Caroline -1-
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Chap. I – Le voyage de noces.
Pierre, Jacques, François et Karim, on les appelle les trois mousquetaires, car ils sont quatre comme les vrais et inséparables depuis la maternelle.
Moi c’est Caroline et je suis la femme de Pierre que j’ai rencontré lors d’une fête organisée pour l’anniversaire de Jacques qui est le frère de ma meilleure amie Valérie.
Le meneur, c’est Jacques, une vraie bête d’un mètre quatre-vingt-dix-huit pour cent et dix kilos de muscles, il a toujours l’air de vouloir défoncer une porte dès qu’il en prend la poignée. Quand il me prend dans ses bras, j’ai l’impression d’être la pauvre Jessica Lange dans King Kong, pourtant il est d’une gentillesse et d’une douceur incroyable vu son gabarit.
Karim, c’est le suiveur. Il voue à Jacques une admiration sans limites et le suivrait jusqu’en enfer s’il le lui demandait. Petit et maigre comme un clou, c’est à peine s’il trouve des vêtements au rayon homme, il doit souvent aller chez les enfants pour trouver des chemises et ses pantalons doivent être raccourcis et repris avant qu’il puisse les mettre. Il est d’une agilité extraordinaire, est ceinture noire de judo et un sportif accompli.
François c’est le méchant de la bande, il a des fréquentations douteuses et a déjà failli se retrouver plusieurs fois en prison. Il est toujours habillé à la dernière mode et roule dans une superbe BMW série cinq blanche pourtant c’est le seul à ne pas travailler, il est au chômage. Chacun sait qu’il arrondit ses fins de mois, mais personne ne sait comment, il faut reconnaître que les autres ne lui posent jamais de questions sur sa manière de gagner sa vie.
Puis, il y a Pierre, c’est le comptable de la bande. À chaque sortie, il tient la bourse et paye les tournées avec l’argent de la cagnotte qu’il constitue avant de sortir. C’est aussi un éternel romantique un peu fleur bleue, il a réussi à rester éloigner de la bande pendant trois semaines, le temps de faire ma conquête. Il m’offrait des fleurs presque tous les jours et m’emmenait au restaurant un soir sur deux. Pourtant dès que je lui ai dit que je voulais bien l’épouser, il m’a laissé téléphoner à mes parents pour les rassurer et nous nous sommes retrouvés dans la chambre nuptiale de l’hôtel le plus chic de la ville où j’ai passé une nuit torride à passer le Kamasoutra en revue, car, outre le fait d’être un romantique, Pierre est aussi un obsédé sexuel.
Je suis entrée vierge et innocente dans la chambre et j’en suis ressortie sans la moindre virginité à offrir. À partir de cette nuit-là, je me suis retrouvée comme le cinquième mousquetaire de la bande. Sortir avec quatre mecs à des inconvénients, mais aussi des avantages.
L’inconvénient majeur, c’est que plus personne n’ose m’approcher sans qu’un des quatre vienne s’interposer.
L’avantage le plus important c’est que je pourrais encore être à poil au milieu de la piste, personne n’oserait me toucher même des yeux. Depuis que je suis « la poule » de Pierre, je suis devenue une espèce surprotégée.
Je dois avouer aussi que mon mari étant un obsédé sexuel ne m’a jamais caché qu’il avait le désir de me voir coucher avec ses amis, mais que cela se passerait quand je me sentirais prête à le faire. Et, comme il le voulait, petit à petit, je me suis habituée à avoir les quatre hommes pour moi et bientôt je ne me suis plus formalisée de leurs mains baladeuses, ce qui fait que lors de notre voyage de noces, je n’ai pas été surprise outre mesure de voir les trois mousquetaires réunis à la terrasse d’un café de Venise dès le premier jour.
Quand Pierre à proposer de faire un tirage au sort pour savoir avec qui je passerais la nuit, je n’ai pas hésité longtemps à donner mon accord. C’est ainsi que je me suis retrouvée avec Karim pour rentrer à l’hôtel ce premier soir de mon voyage de noces, je ne vous dis pas la tête du réceptionniste de l’hôtel qui m’avait vu avec Pierre la veille.
Un peu honteuse sous le regard ébahi du jeune homme, j’ai demandé la clé de ma chambre et nous sommes montés. À peine entré, Karim a commandé un repas pour deux et nous avons sagement attendu l’arrivée du groom de service avec le chariot repas.
Je ne sais pas très bien comment me comporter avec le jeune homme et j’avoue que j’ai peur de ce qui va arriver. Même avec l’accord de Pierre, j’ai l’impression de tromper honteusement mon mari et les yeux de Karim qui me déshabillent ne me mettent pas vraiment à l’aise.
— Cool poupée ! me dit-il en souriant, ça va bien se passer. On va manger et prendre son temps pour faire connaissance.
Mon anxiété se voit donc.
— Ne m’en veux pas, mais j’ai peur, pas de toi, mais de ce que nous allons faire.
— Nous allons faire ce que des millions de gens font tous les jours, on va se régaler avec des pâtes et du bon vin italien et après, nous prendrons un dessert.
Dès que le repas arrive, Karim prépare la table avec bougies et la rose dans le vase. Nous passons une bonne heure à manger doucement, comme si nous voulions retarder le moment de passer à autre chose.
Puis, le vin aidant, je me suis relaxée et quand Karim me prend la main je ne tremble plus et je lui souris.
Il va mettre la chaîne stéréo en route pour un slow langoureux et m’entraîne au centre de la chambre après avoir baissé l’intensité de la lumière. Nous dansons tranquillement pendant quelques minutes puis doucement les mains de Karim commencent à bouger sur mon corps tandis que sa bouche dépose de petits baisers dans mon cou. Il commence par me caresser les fesses avant de remonter dans mon dos. Il se presse contre mon ventre et je sens son sexe se frotter contre moi.
Malgré moi, je suis impressionnée par la grosseur et la dureté de l’engin et je ne peux m’empêcher d’imaginer ce que cela va me faire quand il rentrera en moi. Je sens le désir me tordre le ventre. Lentement, il fait sortir mon chemisier de ma jupe et je m’écarte légèrement pour qu’il puisse défaire les petits boutons de nacre. Puis ses mains glissent sous le chemisier et viennent dégrafer l’attache de mon soutien-gorge.
Je sens les bonnets se dégager de mes seins et j’ai envie de me débarrasser de mon chemisier et du soutien, mais je laisse l’initiative à celui qui va bientôt devenir mon amant.
Avec des gestes doux et lents, il fait tomber mes vêtements sur le sol et je me retrouve les seins nus face à Karim qui ouvre la bouche et prend mes petits tétons entre ses lèvres pour les sucer et les titiller avec la langue.
Les petits boutons de chair ses dressent sous la caresse et deviennent dur comme de la pierre, mes seins se gonflent de désir et c’est moi qui me presse contre Karim. Je ne résiste plus au désir qui me brûle, mes mains s’enhardissent et je commence à défaire les vêtements du jeune homme.
Très vite, sa chemise rejoint mon chemisier et il doit m’aider quand je défais la boucle de sa ceinture. Puis, les choses s’emballent et c’est avec des gestes fébriles que le reste de nos vêtements tombent sur le sol à nos pieds.
Je ne peux m’empêcher de jeter un regard sur la tige de chair qui va bientôt envahir mon ventre, elle est impressionnante et je deviens impatiente de la sentir en moi.
Le jeune homme me couche sur le tapis et vient se mettre entre mes cuisses. Des doigts il caresse les lèvres de ma chatte et il se rend compte que je suis prête à le recevoir.
Karim écarte doucement mes lèvres intimes et présente son sexe à l’entrée de mon vagin. Lentement il pousse la tige de chair qui entre sans à coup en se frayant un chemin dans mon intimité. Pierre est bien pourvu par la nature, mais ce n’est rien à côté de la grosseur de l’engin de Karim qui commence un mouvement de va-et-vient en moi.
Il ne me faut pas longtemps pour sentir le plaisir monter en moi sous les assauts du jeune homme. Je me mors la lèvre pour ne pas crier quand le plaisir explose en moi, je me contente de serrer Karim entre mes bras et de me jeter à sa rencontre. Deux fois de suite j’atteins l’orgasme sous le joug de Karim qui semble inépuisable.
Alors que je crois qu’il va me donner une troisième fois du plaisir, le jeune homme se retire et me retourne comme une crêpe. Je comprends immédiatement ce qu’il veut et je tends mes mains pour écarter mes fesses et lui faciliter la tâche quand il présente le gland de son sexe à mon anus. Il doit faire un effort pour introduire la tige de chair de sa verge dans mon fondement.
Cela me fait un peu mal, mais j’avoue que j’aime être prise de cette façon si Karim avait la bonne idée de me caresser le clitoris en même temps ce serait parfait, j’ai à peine le temps de penser à ce qu’il pourrait faire que je sens ses doigts se faufiler vers ma chatte et prendre mon clitoris qui n’en demandait pas tant pour se tendre sous la caresse. Je mords l’oreiller pour ne pas crier quand je jouis pour la troisième fois. Karim délaisse mon petit bouton pour prendre me seins à pleine main et jouer avec les bouts qu’il triture en tous sens en se faisant aller en moi. Cette fois, il ne s’intéresse plus à mon plaisir, il ne pense plus qu’au sien.
En même temps qu’il pousse un faible gémissement de plaisir, je sens son sperme m’inonder les intestins et il se laisse tomber lourdement sur moi. Il reste un long moment sans bouger, juste le temps de reprendre sa respiration qui se calme peu à peu.
Il se lève et court à la salle de bain prendre une douche. Il est sous le jet d’eau chaude quand je m’invite dans la douche et naturellement il m’aide à me laver et cela se termine par un gros câlin avec ma bouche.
Trois fois nous avons remis le couvert au cours de la nuit et à chaque fois, Karim s’est montré habile et patient. À chaque fois, il m’a fait jouir plusieurs fois et c’est complètement épuisés que nous nous sommes écroulés pour dormir dans les bras l’un de l’autre.
Comme demandé à la réception, on nous réveille vers onze heures du matin en nous apportant une sorte de petit déjeuner amélioré. On se dépêche, car nous avons rendez-vous avec les autres à midi trente dans un petit restaurant plutôt sympa.
Cette fois je le laisse seul sous la douche, ce n’est pas l’envie qui me m’empêche de le rejoindre, mais bien le temps que nous n’avons plus. Je suppose que j’aurai encore l’occasion de passer un moment avec Karim dans l’avenir et je m’en réjouis d’avance, car c’est vraiment un amant hors pair qui donne autant de plaisir qu’il en prend.
J’avoue être un peu déçue du comportement de Pierre quand nous entrons dans la salle du restaurant, il ne paraît pas le moins du monde inquiet pour moi, au contraire il se précipite vers Karim.
— Alors, ça été ?
Très bien lui répond le jeune homme en saluant ses amis.
Nous nous asseyons à la grande table, moi près de mon mari qui se contente de me donner un léger baiser sur les lèvres et de mettre une main sur ma cuisse. Ils reprennent leur conversation sans plus se préoccuper de notre arrivée.
— La Juve devait gagner s’ils n’avaient pas raté autant d’occasions…
Ils parlent foot et là, je n’ai pas droit de cité. Je regarde les quatre hommes en me demandant lequel sera mon compagnon d’un soir ?
Jacques ne me regarde pas souvent, mais par contre François jette souvent un regard furtif sur ma personne. Des deux je crois que c’est François le plus inquiétant, il ne me paraît pas vraiment franc du collier et je risque de passer une sale soirée avec lui. Je me trompe peut-être, mais cet homme me fait un peu peur.
Nous passons l’après-midi à flâner dans la ville de Venise en allant visiter le palais des Doges et la place Saint-Marc en laissant la visite de la ville sur les canaux pour le lendemain. Vers vingt heures je rentre à l’hôtel avec Jacques qui est l’heureux élu de ce soir.
À vingt-deux heures, il dort comme un bien heureux en tenant son oreiller comme si c’était un nounours. À peine entré dans la chambre, il s’est jeté sur moi pour me déshabiller fébrilement puis il s’est vidé trois fois dans un orifice différent avant de s’écrouler et de s’endormir en me laissant seule et frustrée.
Il faut reconnaître qu’entre Karim et lui, il n’y a pas photo. Je suis obligée de me réfugier dans la salle de bain pour me masturber et me calmer un tantinet avant de me coucher dans ce qu’il me laisse du lit.
À huit heures, je suis debout et fais monter un petit déjeuner et à onze heures nous sommes au restaurant où nous devons attendre près d’une heure pour voir arriver les trois autres. Jacques donne des claques dans le dos de Pierre.
— Super ta femme, elle est bonne mon Dieu c’était super.
Je préfère ne pas faire de commentaires et me contente de faire une petite place à mon mari qui comme la veille se contente d’un furtif baiser sur mes lèvres pour me saluer.
Cette fois la conversation vole sur le cinéma, car les trois gaillards ont été voir un film auquel ils n’ont rien compris puisqu’il était en italien, mais ils discutent des scènes de combat qu’ils ont trouvées géniales, mais ce qui les a surtout marqués, c’est l’actrice principale qui était particulièrement jolie.
J’ai beau questionner les hommes aucun n’est capable de me dire le titre du film qu’ils ont été voir.
Cette fois, ils nous laissent Pierre et moi en amoureux pour faire la visite de la ville en gondole, nous avons rendez-vous à dix-huit heures à la terrasse d’un café. Je m’attends à passer une après-midi cool et relax avec mon mari, mais il est trop curieux et veut savoir comment ce sont passées mes deux nuits avec ses amis. Comme je n’ai pas trop envie de m’épancher sur les performances de l’un ou de l’autre, nous finissons par nous disputer et, au lieu de faire le voyage en gondole collé l’un à l’autre, nous nous retrouvons dos à dos. C’est toujours en froid que nous retrouvons les autres et que je suis François qui sera mon amant du soir.
Des trois, c’est celui qui est le plus à l’aise à l’hôtel. Il va directement vers le comptoir de réception pour demander la clé de la chambre. Le réceptionniste ne cache pas son sourire en constatant que c’est le quatrième homme différent qu’il voit avec moi en quatre soirs. Je préfère ne pas le regarder franchement et je rougis un peu en passant devant l’homme qui ne me quitte pas des yeux.
— À poil !
La porte de la chambre n’est pas encore bien fermée que l’ordre claque sec comme un coup de fouet. C’est plus fort que moi, je me tourne vers François et le toise.
— Non, mais tu te crois où là ? Je ne suis pas une pute et je veux du respect.
François me regarde et sourit de toutes ses dents.
— Houla là ! On se rebiffe. Je sens qu’on va bien s’amuser tous les deux. J’aime dresser les pouliches.
— Et je ne suis pas une jument non plus. Tu aurais pu me demander gentiment de me déshabiller et je serais nue maintenant.
— Peut-être que tu serais à poil, mais je n’aurais pas pris mon pied alors que maintenant, je vais prendre un pied d’enfer à te mater.
J’ouvre la bouche pour lui répondre, mais je n’en ai pas le temps, une paire de gifles m’envoie valdinguer au milieu de la chambre. Je n’ai pas le temps de me reprendre que François est déjà près de moi, il me prend par l’échancrure de mon corsage et déchire ma robe.
Comme s’il était pris d’une rage folle, il continue son œuvre de destruction et bientôt je suis nue avec les lambeaux de mes vêtements éparpillés sur le sol de la chambre. Je suis verte de rage et mes yeux lancent des éclairs en direction de l’homme qui se penche sur moi.
— Je te rappelle que je suis la femme de Pierre et que j’ai accepté de coucher avec toi et tes amis, mais pas d’être traitée comme la dernière des putains. Maintenant tu vas sortir, retrouver tes potes et inventer une histoire plausible pour justifier ta présence.
— Ha ! Ha ! Ha ! Tu es vraiment la reine des connes si tu crois que je vais sortir de cette chambre sans t’avoir sauté. Je suis ici pour passer une nuit avec toi et j’ai bien l’intention de profiter de tes trous à bittes que cela te plaise ou non.
Avant d’avoir le temps d’ouvrir la bouche, François se baisse et m’attrape par le bout d’un sein. Il sert brusquement le petit bouton de chair tendre et tire dessus pour m’obliger à me lever.
— Aïe, tu me fais mal.
— Tu vas avoir encore plus mal si tu l’ouvres encore pour faire autre chose que pour prendre ma bitte en bouche.
— Jamais ! dis-je avec rage.
De l’autre main, il me saisit les cheveux et me force à me mettre à genoux. Me tenant toujours par les cheveux, il ouvre sa braguette et sort son sexe qu’il me pousse dans la bouche. Je pourrais le mordre, mais je sais qu’il me le ferait payer très cher, je ne crois pas que cela en vaille la peine. De plus je me vois mal sortir toute nue dans les couloirs de l’hôtel et puis je dois avouer que je ressens une chaleur inédite au creux de mon ventre d’être traitée de cette manière. Je n’aurais jamais imaginé ressentir une sorte de plaisir d’être brutalisée.
François se fait aller dans ma bouche en me tenant toujours les cheveux, il se sert de ma bouche comme si c’était une chatte. Brusquement il se retire et me donne deux gifles violentes.
— - Si tu en veux d’autres, me dit-il d’une voix arrogante, continues, à me résister et tu seras servie, crois-moi.
Je le crois bien volontiers et je préfère lui obéir que de tenter le diable.
— Ça va, j’ai compris, je ferais ce que tu veux, mais ne me frappe plus.
— Si j’ai encore une fois à me plaindre de toi, je te donnerai une fessée avec ma ceinture pour que tu comprennes que c’est moi le chef et que tu dois faire ce que je veux.
Il va s’asseoir à la table et commence à grignoter. Il écarte les cuisses et me montre son sexe en érection.
— Suce-le, mais ne me fais pas jouir, me dit-il la bouche pleine.
Je m’avance lentement à genoux et je prends la tige de chair en bouche et commence à le pomper doucement. Je sors la langue et lèche le gland comme si c’était une crème glace avant de reprendre la queue dans ma bouche et me l’enfoncer jusqu’au fond de la gorge. Ce petit jeu dure près d’une heure, je commence à avoir mal à la mâchoire et François a de plus en plus difficile à se retenir, mais à chaque fois que je sens qu’il est prêt à jouir, je me retire et lui laisse quelques secondes le temps qu’il se reprenne. Je frissonne de plaisir quand le jeune homme me caresse les cheveux pendant que je le suce.
Sans douceur, il me repousse, se lève et m’attrape par le bras pour m’entraîner vers la salle de bain, je me demande ce qu’il a dans la tête, mais je le suis docilement, je suis prête à tout avec lui.
Arrivé à la salle de bain, il me fait monter dans la baignoire et me fait mettre à genoux les poignets dans le dos puis il se déshabille et vient se mettre face à moi debout.
— Ferme les yeux parce que ça pique.
Valérie.
Le meneur, c’est Jacques, une vrai bête d’un mètre quatre-vingt dix-huit pour cent et dix kilos de muscles, il a toujours l’air de vouloir défoncer une porte dès qu’il en prend la poignée. Quand il me prend dans ses bras, j’ai l’impression d’être la pauvre Jessica Lange dans King Kong, pourtant il est d’une gentillesse et d’une douceur incroyable vu son gabarit.
Karim, c’est le suiveur. Il voue à Jacques une admiration sans limite et le suivrait jusqu’en enfer s’il le lui demandait. Petit et maigre comme un clou, c’est à peine s’il trouve des vêtements au rayon homme, il doit souvent aller chez les enfants pour trouver des chemises et ses pantalons doivent être raccourcis et repris avant qu’il puisse les mettre. Il est d’une agilité extraordinaire, est ceinture noire de judo et un sportif accompli.
François c’est le méchant de la bande, il a des fréquentations douteuses et a déjà failli se retrouver plusieurs fois en prison. Il est toujours habillé à la dernière mode et roule dans une superbe BMW série cinq blanche pourtant c’est le seul à ne pas travailler, il est au chômage. Chacun sait qu’il arrondit ses fins de mois mais personne ne sait comment, il faut reconnaître que les autres ne lui posent jamais de questions sur sa manière de gagner sa vie.
Puis, il y a Pierre, c’est le comptable de la bande. A chaque sortie, il tient la bourse et paye les tournées avec l’argent de la cagnotte qu’il constitue avant de sortir. C’est aussi un éternel romantique un peu fleur bleue, il a réussi à rester éloigner de la bande pendant trois semaine, le temps de faire ma conquête. Il m’offrait des fleurs presque tous les jours et m’emmenait au restaurant un soir sur deux. Pourtant dès que je lui ai dit que je voulais bien l’épouser, il m’a laisser téléphoner à mes parents pour les rassurer et nous nous sommes retrouvés dans la chambre nuptiale de l’hôtel le plus chic de la ville où j’ai passer une nuit torride à passer le Kamasoutra en revue car, outre le fait d’être un romantique, Pierre est aussi un obsédé sexuel.
Je suis entrée vierge et innocente dans la chambre et j’en suis ressortie sans la moindre virginité à offrir. A partir de cette nuit là, je me suis retrouvée comme le cinquième mousquetaire de la bande. Sortir avec quatre mecs à des inconvénients mais aussi des avantages.
L’inconvénient majeur, c’est que plus personne n’ose m’approcher sans qu’un des quatre ne vienne s’interposer.
L’avantage le plus important c’est que je pourrais encore être à poil au milieu de la piste, personne n’oserait me toucher même des yeux. Depuis que je suis « la poule » de Pierre, je suis devenue une espèce surprotégée.
Je dois avouer aussi que mon mari étant un obsédé sexuel, ne m’a jamais caché qu’il avait le désir de me voir coucher avec ses amis mais que cela se passerait quand je me sentirais prête à le faire. Et, comme il le voulait, petit à petit, je me suis habituée à avoir les quatre hommes pour moi et bientôt je ne me suis plus formalisée de leurs mains baladeuses, ce qui fait que lors de notre voyage de noce, je n’ai pas été surprise outre mesure de voir les trois mousquetaire réunit à la terrasse d’un café de Venise dès le premier jour.
Quand Pierre à proposer de faire un tirage au sort pour savoir avec qui je passerais la nuit, je n’ai pas hésité longtemps à donner mon accord. C’est ainsi que je me suis retrouvée avec Karim pour rentrer à l’hôtel ce premier soir de mon voyage de noce, je ne vous dis pas la tête du réceptionniste de l’hôtel qui m’avait vu avec Pierre la veille.
Un peu honteuse sous le regard ébahi du jeune homme, j’ai demandé la clé de ma chambre et nous sommes monté. A peine entrer, Karim à commander un repas pour deux et nous avons sagement attendu l’arrivée du groom de service avec le chariot repas.
Je ne sais pas très bien comment me comporter avec le jeune homme et j’avoue que j’ai peur de ce qui va arriver. Même avec l’accord de Pierre, j’ai l’impression de tromper honteusement mon mari et les yeux de Karim qui me déshabillent ne me mettent pas vraiment à l’aise.
— Cool poupée ! Me dit-il en souriant, ça va bien se passer. On va manger et prendre son temps pour faire connaissance.
Mon anxiété se voit donc.
— Ne m’en veut pas mais j’ai peur, pas de toi mais de ce que nous allons faire.
— Nous allons faire ce que des millions de gens font tous les jours, on va se régaler avec des pâtes et du bon vin italien et après, nous prendrons un dessert.
Dès que le repas arrive, Karim prépare la table avec bougies et la rose dans le vase. Nous passons une bonne heure à manger doucement, comme si nous voulions retarder le moment de passer à autre chose.
Puis, le vin aidant, je me suis relaxée et quand Karim me prend la main je ne tremble plus et je lui souris.
Il va mettre la chaîne stéréo en route pour un slow langoureux et m’entraîne au centre de la chambre après avoir baissé l’intensité de la lumière. Nous dansons tranquillement pendant quelques minutes puis, doucement les mains de Karim commencent à bouger sur mon corps tandis que sa bouche dépose des petits baisers dans mon cou. Il commence par me caresser les fesses avant de remonter dans mon dos. Il se presse contre mon ventre et je sens son sexe se frotter contre moi.
Malgré moi, je suis impressionnée par la grosseur et la dureté de l’engin et je ne peux m’empêcher d’imaginer ce que cela va me faire quand il rentrera en moi. Je sens le désir me tordre le ventre. Lentement, il fait sortir mon chemisier de ma jupe et je m’écarte légèrement pour qu’il puisse défaire les petits boutons de nacre. Puis ses mains glissent sous le chemisier et viennent dégrafer l’attache de mon soutien gorge.
Je sens les bonnets se dégager de mes seins et j’ai envie de me débarrasser de mon chemisier et du soutien mais je laisse l’initiative à celui qui va bientôt devenir mon amant.
Avec des gestes doux et lents, il fait tomber mes vêtements sur le sol et je me retrouve les seins nus face à Karim qui ouvre la bouche et prend mes petits tétons entre ses lèvres pour les sucer et les titiller avec la langue.
Les petits boutons de chair ses dressent sous la caresse et deviennent dur comme de la pierre, mes seins se gonflent de désir et c’est moi qui me pressent contre Karim. Je ne résiste plus au désir qui me brûle, mes mains s’enhardissent et je commence à défaire les vêtements du jeune homme.
Très vite, sa chemise rejoint mon chemisier et il doit m’aider quand je défais la boucle de sa ceinture. Puis, les choses s’emballent et c’est avec des gestes fébriles que le reste de nos vêtements tombent sur le sol à nos pieds. Je ne peux m’empêcher de jeter un regard sur la tige de chair qui va bientôt envahir mon ventre, elle est impressionnante et je deviens impatiente de la sentir en moi.
Le jeune homme me couche sur le tapis et vient se mettre entre mes cuisses. Des doigts il caresse les lèvres de ma chatte et il se rend compte que je suis prête à le recevoir.
Karim écarte doucement mes lèvres intimes et présente son sexe à
l’entrée de mon vagin. Lentement il pousse la tige de chair qui entre sans à coup en se frayant un chemin dans mon intimité. Pierre est bien pourvu par la nature mais ce n’est rien à côté de la grosseur de l’engin de Karim qui commence un mouvement de va et vient en moi.
Il ne me faut pas longtemps pour sentir le plaisir monter en moi sous les assauts du jeune homme. Je me mors la lèvre pour ne pas crier quand le plaisir explose en moi, je me contente de serrer Karim entre mes bras et de me jeter à sa rencontre. Deux fois de suite j’atteins l’orgasme sous le joug de Karim qui semble inépuisable.
Alors que je crois qu’il va me donner une troisième fois du plaisir, le jeune homme se retire et me retourne comme une crêpe. Je comprends immédiatement ce qu’il veut et je tends mes mains pour écarter mes fesses et lui facilité la tâche quand il présente le gland de son sexe à mon anus. Il doit faire un effort pour introduire la tige de chair de sa verge dans mon fondement.
Cela me fait un peu mal mais j’avoue que j’aime être prise de cette façon si Karim avait la bonne idée de me caresser le clitoris en même temps ce serait parfait, j’ai à peine le temps de penser à ce qu’il pourrait faire que je sens ses doigts se faufiler vers ma chatte et prendre mon clitoris qui n’en demandais pas tant pour se tendre sous la caresse. Je mords l’oreiller pour ne pas crier quand je jouis pour la troisième fois. Karim délaisse mon petit bouton pour prendre me seins à pleine main et jouer avec les bouts qu’il triture en tous sens en se faisant aller en moi. Cette fois, il ne s’intéresse plus à mon plaisir, il ne pense plus qu’au sien.
En même temps qu’il pousse un faible gémissement de plaisir je sens son sperme m’inonder les intestins et il se laisse tomber lourdement sur moi. Il reste un long moment sans bouger, juste le temps de reprendre sa respiration qui se calme peu à peu.
Il se lève et court à la salle de bain prendre une douche. Il est sous le jet d’eau chaude quand je m’invite dans la douche et naturellement il m’aide à me laver et cela se termine par un gros câlin avec ma bouche.
Trois fois nous avons remis le couvert au cours de la nuit et à chaque fois, Karim s’est montré habile et patient. A chaque fois, il m’a fait jouir plusieurs fois et c’est complètement épuisés que nous nous somme écrouler pour dormir dans les bras l’un de l’autre.
Comme demandé à la réception, on nous réveille vers onze heures du matin en nous apportant une sorte de petit déjeuner amélioré. On se dépêche car nous avons rendez-vous avec les autres à midi trente dans un petit restaurant plutôt sympa.
Cette fois je le laisse seul sous la douche, ce n’est pas l’envie qui me m’empêche de le rejoindre mais bien le temps que nous n’avons plus. Je suppose que j’aurai encore l’occasion de passer un moment avec Karim dans l’avenir et je m’en réjoui d’avance car c’est vraiment un amant hors pair qui donne autant de plaisir qu’il en prends.
J’avoue être un peu déçue du comportement de Pierre quand nous entrons dans la salle du restaurant, il ne parait pas le moins du monde inquiet pour moi, au contraire il se précipite vers Karim.
— Alors, ça été ?
— Très bien lui répond le jeune homme en saluant ses amis.
Nous nous asseyons à la grande table, moi près de mon mari qui se contente de me donner un léger baiser sur les lèvres et de mettre une main sur ma cuisse. Ils reprennent leur conversation sans plus se préoccuper de notre arrivée.
— La Juve devait gagner s’il n’avait pas ratés autant d’occasions…
Ils parlent foot et là, je n’ai pas droit de cité. Je regarde les quatre hommes en me demandant lequel sera mon compagnon d’un soir ?
Jacques ne me regarde pas souvent mais par contre François jette souvent un regard furtif sur ma personne. Des deux je crois que c’est François le plus inquiétant, il ne me parait pas vraiment franc du collier et je risque de passer une sale soirée avec lui. Je me trompe peut-être mais cet homme me fait un peu peur.
Nous passons l’après midi à flâner dans la ville de Venise en allant visiter le palais des Doges et la place Saint-Marc en laissant la visite de la ville sur les canaux pour le lendemain. Vers vingt heures je rentre à l’hôtel avec Jacques qui est l’heureux élu de ce soir.
A vingt deux heures, il dort comme un bien heureux en tenant son oreiller comme si c’était un nounours. A peine entrés dans la chambre, il s’est jeté sur moi pour me déshabiller fébrilement puis, il s’est vidé trois fois dans un orifice différent avant de s’écrouler et de s’endormir en me laissant seule et frustrée.
Il faut reconnaître qu’entre Karim et lui, il n’y a pas photo. Je suis obligée de me réfugier dans la salle de bain pour me masturber et me calmer un tantinet avant de me coucher dans ce qu’il me laisse du lit.
A huit heure, je suis debout et fait monter un petit déjeuner et à onze heure nous sommes au restaurant où nous devons attendre près d’une heure pour voir arrivé les trois autres. Jacques donne des claques dans le dos de Pierre.
— Super ta femme, elle est bonne mon Dieu c’était super.
Je préfère ne pas faire de commentaires et me contente de faire une petite place à mon mari qui comme la veille se contente d’un furtif baiser sur mes lèvres pour me saluer.
Cette fois la conversation vole sur le cinéma car les trois gaillards ont été voir un film auquel ils n’ont rien compris puisqu’il était en italien mais ils discutent des scènes de combat qu’ils ont trouvés géniales mais ce qui les a surtout marquer, c’est l’actrice principale qui était particulièrement jolie.
J’ai beau questionner les hommes aucun n’est capable de me dire le titre du film qu’ils ont été voir.
Cette fois, ils nous laissent Pierre et moi en amoureux pour faire la visite de la ville en gondole, nous avons rendez-vous à dix-huit heures à la terrasse d’un café. Je m’attends à passer une après midi cool et relax avec mon mari mais il est trop curieux et veut savoir comment ce sont passées mes deux nuits avec ses amis. Comme je n’ai pas trop envie de m’épancher sur les performances de l’un ou de l’autre, nous finissons par nous disputer et, au lieu de faire le voyage en gondole collé l’un à l’autre, nous nous retrouvons dos à dos. C’est toujours en froid que nous retrouvons les autres et que je suis François qui sera mon amant du soir.
Des trois, c’est celui qui est le plus à l’aise à l’hôtel. Il va directement vers le comptoir de réception pour demander la clé de la chambre. Le réceptionniste ne cache pas son sourire en constatant que c’est le quatrième homme différent qu’il voit avec moi en quatre soirs. Je préfère ne pas le regarder franchement et je rougis un peu en passant devant l’homme qui ne me quitte pas des yeux.
— A poil !
La porte de la chambre n’est pas encore bien fermée que l’ordre claque sec comme un coup de fouet. C’est plus fort que moi, je me tourne vers François et le toise.
— Non mais tu te crois où là ? Je ne suis pas une pute et je veux du respect.
François me regarde et sourit de toutes ses dents.
— Houlà la ! On se rebiffe. Je sens qu’on va bien s’amuser tout les deux. J’aime dresser les pouliches.
— Et je ne suis pas une jument non plus. Tu aurais pu me demander gentiment de me déshabiller et je serais nue maintenant.
— Peut-être que tu serais à poil mais je n’aurais pas pris mon pied alors que maintenant, je vais prendre un pied d’enfer à te mater.
J’ouvre la bouche pour lui répondre mais je n’en ai pas le temps, une paire de gifles m’envoie valdinguer au milieu de la chambre. Je n’ai pas le temps de me reprendre que François est déjà près de moi, il me prend par l’échancrure de mon corsage et déchire ma robe.
Comme s’il était prit d’une rage folle il continue son œuvre de destruction et bientôt je suis nue avec les lambeaux de mes vêtements éparpillés sur le sol de la chambre. Je suis verte de rage et mes yeux lancent des éclairs en directions de l’homme qui se penche sur moi.
— Je te rappelle que je suis la femme de Pierre et que j’ai accepté de coucher avec toi et tes amis mais pas d’être traitée comme la dernière des putains. Maintenant tu vas sortir, retrouver tes potes et inventer une histoire plausible pour justifier ta présence.
— Ha ! Ha ! Ha ! Tu es vraiment la reine des connes si tu crois que je vais sortir de cette chambre sans t’avoir sauté. Je suis ici pour passer une nuit avec toi et j’ai bien l’intention de profiter de tes trous à bittes que cela te plaise ou non.
Avant d’avoir le temps d’ouvrir la bouche, François se baisse et m’attrape par le bout d’un sein. Il sert brusquement le petit bouton de chair tendre et tire dessus pour m’obliger à me lever.
— Aie, tu me fais mal.
— Tu vas avoir encore plus mal si tu l’ouvres encore pour faire autre chose que pour prendre ma bitte en bouche.
— Jamais ! dis-je avec rage.
De l’autre main il me saisi les cheveux et me force à me mettre à genoux. Me tenant toujours par les cheveux, il ouvre sa braguette et sort son sexe qu’il me pousse dans la bouche. Je pourrais le mordre mais je sais qu’il me le ferait payer très cher, je ne crois pas que cela en vaille la peine. De plus je me vois mal sortir toute nue dans les couloirs de l’hôtel et puis je dois avouer que je ressens une chaleur inédite au creux de mon ventre d’être traitée de cette manière. Je n’aurais jamais imaginé ressentir une sorte de plaisir d’être brutalisée.
François se fait aller dans ma bouche en me tenant toujours les cheveux, il se sert de ma bouche comme si c’était une chatte. Brusquement il se retire et me donne deux gifles violentes.
— Si tu en veux d’autres, me dit-il d’une voix arrogante, continue à me résister et tu seras servie crois moi.
Je le crois bien volontiers et je préfère lui obéir que de tenter le diable.
— Ca va, j’ai compris, je ferais ce que tu veux mais ne me frappe plus.
— Si j’ai encore une fois à me plaindre de toi, je te donnerai une fessée avec ma ceinture pour que tu comprenne que c’est moi le chef et que tu dois faire ce que je veux.
Il va s’asseoir à la table et commence à grignoter. Il écarte les cuisses et me montre son sexe en érection.
— Suce le mais ne me fait pas jouir, me dit-il la bouche pleine.
Je m’avance lentement à genoux et je prends la tige de chair en bouche et commence à le pomper doucement. Je sors la langue et lèche le gland comme si c’était une crème glace avant de reprendre le queue dans ma bouche et me l’enfoncer jusqu’au fond de la gorge. Ce petit jeu dure près d’une heure, je commence à avoir mal à la mâchoire et François a de plus en plus difficile de se retenir mais à chaque fois que je sens qu’il est prêt à jouir, je me retire et lui laisse quelques secondes le temps qu’il se reprenne. Je frisonne de plaisir quand le jeune homme me caresse les cheveux pendant que je le suce.
Sans douceur, il me repousse, se lève et m’attrape par le bras pour m’entraîner vers la salle de bain, je me demande ce qu’il a dans la tête mais je le suis docilement, je suis prête à tout avec lui.
Arrivé à la salle de bain, il me fait monter dans la baignoire et me fait mettre à genoux les poignets dans le dos puis, il se déshabille et vient se mettre face à moi debout.
— Ferme les yeux parce que ça pique. LIRE LA SUITE
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