Martine me trompe avec Chantal

vendredi 8 avril 2005
par  DDD
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Comment ai-je pu ignorer que ma femme aimait le sexe ?
Je regarde des sites de cul, compréhensive ma femme semble se soumettre, j’ai une aventure avec mon infirmière.
Ma femme deviendra l’amante de cette femme.
Chapitre 1 Une sévère dépression.
A 50 ans, après m’être défoncé pour une entreprise, j’ai reçu ma lettre de licenciement.
Restructuration, mon cul ! Je suis trop cher, trop vieux. Place aux jeunes.
Décidé à ne pas rester inactif, plein d’espoir j’entreprends immédiatement une recherche et je passe mon temps sur le net, les CV suivent les lettres de motivations, pas de réponses, rien, rien, inutile.
Et merde ! Du site d’emploi au sit de cul il n’y a que la différence d’un clic. Bientôt je suis un obsédé du cul, voir des cochonnes se faire défoncer la chatte dans toutes les positions devient mon quotidien, moi qui avais le sexe pépère je me mets à innover dans l’amour. Je deviens exigeant.
Conciliante ou fine mouche ma femme, plus jeune que moi, superbe bourgeoise de 40 ans se prête facilement a mes caprices. Comment ai-je pu vivre 20 ans et ignorer qu’elle aimait le sexe ?
Toute une panoplie d’objets de plaisirs envahit notre maison, godes, boules, lingeries, films…
Il s’ensuit un jeu conjugal, le soir lorsque Martine rentre du boulot je lui montre mon slip taché de mes branlettes et je lui raconte mes découvertes, cela l’existe, il lui arrive de se branler furieusement avant de me demander de la sodomiser.
La sodomie son envie secrète, 10 ans d’ignorance avant d’oser l’enculer.
Mes penchants pornographiques s’orientent souvent vers les amours lesbiens de grosses matures qui se bourrent le cul d’objets divers. Sans complexe, Martine m’avoue qu’elle aimerait tripoter une fille devant moi et me l’offrir après que la fille l’aura enculée.
Mon inactivité se prolongeant, limite dépressif, je consulte un ami médecin.
Ce dernier devant mon état lamentable n’hésite pas et me prescrit une série de piqûres, c’est une infirmière qui viendra tous les soirs à 17 h faire les intraveineuses.
Cette après-midi-là, je surfe depuis deux heures sur des sites de culs, je reviens toujours sur une galerie qui montre une grosse truie se faisant manipuler par une vielle. Je ne sais pourquoi, mais la photo qui me fait le plus bander n’est pas la plus dégueulasse, la vielle perverse est assise dans un fauteuil et la jeune, docile, debout jambes écartées, se laisse masturber, la cyprine dégouline sur ses cuisses. Je suis fasciné par cette fille soumise qui ruisselle, s’offrant sans pudeur à cette pénétration vicieuse et qui semble y trouver du plaisir.
On sonne à la porte c’est l’infirmière.
Le sexe encore gros je vais ouvrir. La dame, blonde, 40 ans, attirante, le sourire avenant déclenche immédiatement une formidable envie de la baiser.
« Bonjour, je suis chez Monsieur Marion, je viens pour la piqûre »
Pendant que la dame prépare ses instruments, je m’installe dans le fauteuil, relevant la manche de ma chemise.
Elle ne semble pas gênée par la bosse qui déforme mon pantalon. Peut-être a-t-elle l’habitude des vieux pervers ? Je dois gagner du temps et redevenir plus présentable. Je tente une conversation.
« Vous êtes nouvelle ? Nous ne nous connaissons pas. C’est idiot mais je crains les piqûres. »
« Oui, Monsieur, je viens d’arriver à Pusey, j’étais infirmière à Paris mais je n’aime pas les grandes villes, elles sont impersonnelles, le malheur et la solitude y sont trop grands. Dans un petit village, les gens sont plus proches. »
La belle enchaîne toute une série d’explications où je comprends qu’elle s’appelle Chantal, que son compagnon l’a plaquée et que fuyant l’indifférence et la solitude elle désire refaire sa vie en province, persuadée comme tous les Parisiens que la vie y est plus facile.
Le bras posé sur l’accoudoir du fauteuil, la fille se penche et recherche la veine, se faisant, elle présente à ma vue intéressée deux superbes seins. De voir ainsi cette femme debout jambes écartées qui doucement me pose un garrot, la photo me revient en mémoire et pendant que le produit s’écoule lentement, j’imagine ma bitte coulissant entre ses divines mamelles. Maternelle l’infirmière retire son aiguille, une courte hésitation et doucement ma main enfin libre caresse comme par inadvertance la cuisse. La femme ne dit rien, je ne rêve pas, pas un cri, pas une gifle, silencieuse elle retire lentement ma main en souriant gentiment non sans avoir porté un regard insistant sur mon entrejambe déformé. LIRE LA SUITE




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Commentaires

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mercredi 11 mai 2022 à 09h19 - par  Henic

A salope, salope et demie !