8- Mon épouse, C, suite de ses aventures
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Trois jours se sont écoulés. Mon épouse est restée à la maison, prétextant une grippe pour ne pas avoir à aller travailler. Chaque soir, quand je rentrais, elle était là, silencieuse, vêtue de sa vieille robe de chambre et pas maquillée. Les soirées se passaient quasiment sans un mot. Elle attendait d’aller se coucher, n’osant pas m’adresser la parole de peur de revenir sur sa vie en tant que Lola. Moi, je ne pensais qu’à ça. Je ne pouvais la regarder sans que toutes ces images de dépravation me reviennent dans la tête. La nuit, je n’arrivais pas à dormir et je n’osais pas la toucher.
Quand le téléphone a sonné, le troisième soir, nous avons su, tous les deux, que ça recommençait. Avec de mon côté une espèce de joie malsaine, et du sien, de la résignation.
— Alors, le petit cocu, ma pute a pu se reposer ?
— Oui, Monsieur.
— Elle a toujours son gode dans le cul ?
Je me rendis compte que je ne l’avais plus vue nue depuis la dernière séance dans le bar. Je demandais alors à C, par gestes de se retourner et de soulever sa robe de chambre pour me montrer ses fesses. L’excroissance noire qui en sortait me prouvait qu’elle avait continué à obéir.
— Oui, Monsieur.
— À la bonne heure. Elle le garde toute la nuit et elle vient demain soir. Tu peux l’amener si tu veux, et si tu as encore envie de jouer au serveur. Je veux qu’on sache bien que c’est une putain dès qu’elle sera entrée dans mon restaurant. Rendez-vous à 18 heures, et qu’elle ne soit pas en retard.
Il avait déjà raccroché. C était tourné vers moi et attendait. Tu as rendez-vous demain à 18 heures. Tu devras être habillée comme une pute. En attendant tu as interdiction d’enlever ton gode. Elle ne répondit rien et la soirée se passa dans un silence absolu entre nous.
Le lendemain, je savais que j’allais l’amener. J’avais honte, et, cependant, mon sexe se tendait dans mon pantalon.
En rentrant à la maison, je vis que C, ma douce épouse avait disparu. Devant moi se tenait Lola. Elle avait ses talons de 14 cm, des bas couture noir tenus par un porte-jarretelles d’un rouge criard, un string ficelle de dentelle noire au travers duquel on voyait son sexe rasé, son redresse seins que j’avais déjà vu et bien sûr son collier de chien. Elle était très maquillée, avec, en particulier, un rouge à lèvres très vif. Je remarquais que ses seins étaient eux aussi rougis.
— Tu n’es pas encore prête. Tu vas être en retard.
— Je suis prête.
— Mais…
— Je sais que, pour Maître Ali, une pute doit être reconnaissable du premier coup d’œil, et elle doit pouvoir être baisée immédiatement. Donc je suis prête.
Elle enfile un manteau et traverse la rue pour entrer dans la voiture. Les passants se retournent sur cette apparition. J’en rougis. Arrivé à destination, devant le restaurant de Monsieur Ali, C enlève son manteau et c’est dans son costume de pute qu’elle traverse la salle. Des sifflets et des commentaires grivois accompagnent son passage.
— Quel cul !
— Alors, Lola, tu es prête à te faire enfiler !
— C’est combien, salope ?
C avance sans un mot. Ses seins se balancent au rythme de sa marche. Elle entre dans la cuisine-bureau. Monsieur Ali est toujours assis dans son fauteuil. C s’arrête devant, écarte les cuisses et pose les mains derrière la tête.
— Salut, Lola.
— Bonjour, Maître. Votre pute est à votre disposition.
— Ton cocu est venu. Dis-lui de s’asseoir et qu’il ne prononce pas un mot. Assieds-toi là-bas et tais-toi.
— Maître, ma chatte et mes nichons sont à vous. Faites-en ce que vous voulez.
— C’est bien, petite salope. Tu commences à comprendre ce que tu es.
— Oui, Maître, une salope et votre putain.
— Et ton cul, chienne ?
— Je l’ai préparé, Maître.
— Montre.
C se tourne vers Ali. Elle se plie en deux et écarte ses fesses devant son Maître. Le plug apparaît, d’une indécence folle au milieu de ces fesses rebondies.
— Bien, Lola. Dis-moi, combien de fois t’es-tu déjà fait enculer ?
— Ja… jamais, Maître.
— Comment ça, ton cocu ne t’a jamais pris le cul ?
— Non, Maître.
— Tu vas me le donner, salope.
— Oui, Maître.
— Je ne t’ai pas demandé ton avis, sale cochonne. Tu vas te faire enculer et, ainsi, tu me ramèneras plus de pognon. Compris ?
— Oui, Maître.
— Pose tes nichons sur la table, écarte les cuisses et ouvre tes fesses avec tes mains.
Sans une hésitation, C s’installe dans la position exigée par son maître. Je suis terriblement excité, mais je ne m’attends pas au nouvel ordre de monsieur Ali. LIRE LA SUITE
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