L’enfer d’Elodie
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J’avais dix-neuf ans lorsque je rencontrai Laura. Depuis deux mois je vivais dans la ville universitaire où j’avais entamé des études de droit. Je logeais dans une chambre que des parents avaient louée pour moi, un peu hors de la ville, chez une vieille dame charmante qui adorait me faire la conversation. Mais à cent cinquante kilomètres du domicile familial où en théorie je rentrais une fois par mois je me sentais un peu seul. Assez timide de nature, j’avais du mal à me faire des amis. Quant aux amies, il valait mieux ne pas y songer. Bien sûr, je côtoyais de nombreuses étudiantes. Aucune n’était devenue mon amie. Je connaissais peu de choses à propos des filles, et encore moins de leur corps. Et ce n’était pas la lecture d’un « Lui » qui allait m’apprendre à les connaître.
Je devais donc me contenter de masturbations de plus en plus fréquentes. Une des filles que je voyais au cours me plaisait plus particulièrement : elle s’appelait Elodie. Grande blonde aux yeux verts, elle avait une magnifique silhouette. Un cou gracile, des seins qui n’avaient aucun mal à tendre ses blouses, et surtout une croupe aguichante, plus spécialement lorsqu’elle portait un jean comme c’était souvent le cas. Dans mes rêves les plus fous, je la voyais dans un lit à côté de moi pour y faire … Faire quoi ? Je n’avais jamais connu physiquement une femme. Bien sûr, il y avait dans la ville où je vivais désormais, un quartier où l’on pouvait rencontrer des prostituées. Mais l’idée de découvrir le sexe avec l’une d’elles me rebutait. Je centrai donc tous mes désirs sur Elodie qui acceptait mes hommages verbaux avec un petit sourire moqueur. Et tout s’arrêtait là. Elle avait un jour accepté de m’accompagner au cinéma, mais l’éternel timide que je suis n’avait pas osé l’embrasser. Je sentais son corps à côté du mien, je humais son parfum, je voyais ses yeux briller. Mais je restais coincé, affreusement coincé.
C’est alors, un soir que je buvais un verre, seul comme à l’habitude, que je découvris Laura. Elle était assise à une petite table du café où nous nous trouvions, chacun devant une table, devant un verre de vin, et une revue à la main. A ses pieds un petit chien, sagement couché. A distance, je la regardais. Il m’aurait été difficile de lui donner un âge, mais elle devait largement dépasser la trentaine. Elle avait des cheveux noirs, savamment coiffés, une figure souriante, une bouche apparemment gourmande. Elle lisait, ou faisait semblant de lire. Je ne sais pas ce qui me prit, mais j’allai me placer devant elle et caressai le chien. Elle leva alors la tête, et me fit un beau sourire.
« Alors, on caresse le toutou pour intéresser madame ? Après tout, cela vaut d’autres entrées en matière. Mais je devine que vous êtes étudiant. Comment vous appelez-vous ? » Je pris mon courage à deux mains et entamai la conversation. « François -lui dis-je – pour vous servir. » Elle se mit à rire, la glace était rompue. « Mais ne restez pas planté là à me dévisager. Asseyez- vous donc. Vous pouvez m’appeler Laura. Et parlez-moi un peu de vous, j’adore les étudiants. »
Et c’est ainsi que tout commença. Elle me dit travailler dans une grosse société immobilière, où elle disposait de beaucoup de temps libre. Sans trop savoir pourquoi j’appréciai cette remarque. Visiblement, je lui plaisais. Je savais avoir un physique assez agréable, et mes yeux bleus sous une tignasse blonde n’étaient pas mes seuls atouts. Mon humour ne me faisait jamais défaut. Mais je demeurais affreusement timide. Ce jour-là, Laura et moi parlèrent pendant plus d’une heure, et au moment de nous quitter, elle me fixa rendez-vous à la même heure le lendemain. Et pendant plusieurs jours elle chercha à me connaître. Connaissais-je des filles ? Avais-je des amies ? Je dus lui avouer que non, en lui parlant toutefois d’Elodie dont je lui montrai une photo volée sur mon GSM « Elle est très jolie – dit Laura – mais pourquoi cette froideur avec toi ? Parle- moi d’elle, cela m’intéresse ! » Et sans m’en rendre compte, je lui parlai de mes espoirs toujours déçus, et finis par lui avouer que jamais encore je n’avais fait l’amour « Un peu malheureux à ton âge – se moqua-t-elle – mais rassure toi , cela ne durera pas ! » Sur cette parole sibylline, elle se prépara à partir « Mais viens dîner demain soir chez moi, nous serons plus à l’aise pour causer ! » Et elle mon donna son adresse. J’acceptai avec joie ayant du mal à cacher mon enthousiasme.
Elle habitait dans un faubourg de la ville un bungalow entouré d’un vaste jardin. Elle vint m’ouvrir : je ne l’avais jamais vue aussi belle. Elle portait une robe rouge, assortie à son rouge à lèvres. Ses yeux me semblaient plus bleus que jamais, et me souriaient. Nous nous installâmes dans un grand canapé, et elle nous servit un apéritif apparemment assez corsé, qui très vite me fit planer. Sans le vouloir, en parlant, j’avais posé une main sur son genou, et elle fit mine de ne pas s’en apercevoir. Très vite elle servit le repas. Elle semblait maintenant pressée. Effectivement, sitôt la table débarrassée, elle vint se rasseoir à mes côtés dans le canapé et sans un mot elle m’embrassa. J’avais déjà au cours de mes dernières vacances embrassé l’une ou l’autre fille. Mais jamais de cette manière. Immédiatement, elle ouvrit sa bouche et poussa sa langue contre la mienne. Je sentis naître une érection que je ne pouvais maîtriser. Elle s’en aperçut et me dit aussitôt « Montons dans ma chambre nous y serons plus à l’aise qu’ici ! » Heureux comme je ne l’avais jamais été, un peu effrayé aussi, je la suivis dans l’escalier. Devant moi, comme pour s’amuser, elle faisait balancer ses fesses de droite à gauche et arrivés en haut, ouvrit une porte et me poussa à l’intérieur. Je pénétrais dans une vaste chambre au milieu de laquelle trônait un lit, vaste lui aussi. Des deux côtés du lit, un grand miroir occupait la moitié du mur. Aucun autre mobilier, à part deux petites tables de nuit portant une lampe de chevet. Face au lit, une large fenêtre dont les rideaux étaient tirés. Elle ferma la porte et s’assit sur le lit. « Ne reste donc pas planté comme cela. On dirait que je t’effraie. Rassure- toi, je ne vais pas te manger, ou du moins pas encore ! »Et elle éclata de rire. « Attends, je vais t’aider ! » et elle entreprit de me déshabiller. Elle ne me laissa que mon slip derrière lequel je ne parvenais pas à cacher une érection de plus en plus importante « Eh bien, pour une jeunot, tu me sembles bien équipé. Attends-moi, je reviens de suite » et elle passa dans la salle de bains adjacente. Ne sachant trop quoi faire, je m’étais assis sur le lit, impatient de la voir revenir. Ce ne fut pas long.
Quand elle revint, je constatai qu’elle aussi s’était mise à l’aise. Elle ne portait qu’un string noir et un soutien-gorge de la même couleur, qui avait du mal à couvrir son opulente poitrine. Elle se coucha à côté de moi sur le lit « Alors qu’en penses-tu ? Me trouves-tu à ton goût ? A te regarder, je sais que oui. Mais passons aux choses sérieuses ! » Elle dégrafa son soutien-gorge dévoilant une paire de seins déjà bandés, puis, relevant ses hanches se débarrassa de son string. Je la regardai ahuri. Alors que je m’attendais à découvrir une toison noire touffue, je découvrais un sexe de petite fille, complètement dépourvu de poils. Ma stupéfaction la fit rire à nouveau « Je sais, cela peut surprendre. Mais je me suis toujours épilée, et jamais un homme ne s’en est plaint. Et quand tu m’auras goûtée tu seras du même avis. » Elle écarta alors les jambes « Viens me préparer avant que nous fassions l’amour ! » Sans trop bien comprendre ce qu’elle attendait de moi, je me penchai sur elle. Elle plaça alors ses mains derrière ma tête et attira celle-ci entre ses cuisses, sur cette fente qui semblait me narguer « Vas-y, lèche- moi de suite, très fort. » Elle écarta les lèvres de son sexe pour que je puisse y faire jouer ma langue. Encore intimidé, je m’appliquais à la tâche Et très vite, mon plaisir monta. Je la sentais mouiller, et m’efforçai de la satisfaire Elle dégagea alors son clitoris « C’est par celui-ci que tu me feras jouir, mais ne t’arrête pas ! » Je sentais son bas-ventre se tendre, un spasme la saisir. Son corps s’alanguissait maintenant. « Enlève ton slip ! » Chuchota-t-elle. Elle ne dut pas me le dire deux fois. Quand ce fut fait, elle saisit ma verge. « Comme elle est grosse, comme elle va me faire du bien. Mets-toi sur moi maintenant ! » Et elle écarta davantage les jambes. Lorsque je fus sur elle, reprenant ma verge elle la plaça contre sa fente, et lui fit faire un va-et-vient de plus en plus rapide. Puis brusquement « Je suis prête maintenant, tu peux y aller ! ».D’instinct, je fis pénétrer ma queue dans le vagin qu’elle m’offrait, et une fois la chose faite, entamai des mouvements impétueux dont la violence la fit gémir. Et quand très vite j’éjaculai en elle, je sentis qu’elle aussi connaissait des spasmes qui m’effrayèrent. J’ignorais encore à ce moment comment jouissait une femme. Je restai quelque temps couché sur elle, lui léchant les seins, l’embrassant longuement, tout fier d’avoir enfin connu l’amour. Mais ce n’était pas fini. « Tu sais – me dit-elle – je suis aussi ouverte de l’autre côté, et adore être prise par là. Mais là aussi il faut me préparer. » Elle me fit me mettre debout, prit dans le tiroir de sa table de nuit un flacon de lubrifiant « Tu dois me graisser le cul, sinon je souffrirai trop ! » Elle se mit en position, tête sur l’oreiller, le bas-ventre surélevé par deux coussins. Je découvris alors, entre les deux cuisses, son anus brunâtre. J’y introduisis instinctivement un doigt « C’est bien, continue ! Fais-le tourner ! Mais n’oublie pas de me graisser ! » Prenant le flacon, je fis pénétrer légèrement le goulot dans la petite rosette et appuyai. Puis, avec deux doigts cette fois, je pénétrai le cul de Laura, tentant d’évaser l’ouverture. Elle gémissait, mais visiblement de plaisir « N’oublie pas de te graisser aussi la queue ! » J’obtempérai et quand je fus prêt, présentai mon sexe entre ses deux fesses, en le faisant glisser sur la petite ouverture « Vas-y maintenant ! » cria-t-elle. Sans hésiter, je forçai ses défenses et la pénétrai sans douceur. Elle poussa un cri de douleur et comme je faisais mine de m’arrêter « Continue, va plus loin, à fond. Défonce- moi, que je te sente bien en moi. » Je poussais de plus en plus fort, et finalement dus m’arrêter, le bas-ventre butant contre ses fesses. J’entrepris alors d’instinct de la limer, lui faisant pousser de nouveaux gémissements, mais cette fois de plaisir.
C’est ainsi que débuta notre liaison. Laura, apparemment satisfaite de mes services, m’invita à venir habiter chez elle, se réservant toutefois deux soirées par semaine. J’ignorerai toujours à quelles fins. Elle avait apparemment déjà croisé pas mal d’hommes dans sa vie. Sans bien m’en rendre compte, j’étais tombé dans les mains d’une femme avertie, experte dans tous les domaines du sexe, et me satisfaisais de cette situation. La nuit, parfois, elle m’interrogeait sur ma vie en dehors de celle que nous menions ensemble. Elle n’avait pas son pareil pour me tirer les vers du nez, s’intéressant tout particulièrement à Elodie sur laquelle j’avouai toujours fantasmer. Mais cette fille me semblait trop distante, comme vivant dans un autre monde. J’avais évidemment d’autres fantasmes comme celui de dépuceler une vierge ou de voir une femme que j’aimais se faire prendre devant moi par un autre homme, des fantasmes sans doute habituels pour la gent masculine. Sans avoir l’air d’y toucher, Laura enregistrait mes paroles. Elle semblait s’être attachée à moi Il est vrai que je ne lui posais aucun problème et que sur le plan sexuel, ma jeunesse me permettait aisément de combler ses continuelles envies. Elle aimait aussi mon inexpérience et, mais cela je ne m’en rendis compte que beaucoup plus tard, ma naïveté. Peu à peu, avec son aide, je découvrais les multiples facettes de l’acte sexuel. Mais lorsque je l’interrogeais sur son passé, elle éludait mes questions. Elle accepta bien de me dire que oui, elle avait eu quelques amants, qu’elle adorait les soirée libertines où il lui arrivait de connaître de nombreux hommes Non, jamais elle ne s’était vraiment attachée à quelqu’un et n’acceptait pas d’être dominée. Visiblement, le rôle de dominante qu’elle avait adopté vis à vis de moi lui convenait parfaitement.
Les semaines passèrent ainsi. Tout ragaillardi par mon nouveau savoir, ma timidité enfuie, je n’hésitais plus à aborder les filles. Mais Elodie, ma cible préférée, semblait toujours vouloir rester en retrait Depuis quelque temps, elle me paraissait souvent absente, les yeux cernés. Mais elle refusait toujours de répondre à mes questions, et je décidai alors de la laisser tranquille. Un vendredi soir Laura me dit « Prévois de me consacrer tout ton week-end. J’ai une surprise pour toi, il est grand temps que je te fasse un cadeau ! » Quand j’arrivai le samedi soir, elle n’avait apparemment pas eu le temps de me préparer à souper. Elle me fit immédiatement monter dans sa chambre et me déshabiller. Rien d’anormal jusque-là. Mais je découvris dans la chambre deux anneaux fixés dans le mur en hauteur. Elle m’y attacha les bras. Puis bizarrement, elle me plaça un bandeau sur les yeux et un bâillon sur la bouche. Je me demandais ce qui allait se passer, tant ces choses étaient inhabituelles. Et tout à coup, je sentis deux mains se saisir de mon sexe, le caresser. Je sentis une langue le parcourir à plusieurs reprises, mais j’étais incapable de savoir à qui elle appartenait. Etait-ce une nouvelle ruse de Laura ? Peut-être. Une bouche alors s’empara de ma queue pour la sucer jusqu’à ce que j’éjacule. Celle qui me léchait avala tout mon sperme, puis se retira J’entendis alors des gémissements, des bruits de sommier. Apparemment, un couple faisait l’amour sur le lit. Et subitement, mon bandeau auquel on avait attaché sans que je le remarque une ficelle, me fut arraché et je découvris sur le lit, totalement nues et emmêlées, Laura et Elodie. Je les vis se lécher, s’embrasser. Puis Laura mit une ceinture munie d’un phallus artificiel et encula carrément celle dont je ne cessais de rêver. Le spectacle dura longtemps. Je bandais à nouveau, mais malgré mon envie, il m’était impossible de me masturber. Quand ce fut terminé, Laura vint m’enlever mon bâillon et avant que je puisse parler « Ne te plains pas, je t’ai promis une surprise, tu vas l’avoir ! » Et se tournant vers Elodie « Ma chérie, il est temps de tenir ta promesse, et de te laisser déflorer par notre ami commun. » Je n’osais croire à mon bonheur. Laura me détacha et me laissa venir près du lit.
Je pouvais maintenant admirer à loisir le corps gracile d’Elodie qui, au contraire de sa nouvelle amie, avait conservé la blonde toison de son sexe, toison à travers laquelle je pouvais deviner la preuve de son excitation. « Comme tu le devines -continua Laura – je lui ai laissé son principal pucelage. Par contre, et à plusieurs reprises, je l’ai possédée par derrière. Cela aussi, tu pourras le faire un peu plus tard. Contente- toi pour l’instant de lui transpercer son hymen, de manière à ce qu’elle soit ouverte de tous les côtés ! Moi, je vais adorer le spectacle que vous allez m’offrir. Et tu peux y aller de suite, je sais qu’Elodie est déjà trempée, un peu par ma faute ! » Je m’empressai d’obéir. Mais avant, j’embrassai passionnément Elodie, ce qui n’eut pas l’heur de plaire à Laura qui me houspilla « Pourquoi traînes-tu ? Cela fait si longtemps que tu attends ! » Je me mis alors en action et maintenant habitué à ce genre d’exercice, je pénétrai sans mal le corps de la jeune fille. Au moment où je lui perforais l‘hymen, Elodie eut un petit sursaut, poussa une plainte sourde mais aussitôt accompagna mes mouvements jusqu’à atteindre avec moi la jouissance. Je restai quelque temps en elle, puis dégageai ma queue qui portait les preuves de sa virginité. Laura impitoyable lui ordonna alors de nettoyer mon sexe avec sa langue, ce qu’elle fit sans hésiter. Quand ce fut fini, je bandais à nouveau « C’est ce que je voulais – proclama Laura – je veux maintenant que tu l’encules ! » Obéissante, Elodie se mit en position et je la sodomisai sans la moindre difficulté. Par ce qu’elle avait dû connaître avec Laura, son anus avait été suffisamment élargi pour ne pas se refuser à de nouvelles intromissions. Toutefois, j’y allai de trop bon cœur, et ma vigueur brutale fit pleurer ma victime. Ce dont, à mon grand étonnement, je me réjouis.
Au cours de la nuit qui suivit, moi placé entre les deux femmes, Laura me raconta comment elle avait rencontré Elodie et comment elle était parvenue à la séduire. Pendant ce récit, je me mis à masturber Elodie qui connut un nouvel orgasme. Et c’est ainsi que débuta notre curieux ménage, où j’avais deux femmes à satisfaire, mais dans lequel ces femmes ne se gênaient pas pour me tenir à l’écart de leurs joutes amoureuses que, le plus souvent, je devais me contenter de regarder. Et croyez-moi, le spectacle était toujours bandant. L’une ou l’autre alors, finissant par s’intéresser à moi me débarrassait gentiment d’une érection qui commençait à me gêner et à laquelle toutes deux m’interdisaient de mettre personnellement fin.
Laura avait bien sûr remarqué combien j’étais attaché à Elodie, et cela la fâchait quelque- peu. Un beau soir donc, elle décida de réaliser un autre de mes fantasmes. Les deux filles m’attachèrent au mur. Puis, Laura fit entrer dans la chambre un noir totalement nu. Il était doté d’un sexe impressionnant. Elodie, visiblement d’accord, se coucha avec cet homme. Et pendant deux heures ma jalousie en prit pour son grade. Elodie, visiblement prenait un énorme plaisir à se faire baiser et enculer par ce nouveau partenaire Je la regardai jouir sans complexe me souriant après chacun de ses orgasmes, comme pour se moquer de moi. Mais cette soirée me fit très mal et ce nouvel aspect du caractère d’Elodie me déplut. La période de rêve que nous avions connue ne dura plus très longtemps. Elodie avait interrompu ses études et se retrouvait de plus en plus en tête à tête avec Laura. Moi-même, j’avais repris mes cours que je suivais de façon le plus souvent irrégulière Un matin où j’étais seul avec elle, Laura m’interpella « N’as-tu rien remarqué dans le comportement d’Elodie ? Elle me semble de plus en plus indépendante, on dirait même qu’elle veut se détacher de nous. Je trouve ce comportement inadmissible pour la soumise qu’elle était et devrait rester. J’ai pris contact avec maître Roger, dont je crois t’avoir déjà parlé. Tu sais qu’il dirige un donjon où il se charge de dresser des soumises rétives. Si tu es d’accord, nous pouvons y amener Elodie demain matin. Nous ne lui dirons rien par avance, mais je suis certaine qu’une fois sur place elle n’osera pas refuser d’y rester. Je voudrais simplement la retrouver plus obéissante. » Je marquai évidemment mon accord et le lendemain matin, nous amenions Elodie au donjon.
Nous lui avions par précaution bandé les yeux. Elle ne cachait pas son inquiétude, mais n’osa rien dire. Après une bonne heure de route, nous arrivâmes sur place. Le donjon se trouvait dans une vaste demeure assez isolée, entourée d’un petit parc. Après nous avoir ouvert la porte, un garde nous emmena tous trois dans un bureau derrière lequel se trouvait maître Roger. « Je dois d’abord vous parler en privé. » nous dit-il et il fit emmener Elodie dans une salle attenante. Il nous questionna ensuite sur les raisons de notre demande pour nous déclarer ensuite « Je crois pouvoir faire quelque chose. Mais ce dressage risque de durer quelque temps, car j’ignore comment réagira ma future élève. Bien sûr, pour elle ce ne sera pas une partie de plaisir. Elle sera annelée, fouettée, elle devra supporter épingles et pinces, elle devra aussi subir des séances d’élargissement anal. Mais surtout elle devra apprendre qu’à l’avenir elle ne sera plus qu’un objet dont je pourrai disposer à ma guise, que je pourrai prêter à des visiteurs, hommes ou femmes, sans qu’elle ait le droit de s’y refuser. Il me faudra la briser mentalement, et en cas de résistance de sa part, les châtiments seraient durs à supporter, le pire pouvant être un séjour d’un mois dans un bordel asiatique connu de moi et dont elle reviendrait totalement dressée. Autre châtiment possible : le marquage au fer. Mais pour ce dernier il me faudrait votre accord, vous qui êtes actuellement ses maîtres. Il faut que vous sachiez aussi qu’au moment où vous sortirez d’ici, Elodie sera devenue ma propriété, et j’aurai seul tous les droits sur elle pendant toute la durée de son séjour dans mon donjon. Alors, que décidez-vous ? » Laura me regarda, je hochai la tête et elle signifia notre commun accord à maître Roger. « Faisons maintenant revenir Elodie, je vais immédiatement la prendre en charge. » Il donna un coup de sonnette et peu après le garde revint, poussant devant lui Elodie. Le maître la regarda « Tes maîtres m’ont demandé de te mettre au pas, es-tu d’accord avec cela et si oui, signe le contrat habituel par lequel tu accepteras toutes mes exigences. » Elodie nous regarda, des larmes dans les yeux « Alors, tu te décides à signer ? » lui dit méchamment Laura. Sans plus attendre, comprenant que Laura et moi serions inflexibles, elle signa le document.
« Très bien – dit maître Roger – et maintenant mets- toi à poil, que je puisse voir ce que tu as à nous présenter » Honteuse, Elodie obéit. Lorsqu’elle fut nue, le maître mit ses vêtements dans un sac. « Pas besoin de vêtements ici Tu seras nue en permanence et ne pourras te rhabiller qu’à ton départ. Examinons- toi maintenant d’un peu plus près. Ta figure n’a guère d’importance. Ici, elle n’est qu’un détail. Ta bouche devra cependant toujours être soignée. Tes seins me semblent convenables, et pourront facilement se laisser étirer Quant à ta chatte, n’en parlons pas. Mes amis ne veulent plus d’une forêt vierge. Dès ce soir tu seras épilée ! » et se plaçant derrière Elodie : « Tu as de jolies fesses, mais elles sont trop resserrées. Elles vont exiger du travail. Enfin, nous avons le matériel adéquat. J’allais oublier, l’annelage d’Elodie se fera lors de la soirée d’après-demain. Que voulez-vous faire anneler, pour je puisse prévoir les anneaux ? »
« Les seins, bien évidemment et aussi son clitoris. Pour les lèvres du sexe nous aviserons plus tard. »
« Il en sera fait selon vos désirs. Voulez-vous assister à la séance ? »
« Bien sûr – répondit Laura – et n’anesthésiez rien. Je veux la voir souffrir ! »
« Comme vous voudrez. Je dois vous avertir que durant quelques jours après l’annelage, Elodie ne pourra avoir aucune relation sexuelle. Mais après tout, nous avons le temps. Allons maintenant visiter le donjon »
Le maître alors plaça au cou d’Elodie un collier de cuir auquel il fixa une chaîne. Il en saisit l’extrémité et sortit du bureau, tirant Elodie dont il avait menotté les mains dans le dos. Laure et moi-même suivions. Le maître nous fit pénétrer dans une grande salle. En apercevant les appareils qui s’y trouvaient, Elodie se mit à trembler. Il y avait là trois croix de St André, trois chevalets, trois machines compliquées. Nous devions apprendre plus tard qu’il s’agissait de machines à baiser. Sur une estrade, trois colonnes avec des chaînes, et au-dessus de ce podium plusieurs palans fixés au plafond dont descendaient de lourdes chaînes. Il y avait également plusieurs tabourets à quatre pieds, trois carcans et fixée au mur toute une panoplie de fouets, martinets et férules. Sur une table, un grand choix de godes et autres appareils. Et dans un coin, un énorme brasero avec plusieurs fers. « Ne soyez pas étonnés – nous dit le maître – très souvent nous travaillons avec un groupe de trois femmes. Exceptionnellement, elles ne seront que deux cette fois-ci. » Il nous fit ensuite visiter trois cellules : chacune était meublée sommairement d’un grand lit, de deux tabourets. Dans un coin, une tinette, comme dans une prison . Une simple table de bois. Au mur plusieurs anneaux et des chaînes. Aucune fenêtre. Une grille remplaçait la porte. On nous fit encore visiter un cabinet médical avec une table d’opération et un fauteuil gynécologique. « Un ami médecin vient plusieurs fois par semaine le soir : c’est lui qui fera demain matin passer une première visite médicale à nos deux nouvelles pensionnaires. C’est lui aussi qui effectuera demain soir les opérations d’annelage. » Revenus dans la grande salle, le maître nous fit pénétrer par une petite porte dans une seconde salle comportant un bar et plusieurs canapés. « C’est ici que nos invités se délassent ou se reposent lors de nos soirées. » Je demandai alors « Mais ces soirées, en quoi consistent-elles ? » « Elles sont très variées, et débutent toujours à vingt heures. Leur durée n’est jamais la même. Les filles y sont présentées à des hommes ou des femmes qui s’occupent d’elles, assistés par deux gardes. Ils peuvent disposer des futures soumises à leur entière convenance : elles ne peuvent rien leur refuser, sous peine de sévères punitions. Mais je suis présent à chaque soirée pour éviter les excès. Le nombre d’invités peut varier de trois à vingt. C’est au cours d’une de ces soirées que des invités pourront demain assister aux annelages d’Elodie et de Carole qui arrivera tantôt. Durant une semaine, les sexes d’Elodie et Carole seront ensuite ménagés pour des raisons d’hygiène Mais elles seront exposées, et pourront déjà être montrées en public dans des positions humiliantes. Je leur expliquerai ce soir le programme qui leur est destiné. La troisième semaine est réservée à des soirées noires. Au cours de celles-ci Elodie et Carole porteront une cagoule de latex noir qui les empêchera de voir et d’entendre quoi que ce soit. Privées de l’ouïe et de la vue, elles porteront cette cagoule même durant la nuit, elles perdront toute notion du temps et de l’espace. Elles n’oublieront jamais cette expérience, très dure à supporter. Je crois qu’il est maintenant temps pour vous de partir, car Carole va arriver. » Le maître appela un garde auquel il confia Elodie et nous partîmes laissant derrière nous notre amie en pleurs.
Ce n’est que quelques semaines plus tard, après son retour, que Elodie nous raconta ce qu’elle avait vécu. Nous avions assisté à deux soirées, celle de son annelage et une des soirées noires, et en avions gardé un étrange souvenir. Mais ce que Elodie nous raconta était pire que ce que nous avions pu prévoir Elle nous parut alors davantage soumise, mais semblait avoir acquis une nouvelle force. Il semblait qu’en elle étaient nés de nouveaux besoins Nous allions d’ailleurs nous en rendre compte à nos dépens.
Voici maintenant le récit d’Elodie. LIRE LA SUITE
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