L’esclave
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6h00 du matin… elle se réveille dans son petit réduit. Comme tous les matins depuis deux ans, le vibreur qu’elle a introduit dans son vagin la veille au soir se met en route. Chaque jour, ses vibrations la réveillent.
Sa main gauche glisse sur son bas ventre lisse et se saisit du cylindre qui sort de sa fente qu’elle extrait doucement de son ventre. D’un geste devenu habituel, elle passe l’engin sur son clitoris quelques instant, pas trop, elle n’a pas le temps, sinon, juste celui de ressentir son clitoris s’éveiller sous la caresse. Voilà, il faut qu’elle arrête là.
Elle appuie sur le petit interrupteur et pose le vibrateur à coté d’elle. Dans la journée, elle reviendra pour le nettoyer et l’enduire de vaseline. Le soir, parfois, lorsque vient le moment de l’enfoncer dans son ventre, elle est sèche et de l’avoir ainsi préparé lui permet d’éviter de souffrir lorsque le gode force son passage dans son sexe.
Elle écoute ensuite pendant un moment son corps allongé sur ce mauvais matelas sur lequel elle dort depuis deux ans. Les courbatures de la nuit s’estompent doucement. Il est vrai que ce si petit réduit ne lui permet guère de s’étendre.
Elle est nue, une habitude maintenant et elle restera nue tout au long de la journée. Sauf pour sortir en ville, quand Elise l’y autorise, elle doit rester nue.
Elle ne doit pas traîner… Elise attend son petit déjeuner comme chaque jour.
Il lui faut se dépêcher de faire ses ablutions. Les dents, les aisselles et son entre jambes. A l’eau froide avec le broc qu’elle a préparé la veille. Elle n’a pas droit à l’eau courante et encore moins à de l’eau chaude.
Contact pris avec la réalité du jour, elle se lève et se faisant les clochettes fixées aux lèvres de sa vulve, deux pour les petites, deux pour les grandes, une fixée au capuchon de son clitoris et enfin les petites clochettes fixées à chacun des anneaux qui percent ses tétons tintinnabulent.
Chacune des clochettes de par sa taille et sa forme sonne différemment quand le marteau en frappe la paroi extérieure. Il lui arrive d’être sous le charme du carillon qui se déclenche à chacun de ses mouvements.
Elle est maintenant habituée à l’harmonie de ces sons qui la suivent tout au long de la journée.
Au départ, Elise voulait savoir à tout moment ou elle pourrait la trouver dans la maison sans oublier qu’elle trouvait cet agencement si joliment musical. L’idée aussi était qu’Elise puisse contrôler à tout moment si elle était active. Le son indiquait immanquablement qu’elle était occupée au soin de la maison, sa charge principale après celle du corps de sa Maîtresse.
Son inaction était instantanément sanctionnée par le silence qui envahissait la maison. Le poids des clochettes fait que ses petites lèvres pendent entre ses cuisses, deux petites langues de chair de plusieurs centimètres. Il lui arrive de prendre le temps de se regarder dans un miroir et elle ne peut s’empêcher de frissonner lorsqu’elle voit les deux babines entre ses cuisses. Il n’y a pas si longtemps, ses grandes lèvres fermaient son ventre dessinant juste une fente.
Les clochettes fixées à ses seins sonnent particulièrement bien lorsqu’elle est penchée vers l’avant et qu’elles pendent sur son torse. Rien ne vient étouffer le son. Celles fixées à son ventre sonnent moins bien, serrées qu’elles sont entre ses cuisses. C’est pour cette raison qu’Elise l’oblige a accomplir certaines tâches accroupie, de sorte à ce que les clochettes soient libres sous elle. Ainsi par exemple, elle lui a fait installer certains meubles, tel l’évier de la cuisine à quarante centimètres de hauteur. Ceci l’oblige à s’accroupir pour faire la vaisselle et à se pencher vers l’avant. Tout le temps qu’elle est occupée à la vaisselle, tant celle des seins que celles de son con sonnent, un vrai carillon.
Avec un chiffon qui tient lieu de gant de toilette et un morceau de savon de Marseille, elle se frotte rapidement comme pour se déplisser le corps. Lorsqu’elle se rince, ses tétons dardent sous la morsure de l’eau glacée, les petites lèvres de sa vulve se rétractent toutes épanouies qu’elles étaient sous la douces chaleur de la nuit tandis que son anus se fronce au contacte de l’eau glacée.
Encore un frisson vite réprimé et la voilà qui s’essuie dans cet essuie usé à la corde qu’Elise lui a donné comme on donnerait un cadeau de valeur.
— Une esclave a-t-elle besoin d’autre chose ? S’est-elle exclamée en lui tendant le tissu.
Elle s’essuie avec délicatesse pour éviter d’étirer les chairs percées par les anneaux. D’expérience, elle connaît la douleur quand le chiffon s’accrochant à la clochette, sa chair est brutalement étirée. Elle a déjà saigné.
Trois fois par semaine, quand Elise à le temps, elle a droit à une douche d’eau froide et à un bout de savon parfumé pour faire sa toilette. Elise la mène tenue par une laisse accrochée à son collier, été comme hiver, sur une dalle en béton qui se trouve dans le jardin, l’attache à un poteau au centre de cette dalle et s’amuse alors à diriger sur elle un jet d’eau dont elle se plait à régler la force selon qu’elle vise les seins, le pubis ou même encore le trou du cul qu’en bonne esclave qu’elle est, elle doit présenter en se penchant, la tête près des genoux, et les mains tirant les fesses sur le côté de sorte à dévoiler la raie et le trou de cul. Elle a ensuite le droit de se savonner et le jeu recommence souvent jusqu’à ce qu’elle grelotte de froid et que tombant à genoux, elle supplie sa Maitresse d’arrêter. LIRE LA SUITE
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