lèvres puis frotter vigoureusement son clitoris.
Hélène commençait à haleter indiquant clairement un plaisir grandissant. Je stoppais sur le champ cette masturbation, la laissant sur sa faim.
— Mais tu prends du plaisir. Tu nous fais la sainte nitouche, mais à peine on te caresse tu es la pire des garces dis moi !
— Tes doigts m’excitent, mais c’est vrai que la situation m’embarrasse. Si quelqu’un me voit que va-t-il penser ?
— Que tu es une salope, une fille facile, une bonne chienne soumise ! Mais tel est le type de femme que je veux, alors si tu n’aimes pas cela il est encore temps d’en rester là.
Sur ces mots, je freinai et j’arrêtai la voiture au niveau d’un arrêt de bus. Cela eut son effet, car après quelques secondes de silence, elle me répondit :
— Non, j’aimerais être cette femme pour que vous me désiriez comme je vous désire. Mais on ne m’a jamais demandé à être aussi impudique.
— Mais cela ne me dérange pas, tu sais.
— Quoi ? Je ne te comprends pas, tu veux que je devienne une femme dépravée, mais tu veux en même temps que sois offusquée que j’ai honte de ce que je fais… Pourquoi ?
— Pourquoi ? Parce que j’aime les femmes qui se soumettent à mes désirs les plus obscènes tout en conservant dans leur esprit une part de respectabilité, une conscience de la normalité. Ainsi lorsqu’elles répondent à mes attentes, leurs gestes sont hésitants, leurs regards apeurés, leur stress au sommet. Et c’est à ce moment-là qu’elles sont véritablement soumises, dépendantes des directives de leurs maîtres. Tu comprends ?
— Oui je crois comprendre ce que tu veux dire, répondit-elle d’une voix gênée d’admettre que c’est ce qu’elle ressentait.
— Alors pour vérifier sur le champ ce que nous venons d’évoquer, tu vas immédiatement sortir de voiture avec ta culotte au niveau des genoux et une fois dehors tu enlèveras ta robe avant de remonter ton string pour ensuite rentre dans la voiture. Ah, pour la culotte, je veux que tu la remontes le plus haut possible afin qu’elle disparaisse dans ta raie des fesses et rentre dans tes lèvres. Allez, au boulot salope ! LIRE LA SUITE
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