Caroline -4-
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Après ma douche je reste en robe de chambre pour attendre mon cher et tendre qui arrive avec une bonne demi-heure de retard.
Il est passé chez François qui lui a fait le récit détaillé de ma visite chez lui. Il est donc au courant pour Valérie.
À peine entrer, il m’enlève la robe de chambre et me plaque contre le mur pour m’enfoncer son engin dans la chatte. Il est tellement excité qu’il jouit presque directement. Je sens son sexe ramollir et sortir lentement de ma chatte. Instinctivement, je m’agenouille pour prendre sa queue raplapla en bouche et je la nettoie consciencieusement comme François me l’a appris. Je sens son sperme couler le long de mes cuisses et tomber sur le sol. Je ne sais pas ce qui me prend, mais, dès que le sexe de Pierre est de nouveau propre, je me mets à quatre pattes et me penche sur les taches de sperme que je lèche sous le regard ébahi de mon mari.
— Tu deviens une sacrée salope, me dit-il.
— Tu n’aimes pas ?
— Si, mais je crois que ça commence à me dépasser un peu.
Quand j’ai récupéré le sperme sur le sol, je remets ma robe de chambre et cours à la salle de bain prendre une douche avant de revenir à la cuisine préparer le repas du soir.
Nous passons une petite soirée en amoureux, couché tous les deux sur le divan en regardant un bête film à la télé.
Avant de nous mettre au lit, Pierre me met de la pommade sur les seins, mais cela ne nous excite pas et nous nous embrassons avant de nous endormir comme des bienheureux.
Quand j’ouvre les yeux, mon mari est déjà levé et prend son petit déjeuner dans la cuisine. Je resterais bien au lit encore, mais j’ai rendez-vous chez Valérie pour neuf heures et je tiens à être à l’heure.
Je me lève et rejoins Pierre à la cuisine.
Après une bonne douche, je prends le collier et la laisse que je mets autour de mon cou. J’hésite un moment et finis par me décider à prendre la petite chaîne de monsieur Jean et ferme les clips sur mes tétons. J’ai un peu mal au début, mais cela devient très vite supportable. À près avoir passé une petite robe assez large pour ne pas montrer au monde la laisse et la chaîne, je prends mon sac à main et sors.
Il me faut à peine un quart d’heure pour être devant chez mon amie. Je suis en avance et je ne sais si je dois aller sonner. Je préfère attendre qu’il soit l’heure pour la déranger, cela me permet de me rendre compte qu’il y a beaucoup de passage devant la porte de sa maison. Même si elle m’ouvre la porte tout de suite, il y aura au minimum trois personnes qui vont me voir nue, mais il ne me vient même pas l’idée que je pourrais garder ma robe.
Il est l’heure et je sors de la voiture et me dirige d’un pas décidé vers le perron de Valérie. Je pousse sur le bouton de sonnette et rapidement j’enlève ma robe que je place dans mon sac avant de me tenir bien droite indifférente aux coups de sifflet d’hommes qui passe sur le trottoir.
Je suis morte de honte et je pousse un soupir quand j’entends la porte s’ouvrir. Je pourrais me précipiter dans le couloir d’entrée, mais il faut à Valérie un certain temps pour réaliser que j’ai osé me présenter nue chez elle.
Elle se décide enfin à prendre la laisse pour me faire entrer et je la suis au salon où elle a préparé de petits gâteaux et du café. Cette fois, c’est moi qui suis abasourdie.
La jeune femme fait semblant de rien et m’invite à m’asseoir.
— Assois-toi ! Tu veux une tasse de café ?
— Heu ! je…
Je ne sais vraiment pas comment me comporter, j’ai un moment l’envie de retirer la chaîne entre mes seins et remettre ma robe, mais je finis par décider de rester nue.
Je prends place dans un fauteuil et accepte la tasse de café de Valérie.
— Heu ! Oui, pourquoi pas ! vous êtes sûre que….
— Tout à fait ma chérie ! Tu veux quoi comme gâteau ? Un moka ? Une brioche ?
— Non merci, juste une tasse de café.
Pendant plus d’une heure, nous discutons de choses et d’autres. La scène doit être surréaliste ; deux jeunes femmes discutant tranquillement en prenant une tasse de café dont l’une est entièrement nue avec un collier, une laisse et une petite chaîne qui relie ses mamelons.
Pourtant, mis à part que je continue à vouvoyer Valérie, nous avons une conversation comme si nous étions toujours les meilleures amies du monde. J’en viens même à reprendre le tutoiement sans qu’elle réagisse. Un moment, elle se lève et me prend la main.
— Viens, me dit-elle tendrement.
Je la suis jusque dans sa chambre. Je me demande ce qu’elle veut vraiment et mon cœur s’emballe à la pensée qu’elle va vouloir que je lui donne du plaisir.
N’ayant jamais couché avec une femme, je me demande comment cela va se passer. Je stresse un peu, mais je suis contente que cela arrive enfin.
Elle me fait tourner comme si nous dansions le Rock et m’attire contre elle. Je fais une légère grimace, car elle vient de réveiller la petite douleur des tétons qui sont toujours emprisonnés par les clips.
Doucement, elle retire les clips puis défait le collier de mon cou et me pousse sur le lit. Pendant que je me masse les seins pour faire passer la douleur, elle se place devant le grand miroir de la garde-robe et je le regarde ébahie mettre le collier à son cou. Elle se regarde longuement en se tournant de droite à gauche puis elle commence à défaire les boutons de son chemisier. Très vite elle est nue devant moi et je la trouve encore plus belle avec la laisse qui lui pend entre les seins.
Valérie revient vers le lit et attrape la chaîne avant de retourner vers le grand miroir. Elle ouvre le premier clip et le referme sur son mamelon droit avant de faire de même avec l’autre mamelon. Je la vois serrer un peu les dents puis elle avance vers le côté du lit et se met à genoux.
— Montre-moi ce que te fait monsieur Jean, me dit-elle d’une voix sourde.
Je me penche vers elle et lui prends le menton pour redresser sa tête.
— Impossible, lui dis-je, je ne suis pas un homme, il me manque un accessoire entre les cuisses.
— Fais semblant !
— Je ne pourrai pas faire semblant.
Elle semble dépitée.
— Alors, laisse-moi te donner du plaisir.
Elle avance une main vers mon corps allongé sur le lit et commence à me caresser. Doucement, je repousse sa main.
— Non, enlève tout et vient me rejoindre sur le lit, nous allons essayer ensemble.
Valérie hésite une bonne minute avant de faire ce que je lui demande. Je lui ouvre les bras quand elle monte sur le lit.
Commence alors une sarabande de caresses et de baisers fougueux et passionnés. Nos langues se mélangent et nos doigts partent à la découverte du corps de l’autre. Les langues lèchent toutes les parties du corps qui arrivent à leur portée et bientôt nous nous retrouvons tête-bêche, chacune la tête entre les cuisses de l’autre. Les doigts, la bouche et la langue s’activent sur la chatte et le petit bouton qui devient raide et sort de son abri pour se trémousser sous les coups de langue.
Nous passons un long moment à nous donner du plaisir, mais il n’a aucune commune mesure avec le plaisir que je ressens quand je vais chez François ou son proprio, c’est plus le plaisir que donne Karim. C’est doux et tendre, mais ça ne provoque pas de poussée d’adrénaline qui fait exploser le ventre sous le plaisir. Évidemment je ne sais pas si c’est la même chose pour Valérie, mais, à voir son corps alangui, je suppose qu’elle non plus n’a pas vécu l’après-midi de sa vie.
— On recommencera, me demande Valérie ?
— Oui ! Quand tu veux.
Je manque de conviction et j’en suis désolée, mais je ne veux pas lui mentir. J’ai passé un bon moment, mais sans plus, rien d’extraordinaire.
— Toi non plus tu n’as pas trouvé ça génial, demande mon amie ?
— C’était bon, mais rien de révolutionnaire. Si je dois choisir entre ça et une après-midi chez monsieur Jean, y a pas photo, c’est monsieur Jean qui gagne haut la main.
— Tu voudras bien m’emmener chez monsieur Jean la prochaine fois que tu iras ?
Là, je suis sciée. Je suis venue chez elle pour y être maltraitée et humiliée et elle me demande de la conduire chez un type qui va s’amuser avec son corps sans se préoccuper de son plaisir.
— Tu te rends compte de ce que tu viens de dire ?
— Oui ! Je ne pense qu’à ça depuis hier soir.
Elle se lève et reprend le collier et la laisse qu’elle remet à son cou. Elle ouvre le tiroir de sa table de nuit et en sort trois petits tubes en verre et la pompe à vide qui va avec.
— Mets-moi les tubes, me dit-elle en me les tendant.
Je ne sais pas pourquoi, mais je suis tentée de refuser, il faut que je réfléchisse calmement et pour gagner du temps, je lui fais remarquer qu’il manque un accessoire.
— Tu as oublié les élastiques pour mettre autour des seins.
Elle sourit et se penche vers sa table de nuit et sort une pochette plastique contenant une bonne vingtaine d’élastiques.
— Je n’ai rien oublié, me répond-elle en me tendant la pochette.
Là, je suis obligée de faire ce qu’elle veut, le problème c’est que je ne sais pas comment procéder. Je n’aime pas le rôle qu’elle veut me faire tenir, j’aime être la victime et pas le bourreau.
— Viens, me dit-elle en me prenant la main, suis-moi.
— Viens, me dit-elle en me prenant la main, suis-moi. LIRE LA SUITE
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