L’intérimaire
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28 ans, pas trop moche, brune aux yeux verts, 1 mètre 65, seule et surtout au chômage depuis 3 longs mois ! Voilà à quoi se résumait ma vie. Tous les matins, je me rendais chez un copain gérant d’un kiosque à journaux. Je savais qu’il me laisserait éplucher les petites annonces contre une gâterie dans son arrière-boutique. N’ayant vraiment pas de quoi dépenser de l’argent inutilement, j’accédais volontiers à ses désirs, j’y prenais même un certain plaisir. Sans doute la peur d’être surprise par des clients. C’est ainsi que ce matin-là, je me suis préparée avec soin. Comme je n’aimais pas trop les fellations, j’avais mis une jupe et j’espérais que ma chatte rasée de près lui donnerait envie de me prendre.
Lorsque j’arrivais, il y avait foule dans l’officine. Je m’installais donc dans la cuisine, avec les quotidiens. 15 minutes plus tard, Antoine m’a rejointe, délibérément, je me suis cambrée, appuyée sur la table.
— Alors ma salope, tu as envie de te faire enculer ce matin.
Son langage cru me faisait toujours de l’effet et effectivement, je mouillais déjà abondamment. Je laissai mes journaux et je soulevai ma jupe. Le résultat ne se fit pas attendre, Antoine me prit les hanches et s’introduisit dans mon cul avec force, je râlais, sa bitte était d’une bonne taille et il n’y avait pas vraiment été doucement. Au bout de quelques va-et-vient, mon anus s’était habitué à la présence de l’objet et put enfin éprouver du plaisir. Quant à Antoine, ce n’était de loin pas un marathonien de l’amour… Il jouit trop rapidement à mon goût, me laissant atteindre l’orgasme avec mes doigts.
Je pus enfin me remettre à la lecture des petites annonces, Antoine en avait sélectionné quelques-unes et me les montra. L’une d’elles était vraiment alléchante :
Petite maison d’édition
Cherche secrétaire réceptionniste intérimaire
Pour une durée de 9 à 12 mois
Début d’activité de suite
S’ensuivaient les qualités demandées, les horaires, et les prestations sociales offertes. Je téléphonai immédiatement et obtins un rendez-vous dans la journée. Je rentrai chez moi et me préparai minutieusement à cette entrevue. Ne pas paraître trop délurée, mais pas coincée non plus. Un peu de maquillage… Des sous-vêtements accordés à mes habits (j’ai toujours adoré les sous-vêtements), des chaussures à talons, mais pas trop haut… Voilà je crois que je suis prête.
Je me suis rendu à l’adresse indiquée, une grande villa dans un grand parc, des places pour les voitures, une seule voiture présente. La porte est ouverte, j’entre, je me présente à la réceptionniste. Elle me toise d’un air dédaigneux.
— Vous avez vos références ?
— Oui Madame, les voilà.
Je tends un dossier où se trouvent mes certificats de travail et mon curriculum vitae.
— Bien, attendez ici.
Elle me désigne un canapé. Je m’y installe, jambes croisées, dos bien droit en faisant ressortir ma poitrine. Cinq minutes se passent avant qu’elle ne revienne. Elle s’installe à son bureau et ne se préoccupe plus de moi. Un homme fait alors son entrée. Grand, au moins un mètre 90, les cheveux noirs, les yeux verts. Il m’observe, puis me tend la main.
— Enchanté Mademoiselle B…, je suis Michel C… Le patron de cette entreprise, si vous voulez bien me suivre dans mon bureau, nous allons discuter pour voir si le poste vous convient et si vous convenez au poste.
Je le suis, déjà sous le charme. Je dois dire que je n’écoutais pas grand-chose de ce qu’il me disait, subjuguée par son sourire et ses yeux. Enfin je dus lui plaire aussi puisqu’il m’engagea. Je devais commencer le lendemain, à 8 heures précises.
En rentrant chez moi, je passai chez Antoine pour le remercier et lui dire la bonne nouvelle. Il allait fermer boutique et me proposa de dîner avec lui. Je savais bien que cela finirait au lit, mais je me disais que c’était sans doute la dernière fois et que je pouvais bien le remercier.
Le lendemain, 8 heures précises je suis au travail. La secrétaire est là également.
— Je vais vous indiquer ce que vous aurez à faire, le travail n’est pas compliqué, il s’agit surtout d’ouvrir le courrier et de le classer dans l’ordre des priorités que vous a données Michel hier.
— Je ne sais pas si je me souviens de tout…
— Je vous ai préparé une liste. Quand vous avez fini, il faut mettre en ordre la bibliothèque, et le grand salon. Puis attendre à la réception les ordres de Michel. Pour moi c’est mon dernier jour. Et j’en suis bien contente !
— Bien je vais essayer de me souvenir de tout.
Après le courrier, fait surtout de manuscrits, je me rendis dans la bibliothèque et je commençais à mettre de l’ordre. J’étais en train de classer des livres quand je suis tombée sur des bandes dessinées érotiques, je me suis donc installée et j’ai feuilleté quelques volumes. Le deuxième que j’avais pris retenait toute mon attention… Il montrait très clairement une secrétaire se faire fesser par son patron, puis le patron l’a fait s’appuyer sur son bureau et a relevé sa jupe et baissé son slip. Il s’est saisi d’un martinet et lui a asséné une dizaine de coups. J’étais tellement prise par le récit que je n’entendis pas Michel entrer. Nous avions décidé de nous appeler par nos prénoms pour faciliter la communication.
— Alors Pauline, intéressée par ces dessins ?
— Oh excusez-moi, je ne vous ai pas entendu entrer.
— J’imagine bien !!! Sinon je ne vous aurais pas trouvée ainsi en faute ! Car vous êtes en faute, vous le savez n’est-ce pas ?
— Oui Monsieur, je le sais
— Et bien, continuez votre travail, nous réglerons ce petit incident ce soir. Vous passerez dans mon bureau avant de partir.
— Oui Monsieur.
Tout naturellement, je l’avais appelé Monsieur et non pas par son prénom, il me semblait à cet instant que je devais montrer un peu de soumission. Je me remis donc au travail, mais toute la journée, je pensais à cette menace à peine voilée et surtout je revoyais les images du livre je n’en étais pas choquée, mais très excitée. Cela m’étonnait, je m’étais toujours promis qu’aucun homme ne lèverait la main sur moi et voilà que j’étais émoustillée par une femme se faisant fesser, il me semblait même que j’aurais bien voulu que Michel me punisse ainsi. J’attendais le soir avec impatience et un peu de crainte. Enfin 5 heures sonnèrent. La secrétaire partit sans un au revoir. Je me rendis donc dans le bureau de mon patron. Il était au téléphone et me fit signe d’attendre. Je restais debout devant le bureau et j’attendis, pleine d’appréhension. Je vis sur son bureau le livre que je lisais, il était ouvert à la page de la fessée. Encore une fois, je sentis mon sexe frémir et ma chatte mouiller. Lorsqu’il reposa le téléphone, Michel me regarda en souriant.
— Bien, asseyez-vous Pauline, lorsque vous désirez consulter des livres de la bibliothèque, il vous suffit de les prendre chez vous. Vous inscrivez sur ce carnet ce que vous avez pris et vous inscrivez également quand vous les ramenez.
— Euh c’est tout ?
— Mais oui que croyez-vous que j’allais vous fesser comme dans ce bouquin, car c’est bien ce qui retenait votre attention ce matin ?
— Oui enfin non… Effectivement j’étais prise par l’histoire et… Non je ne pensais pas que vous alliez me faire subir ce châtiment.
— Je sens dans votre voix un semblant de regret.
Je rougis intensément, je ne pouvais quand même pas lui dire que s’il l’avait voulu, je me serais laissé fouetter avec, « plaisir » n’est peut-être pas le mot, mais excitation ! Michel ajouta :
— Quand nous nous connaîtrons mieux, j’aurais peut-être envie de vous punir ainsi… LIRE LA SUITE
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