La comptable rend des comptes 3
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Résumé des épisodes précédents : Comptable dans une petite entreprise j’ai commis des erreurs dans les comptes de la société. Mon patron s’en est aperçu et me fait chanter depuis, me soumettant sexuellement à ses désirs les plus abjects. Vos commentaires sont toujours les bienvenus…
Cela faisait maintenant plus de deux semaines que mon enfer avait commencé. Chaque jour mon patron en exigeait un peu plus, chaque jour il me faisait descendre un peu plus profond dans l’abjection. Il me forçait à me masturber tellement souvent que j’en étais épuisée, et excitée en permanence. Je continuais à le sucer chaque jour et il y prenait toujours autant de plaisir, variant le final pour m’humilier toujours un peu plus. Une fois par exemple j’ai du ramasser le sperme sur mon visage et en enduire mon anus, ensuite faire pénétrer un puis deux et finalement trois doigts le plus loin possible dans mon rectum. Il m’a forcée à faire aller et venir mes doigts à l’intérieur. Ce manège a duré de longues minutes et je sentais mon petit trou s’élargir peu à peu, mes doigts coulissaient de plus en plus facilement et allaient de plus en plus loin. Ensuite j’ai du sucer mes doigts pour les nettoyer pendant qu’il prenait des photos. Il m’a également photographiée à genoux, de dos, cambrée et les cuisses ouvertes le plus possible, pendant que j’écartais mes fesses largement à deux mains pour montrer mon anus béant. Le lendemain quand j’ai collé cette photo dans l’album j’ai pu constater à quel point j’étais ouverte, le cul défoncé par le va et vient de mes doigts. Je n’aurais jamais imaginé être aussi extensible, moi qui n’avait essayé la sodomie que deux fois, sans en retirer vraiment de plaisir.
En rentrant chez moi le soir je n’avais plus le courage de rien faire, je prenais un bain et j’allais me coucher, mais mon sommeil était troublé presque chaque nuit par des cauchemars érotiques qui me réveillaient en sursaut, haletante et bien évidemment trempée de mouille. Je me caressais alors frénétiquement et cela me faisait retomber dans le sommeil jusqu’au matin.
Un soir après le départ des autres employés (il m’avait interdit de quitter le travail sans sa permission) je l’ai vu arriver dans mon bureau. Jusqu’à maintenant il m’avait toujours fait venir jusqu’à lui et cela m’a surprise. Il m’a fait mettre complètement nue et m’a expliqué que puisque j’étais aussi nulle en compta j’allais compenser en faisant un peu de ménage. Sur ce nous sommes sortis de mon bureau et avons emprunté le couloir qui traverse tous les locaux. Je marchais devant lui et ça me faisait vraiment un drôle d’effet de traverser la boîte toute nue avec mon patron qui matait mes fesses. Nous sommes arrivés au bout du couloir, devant la porte des toilettes des hommes, et il m’a fait entrer. Il a ouvert la porte d’une cabine et m’a fait agenouiller devant la cuvette. [LIRE LA SUITE]]->art19]
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