Le Maître de Francine 5

lundi 22 août 2011
par  alab
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9.—Moments.

Elle arrivait le vendredi soir…

Je l’entendais mettre son collier, sa chaine….

— Bonsoir Maitre….me souriait—elle timidement, le corsage ouvert….J’ai pensé à vous toute la semaine…Quelle tenue voulez—vous que je….Dans la chambre ?...J’y vais…

Selon mon humeur, je disposais sur le lit ce dont j’avais envie…Les premières fois, il n’y avait rien….Elle se déshabillait et revenait nue, rougissante, encore timide, les yeux baissés,, les seins barrés par sa chaine….Je lui désignais du bout de ma cravache les velcros qu’elle fermait en soupirant autour de ses poignets….

Je m’approche.

Elle sent bon…Subtile odeur de vanille et de transpiration…Elle me regarde éperdue…me tend sa bouche que j’ignore…

J’attache ses poignets de chaque coté de sa tête, la corde assez lâche…Enlève les pinces de ses tétons.

Je n’ai pas encore dit un mot…

Elle est splendide….Le corps blanc, les seins tendus, le petit ventre rond, la taille fine, les belles cuisses…Elle a suivi mon regard qui fixe son ventre, elle sait qu’elle doit ouvrir ses cuisses. Son souffle est un peu précipité….
Un geste de la main : elle se tourne, le mouvement lui fait croiser les bras…Un frôlement de ma cravache : elle se cambre…Je salive, je bande tant cette croupe m’excite….

— Retourne—toi….Regarde—moi….Tu as été sage ?
— Oui Maitre….
— Tu t’es branlée ?....Oui ?....Combien de fois ?
— Trois fois Maitre….
— Tu as joui ?...Tu t’es caressé les fesses ?
— Oui Maitre, j’ai joui en me mettant un doigt dans…euh…mon derrière…
— Quelle punition me demandes—tu ?
— Celle que vous voudrez Maitre.
— Mmmmmh !....Est ce que tu portes le redresse seins tous les jours ?
— Oui Maitre.
— Tu as honte ?
— Euh, beaucoup…Avec les pulls qui moulent mes seins, on voit…euh…tout !!!
— Bien….Dix coups sur les fesses…Cinq sur chaque cuisse….Cambre—toi bien !

Je ne retiens pas ma main…Les coups tombent, bien espacés…Ses cris, ont diminué d’intensité, mais pas les soubresauts de son corps…. Je m’applique à dessiner sur ses fesses un beau lacis de marques….
Cuisses ouvertes, le corps cabré en arrière, elle tremble…Son visage se couvre de larmes.

Elle tremble en voyant la cravache prête à s’abattre…Hurle….De frayeur, de petits jets d’urine fusent devant elle….

J’ai fini….Ma cravache relève la tête affaissée….

— Je vous aime, mon Maitre….

Bien que sa voix chevrote de sanglots refoulés, je souris….Cette fois, je la détache….Au lieu de la laisser attachée une heure comme d’habitude….

— Tu as été sale, coquine….Lèche ton pipi, à 4 pattes…Bien…Va chercher les pinces à vis.

Elle ferme les yeux, en me tendant ses seins dans ses mains en coupe…Gémit, bouche ouverte quand je serre les vis jusqu’à ce que les tétons soient écrasés…..Mais elle ne crie plus….

— A genoux et suce mes orteils….

Je dois reconnaître qu’elle supporte de mieux en mieux ces douloureux intermèdes…

Et même si les prétextes que je prends pour la battre sont iniques, elle a compris, du moins je le pense, que cela fait partie de son dressage…
Obéissante….De moins en moins de manquements…

— Bien….je me tourne….Lèche—moi le cul, nettoie—moi, je ne me suis pas essuyé….

Son souffle sur mes fesses, qu’elle ouvre et la douceur de sa langue qui me lèche, qui m’encule, qui tourne en moi…..Je me redresse….Ses yeux sont fixés sur ma bite qui tressaute….Elle se lèche les lèvres, me sourit, écarlate…..

— Allons, relève –toi….Va chercher tes bas, un string, les talons noirs, le serre taille et le petit jupon, le plus petit….Et tu apporteras les aiguilles….Viens que je t’enlève les pinces….
— Aaaaah !....Ouuuuuf….

Les tétons gonflent et elle se tord….Ses mains hésitent, elle sait qu’elle ne doit pas soulager ses seins….Elle aspire l’air….Soupire et disparaît…..
Cette « mise en condition », comme elle le reconnaitra plus tard, est indispensable….Elle me confiera aussi, qu’elle avait craint que je sois plus brutal, plus cruel….Il n’y a toutefois que quand….et cela est arrivé…. elle dépasse les bornes qu’elle connaît bien, quand elle me met en colère que les punitions sont très sévères….vraiment sévères….

Cette nuit là, je l’avais amenée à une soirée à Chantilly….Elle était magnifique, quasiment nue dans une robe longue qui la moulait…Mais au lieu de rester près de moi, la coquine n’a pas voulu refuser de danser, de s’amuser comme une folle, de flirter….

Chaude comme une chienne, elle m’a pris par la main et dans le jardin, s’est troussée pour s’empaler sur moi…..Un ami nous a surpris…..Et l’a prise par les fesses en même temps que moi….

Le lendemain matin, je l’ai tellement battue, marquée….Elle est partie deux heures après.

Je ne regrettais pas mon geste….Et je ne m’étonnais pas trop de sa fuite…J’étais furieux.

Elle est revenue le vendredi suivant…

— Je ne le referais plus….m’a—t—elle soufflé, après un baiser très long…Plus jamais….Je ne peux plus vivre sans toi….

Sa façon de découvrir mon corps….
De cajoler ma bite : de la lécher, de la sucer était en soi un enchantement….De lui parler bébé…D’elle—même, elle a tout découvert, avec une gourmandise de petite fille qui goute son premier bonbon….

— Que c’est bon de te sucer !!!…..C’est fantastique !.....Ma bouche est faite pour ta bite….. murmurait—t—elle……J’aime tant ta bite, ma belle bite….Celle qui me fait jouir comme une folle…..La plus belle….Qui va me donner mon régal…

Et puis….LIRE LA SUITE

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Commentaires

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mercredi 24 août 2011 à 08h34 - par  Henic

J’ai déjà eu l’occasion de dire que je n’apprécie pas les aspects scatos. Pour le reste, je trouve que ce récit est fascinant. En particulier, je trouve de bon aloi le refus de la cruauté sadique qui considère que la femme n’est qu’un objet sexuel : le respect mutuel qui conduit ici à améliorer les relations des deux partenaires me paraît beaucoup plus intéressant.

mardi 23 août 2011 à 09h52

Mais qu’est ce que vous êtes saaaaaaaaale et dégoûtant !!! c’est à gerber : je court vomir aux toilettes :/