Confidences
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— Ce matin, si vous saviez ce que j’ai fait en pensant à vous... Vous m’avez pris mon Ange. J’ai été votre petite garce et vous m’avez véritablement possédé. Possédé plus que je ne l’avais jamais osé. Installez-vous, écartez vos jambes que vos cuisses me soient accessibles en pensées, je vais tout vous raconter, et vous coulerez, vous fondrez, je vous le promets —
J’avais très envie, vraiment très envie de vous. J’avais envie de m’offrir à vous telle la petite garce que j’aimerais être pour vous. Alors j’ai fouillé dans les recoins de notre tiroir pour y dénicher prendre notre seul jouet. Un gode d’une vingtaine de centimètre. Cette fois il serait pour moi. Un autre tiroir... je saisis le lubrifiant. Vous savez où je veux en venir. Vraiment, j’avais envie de me mettre à genoux, de vous montrer mon culs ostensiblement. De le remuer comme un chien devant sa maîtresse, j’avais envie d’être chien, d’être votre objet. J’avais envie de stupre, de décadence, j’avais envie d’ailleurs, d’un truc fort. C’est dans ces instants que je me sens drogué. J’avais envie de me défoncer, d’écarter mes chairs. Je connaissais déjà ce plaisir, mais jamais je ne l’avais poussé à ce point.
Alors je me suis mis dans la baignoire, rien que l’idée avait gonflé mon sexe. Je n’ai pas envie de vous cacher quoi que ce soit, alors je vais tout vous dire, tout dans les moindre détails, vous toucherez à mon intimité et je me dévoilerai à vous sans fard, sans tabou. C’est exactement ce que j’ai ressenti ce jour là lorsque je me suis offert entièrement à vous. J’ai d’abord enduit mes doigts de lubrifiant. J’ai caressé cette peau si étrange, douce et élastique, celle que tant d’homme n’osent pas visiter. J’ai fait pénétré un doigt d’abord pour sonder mon intérieur. Aujourd’hui je me dis que ce matin là je me sentais femme, en chaleur. C’était bon, presque doux. J’ai fermé les yeux et fait quelques vas et vient, me concentrant sur vous, imaginant que c’était votre doigt.
J’ai cherché à imaginer ce que vous pourriez voir si vous étiez derrière moi, je voyais mon cul et votre regard hypnotisé par ce cyclope interdit. J’ai fait plusieurs va et vient, à nouveau encore un peu de lubrifiant, pour faire pénétrer un deuxième doigt. Confidences, le lubrifiant était superflu, mais je voulais que tout glisse en moi comme ma queue le fait lorsqu’elle s’immisce dans votre chatte inondée. J’ai tellement l’impression que mon cul est élastique... avec un tant soit peu de stimuli... j’avais envie d’y mettre ma main entière. Votre main... Flash. Je me souviens d’images de débauche... les râles de cet homme pénétré par les mains de deux tentatrices, toujours plus profondément... quelles images troublantes. Les doigts se sont enfoncés, ont élargi mon cul... 4 doigts, déjà. Mais je ne suis pas allé plus loin, je n’ai pas osé. J’en avais envie, je n’ai pas osé.LIRE LA SUITE
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