L’école des « besoins » 2

Quelques mois plus tard...
jeudi 23 novembre 2006
par  Perpol
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Ils se sont contactés et retrouvés. Les voilà tous deux attablés face à face et l’ambiance est maussade. L’endroit où ils se trouvent n’est pas terrible, plutôt sombre et désert.

Au fait, il n’y a personne qu’eux, même le patron a déserté son lointain comptoir. Les tables sont illuminées à la bougie. Ils sont là assis et n’ont pas grand-chose à se dire.

Il se rend compte qu’il a envie de pisser mais qu’il n’a pas envie de se lever et de se déplacer vers les toilettes. Il le lui dit, elle le regarde, sans plus. Il lui vient soudain une idée qui lui chauffe les sens et allume une flammèche diabolique au fond de ses yeux.

Il dézippe sa braguette, découvre son zob et pisse sous la table. Son puissant jet d’urine gicle sur ses jambes à elle, lui coule le long des bas nylon, s’insinue à l’intérieur de ses hauts talons.

Elle frémit, le regarde et sourit. Ou plutôt, elle grimace vicieusement d’un air salace qu’il lui connaît bien. Son minois fatigué se met à resplendir. Comme il la voit là, il la trouve franchement désirable. Il le lui dit.

Elle lui dit qu’elle a également envie de se soulager et qu’elle est occupée à pisser dans sa culotte. La banquette en velours sombre sur laquelle elle est assise boit goulûment son liquide saumâtre.

Elle lui dit qu’en faisant un effort, elle pourrait également avoir envie de chier. Il lui rétorque, avec un air de défi, qu’elle n’oserait jamais, mais le ton de sa voix trahit son doute.

Elle prend ce faux défi au sérieux et se met à émettre un étron qui s’écrase entre ses fesses et sa culotte, emmerdant la raie de son cul, lui maculant jusqu’au sexe.

Elle lui dit qu’elle a une impression de chaleur entre les jambes. Il sent une odeur de merde et cette odeur ne lui déplait pas. Rien de ce qui vient d’elle ne lui déplait. Il lui dit qu’il aime toutes ses odeurs.

Elle lui demande un mouchoir en papier. Il le lui donne. Elle passe la main dans sa culotte et y saisit à main nue un bout de merde tout gluant qu’elle emballe dans le papier.

Elle lui tend l’amulette ainsi créée et lui dit : « mange cela et tu feras de moi tout ce que tu voudras ». Il reste interloqué, plonge ses yeux dans les siens et y lit qu’elle parle sérieusement.

Il prend le papier de ses mains, le porte à son nez et lui trouve une odeur piquante, nauséabonde, franchement immangeable. Puis il la regarde, il pense très fort à elle et à la promesse qu’elle vient de lui faire : le don total d’elle-même.

Il lui dit : « de moi toi aussi tu feras tout ce que tu voudras ». Puis il porte le petit paquet à sa bouche et l’avale après l’avoir humecté de salive. Il a un goût de merde en bouche, « de sa merde à elle », se dit-il. LIRE LA SUITE



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