5 - Les transformations de la pièce 69
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Après une nuit agitée elle se réveilla dans un box, allongée sur la paille, à demi-nue, plongée dans la nuit de sa cagoule. Ce qui avait rendu cette nuit si difficile était ses liens : les poignets retenus par des menottes à l’arrière du dos, les jambes repliées et attachées étroitement à ses cuisses. De la sorte elle n’était véritablement jamais détendue : ses mains l’empêchaient de se reposer sur le dos, ses liens sur les jambes l’empêchait de se mettre à plat ventre. Sur les côtés elle sentait le tiraillement des liens de toutes parts. Elle avait une cagoule qui lui recouvrait la tête entièrement et avait eu le privilège, lui dit-on, de ne pas avoir sa bouche fourrée d’un gode ou d’une boule sous sa cagoule. Elle ressentait le froid sur son corps et des crampes l’avaient réveillée plusieurs fois. Elle entendait près d’elle des gémissements comme les siens, des autres pensionnaires toutes attachées dans des positions incommodes.
Une main la palpait et s’affairait contre son sexe qu’elle avait largement ouvert du fait de sa position. La main la caressait pour lui donner du plaisir… du plaisir qu’elle sentait monter au fur et à mesure que les doigts s’immisçaient en elle. … Elle se rappela qu’elle ne devait pas jouir et essaya de se soustraire tant bien que mal de ces caresses. Rien n’y faisait, la main était insistante, la pénétrant, frottant son clitoris, ses lèvres… elle réalisa soudainement qu’elle ne portait plus sa ceinture de chasteté… on l’avait donc détachée pendant son sommeil. Elle se laissa entrainer dans le plaisir et se mit à jouir intensément en gémissant. Elle entendit quelqu’un rire et au moment où elle se cambrait de plaisir, elle reçu un coup violent entre ses cuisses, avec ce qui devaient être les lanières d’un fouet qui s’abattit sur elle deux puis trois puis quatre fois avec une force inouïe, interrompant son plaisir et la faisant hurler de douleur.
« C’est bien : tu as eu presque du plaisir et tu en es punie ! » Elle pleurait dans sa cagoule et entendait à peine la voix qui manifestement s’adressait à elle. Elle sentit qu’on lui attachait de nouveau la ceinture et entendit le déclic qui emprisonnait son entrejambe dans l’engin métallique. Ses jambes tremblaient de douleur et elle n’arrêta de pleurer qu’après avoir été détachée, libérant ses jambes. Elle senti ses pieds tendus dans d’étranges soulier qui les maintenaient tendus en pointe. Comment n’avait-elle pas senti qu’on lui avait changé ses chaussures ? Des mains s’affairaient, lui libérant les mains puis lui ôtant ses souliers en pointe. Des mains qui lui massaient les cuisses et les pieds.
Elle fut traînée par le collier comme un animal vers un point d’eau où on l’aspergea avec un jet d’eau glacée. Toujours aveuglée elle essayait de se soustraire au jet d’eau qui l’inondait. Puis on la tira dans la cour et sa chaîne du collier fut accrochée à un poteau où elle devait rester debout pour ne pas s’étrangler.
Elle devait rester debout pour sécher entièrement. Un homme vint au bout d’un moment pour vérifier ses attaches, sa ceinture. Il lui enleva la cagoule et la lumière l’aveugla. « Ouvre la bouche ! » Elle senti un bâton qu’elle dut mordre puis des lanières qui furent serrées autour de sa tête et de son visage. Une sorte de harnais maintenait sa tête entièrement emprisonnée et des œillères ornait le harnais l’empêchant de voir à droite ou à gauche. L’homme lui souleva les jambes l’une après l’autre pour lui chausser de solides bottes à talons qui remontaient le long des cuisses.
« Parfait ! Maintenant tu garderas tes cuisses légèrement ouvertes pendant que je te fixe ton harnais ».
Le harnais était composé de bandes élastiques qui passaient comme des bretelles avec des attaches centrales sur le sternum et dans le dos. Les bretelles avant passaient ensuite entre les seins pour former l’attache juste en dessous des seins. De cette attache, une épaisse courroie rejoignait la ceinture qui lui enserrait étroitement sa taille et retient aussi sa ceinture de chasteté. Dans le dos, à partir du croisement de la ceinture et des bretelles, se trouvait une forte bande élastique restée lâche, n’ayant pas encore trouvé son point de fixation qui serait accrochée à l’anneau d’un gode anal. Et effet, 69 sentit les mains s’acharner sur ses fesses, les écartant pour mieux insérer un épais membre de caoutchouc. Elle ne pouvait pas ses soustraire à la douleur de cette insertion qui la faisait gémir. A chacun de ses cris, elle recevait des claques sur les fesses et la voix de l’homme lui recommandait de bien s’ouvrir, de ne pas empêcher de se faire empaler. Après plusieurs essais, le sphincter céda et elle se senti envahir par cet énorme objet qui lui maintenait son orifice écarté et bouché en même temps. Ce n’est qu’alors que son gardien fit passer la bande arrière entre ses fesses et à travers un anneau au bout de pal de caoutchouc, l’enfonçant plus profondément dans son corps Il régla la longueur de la bande, ce qui la fit encore gémir car ce mouvement enchâssait plus profondément le gode dans son corps –l’objet semblait se coller aux parois intérieures, s’unissant au corps. Ses sphincters tentaient de repousser cet intrus douloureux, mais le mouvement était efficacement annulé par la force de l’élastique. Elle tenta d’accompagner le mouvement mais l’épaisseur du membre factice et la force de l’élastique rendaient futile toute tentative de se libérer –de se vider, pensa-t-elle. « N’essaye pas de le sortir, cela ne fera qu’augmenter la pression ! » lui dit son gardien tandis qu’il repoussait légèrement le gode dans le corps. « De plus, ce gode contient une partie extensible, qui lui permet de sceller plus efficacement ton anus. Si tu tentes de le repousser encore, je le gonflerais pour devenir plus large… ». Il obligea 69 à s’accroupir légèrement, il fixa deux élastiques à l’anneau du god, qu’il enroula autour de ses pieds. Après cela il lui fit faire quelques pas. 69 sentit immédiatement la raison de ses deux élastiques finaux : à chaque pas, alternativement à gauche puis à droite, les élastiques tiraient le gode, le tirant légèrement vers le bas comme pour sortir de son anus. Évidemment, le harnais empêchait la sortie de l’intrus. Mais cela provoquait, à chaque pas, une douloureuse pression dans son anus, écartelant encore plus ses sphincters qui immédiatement après repoussaient le membre factice dans son corps. Des larmes commencèrent à couler le long de ses joues quand elle réalisa la torture qu’elle devait subir. « Tu porteras le harnais punitif toute la journée. Le gode te travaillera le cul ainsi de manière un peu déplaisante. Mais tu trouveras sûrement le moyen de l’accommoder. Assise, tu devras aussi trouver la bonne position. »
Il demanda à 69 de faire plusieurs fois l’aller-retour dans la cour. Il lui fit faire des pas courts, des pas longs, des pas rapides ; il lui demanda même de courir. Il vérifia ensuite si toutes les attaches étaient bien en place. Il resserra légèrement un élastique, puis un autre, la fit tourner sur elle-même, comme on fait un essayage chez un couturier. « Inévitablement, le mouvement déplacera cet appareil. Tu ne dois pas toucher au harnais. D’ailleurs les attaches sont fermées à clé et je vais te faire porter un gant unique pour faire disparaître tes bras. … S’il ‘est déplacé et que tu veux qu’on replace ton god , tu t’accroupiras. C’est le signal pour t’aider à remettre le god en place. Essaye tout de suite. » En disant cela il la poussa vers le sol. Accroupie elle senti la main accrocher le pal entre ses cuisses et le tirer vers l’arrière. « Le mouvement vers l’arrière est important. En faisant, cela le remet bien en place. Il ne faut pas trop se pencher en avant. Garde ton corps bien droit, bien raide, cambré un peu en arrière c’est plus joli et comme ça le gode ne se déplace pas. As-tu compris ? » 69 hocha de la tête tout en pleurant en ressentant la pression sur son anus.
Elle sentit l’homme poser sa main sur la sienne pour faire mouvement qu’il venait juste de lui recommander : pousser et tirer. Cela était humiliant : pour une raison qu’elle n’arrivait pas à déterminer, la seule présence de la main entre ses fesses la faisait trembler. Satisfait, il lui donnait une petite tape sur les fesses, lui demandant de se relever rapidement. Elle sentit immédiatement l’objet comme prendre vie de nouveau en elle. Elle se mit à marcher de nouveau et à chaque pas elle ressentait la tension immense s’exercer sur son anus et se réverbérer dans l’ensemble de son corps. LIRE LA SUITE
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