Visite gynécologique
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Tôt le lendemain matin, je te réveille avec douceur. Je referme ta chatte qui dégouline encore de nos ébats nocturne. Je ne te permets pas de te rendre aux toilettes et pour petit déjeuner, je te fais boire une grande quantité d’eau. Je te remets ton collier de soumise et je t’autorise une paire de chaussure à hauts talons. Dans les couloirs qui conduisent au cabinet du docteur Geluck, tu sens mon sperme s’écouler de tes trous. Tu n’en as pas honte, au contraire tu en es fière. Aux rares personnes que nous croisons, tu aimerais t’arrêter pour leur montrer ce qui orne tes cuisses. Mais, je ne t’en laisse pas le loisir.
Arrivés au cabinet du docteur, nous nous saluons comme de vieux amis. Je lui explique la raison de notre venue. Je l’autorise à te parler en oubliant toute forme de respect. Je lui dis que tu aurais besoin d’une bonne vidange, d’une inspection approfondie, d’un élargissement des orifices et d’un traitement de la poitrine. Tu es un peu surprise par tout ce programme. Tu te dis, avec raison, que tu vas déguster.
Le docteur Geluck t’installe sur le fauteuil d’examen. Au lieu de commencer par t’installer une sonde urinaire qui aurait libéré ta vessie avec bonheur, je défais ton cadenas pour ouvrir ta chatte. « Tu l’as baisée. Elle est encore toute sale, on va la nettoyer » Pour mieux garder ta chatte ouverte, il insère un spéculum qu’il écarte au plus fort. Il introduit un coton hydrophile humide et avec son doigt l’enfonce au plus profond de ton intimité. Il fait bien le tour de ton vagin avant de le retirer. Laissant ta chatte ouverte, il approche une lampe puissante. « On va voir si Kazan n’a pas fait de dégâts avec sa grosse queue » Tour à tour nous regardons l’intérieur de ton vagin. Je glisse un doigt. « Tu es toute douce à l’intérieur, Célia. Un vrai délice » Tu sens mon doigt te fouiller longuement. Tu mouilles d’excitation.
— C’est vrai qu’elle mouille vite
— Oui, c’est une de ses principale qualité, elle mouille vite et fort
— Souvent, les dominants refusent cela à leur soumise
— Peut-être, mais c’est une erreur à mon sens. Il devrait faire le contraire.
— Pourquoi ?
— Parce que je veux qu’elle soit prête en permanence.
— Pour la faire jouir à tout instant ?
— Oui, c’est quand elle n’a pas d’orgasme que j’ai tendance à la punir
— Tu ne feras jamais rien de comparable aux autres
— Non, Célia est Ma Soumise. Elle doit réagir à ma main.
Le docteur Geluck glisse un autre appareil dans ton vagin. Il s’agit d’une mini caméra reliée à une fibre optique. Sur un écran de contrôle, il peut visualiser ton sexe. Il tourne l’écran vers toi. « Tu veux voir comment tu es faite pour le plaisir de ton Maître. » Les images de l’écran t’excitent encore plus. Tu aimerais voir ce que cela donne avec une queue ou une main.
Le docteur retire la caméra et le spéculum. « Maintenant, je vais nettoyer son cul » Ta vessie te presse de plus en plus « Maître, puis-je pisser avant ? » Tous les deux nous te jetons un regard sans équivoque. Tu as compris que ce n’est pour tout de suite. Avec un autre coton hydrophile, il te nettoie le cul, mais sans introduire un doigt cette fois. « On finira l’opération quand elle sera vidangée ».
C’est avec un certain soulagement que tu le vois s’approcher de toi avec une sonde urinaire. Il ouvre tes lèvres, dégage le canal urinaire et glisse la sonde. Instinctivement tes muscles se détendent, mais tu ne peux libérer ta vessie pour autant. En effet, une pince garde le tuyau fermé. Je défais enfin ta pince pour que tu puisses te libérer. Tu pousses un soupir de satisfaction. Après un temps qui te semble infini, l’écoulement diminue puis s’arrête. « Elle n’est pas encore tout à fait vide ». Le docteur défait les sangles de tes chevilles et de tes poignets. Tu te relèves avec la sonde toujours implantée dans ta vessie. L’écoulement reprend légèrement.
« A présent, vidangeons son cul » Il attache tes poignets ensemble et les relie à une chaîne qu’il tire de manière à ce que tes bras soient bien étirés au dessus de ta tête. Il lubrifie une longue canule qu’il insère dans ton cul. Tu te retrouves avec une canule dans le cul et une sonde urinaire dans le sexe. La canule est reliée à une poche en plastique qui contient une grande quantité de liquide. Tu te demandes comment tu vas faire pour absorber tout cela. J’ouvre un robinet et tu sens le liquide chaud t’envahir. La poche n’est pas libérée du quart du liquide que tu me demandes de bien vouloir arrêter car tu ne pourras pas en supporter plus. J’attends encore un peu avant de refermer le robinet. LIRE LA SUITE
Texte écrit par mon Maître « Designer »
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