La destinée sulfureuse d’une petite chienne en devenir 2

Chapitre 2
samedi 19 mai 2012
par  elisabetha
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Chapitre 2

Au bout d’une demie heure de cette marche forcée ou j’évitai autant que possible de croiser des passants, je reçois un long Sms de Mademoiselle Sarah : « Ma petite chienne, je ne veux plus désormais que tu prennes ton plaisir sans mon autorisation, comme me l’a relaté le salon d’épilation. Donc tu vas te procurer une ceinture de chasteté pour ton sexe rebelle. A partir de maintenant je veux contrôler chacune de tes éjaculations ! Gare au non-respect de cette demande. Tu as 30 minutes, pas une de plus ! Sinon ma garde rapprochée… TDS » Je me devais de réagir vite pour éviter l’intervention des gorilles de ma maîtresse et cela m’imposait un détour par les quartiers de la vieille ville ou une échoppe de plaisirs avait pignon sur rue. Il n’était pas question que je retourne à la Maison d’Aphrodite car je n’avais plus assez de temps et d’ailleurs je n’en n’avais nullement envie après l’humiliation que j’avais subit auprès du vendeur. Cette nouvelle exigence m’oblige un itinéraire au plus court et me fait traverser la place la plus renommée des noctambules, dans le cœur historique de la cité, toujours bondé de monde.

Je presse le pas et évite autant que possible de croiser des regards en priant le ciel de ne rencontrer personne que je connaisse. Au moment où j’allai en finir avec cet endroit bondé de monde en me dirigeant vers une petite ruelle beaucoup plus calme. Un texto de plus vient m’interpeller : « Petite chienne, prend quelques seconde, pour mater l’intérieur du « Mac Cools » TDS ». Je reviens donc en arrière pour regarder au plus près la salle d’un pub irlandais. Mes yeux éberlués aperçoivent mon épouse adultère embrassant langoureusement un beau brun de type hispanique. Je suis tétanisé sur place et de grosses larmes coulent sur mon visage déconfit. Dans le même instant mon pénis gonflé à bloc menace à nouveau l’éruption. Je dois faire un effort considérable pour contenir les effets de cette nouvelle déchéance affective qui paradoxalement me procure encore des sensations incommensurables. Je passe donc ma main sous l’imperméable et ma robe de salope pour me triturer violemment la verge afin qu’elle conserve son « suc nourricier ».

Je continue mon périple en m’éloignant aussi rapidement que possible de la luxure de ma compagne dévergondée. Enfin j’aperçois la boutique des plaisirs « L’Eden », je rentre et m’aperçoit qu’il n’y a qu’un couple de clients qui regardent les vidéos. Je m’approche du comptoir et d’une voix tremblante je demande au vendeur :

« Bonsoir, je voudrais une ceinture de chasteté pour homme. »

Le vendeur me fixe, sourit et me répond :

« Vous voulez dire, ma mignonne, pour chienne ? »

La réponse me décomposa et je deviens rouge pivoine et il poursuit ironiquement :

« Je n’en ai plus en rayon mais si vous êtes gentille avec moi, je veux bien vous en trouver une. ».

A cet instant, un nouvel Sms me parvient : « Plus que dix minutes ! » Alors, flageolant de peur et de honte je lui dis : « Que voulez-vous que je fasse ? » Il me répond : « Tout simplement que tu enlèves ton imperméable et que tu restes cinq minutes, dans ta tenue de chienne dans la boutique » Pressé par le temps, je m’exécute et me voici dans ma tenue de salope au milieu des rayons du sex-shop. Le couple qui regardait les vidéos, ayant apparemment choisi leur programme érotique s’approche de moi. Le monsieur d’une soixantaine d’année me dit en riant :

« Il ne faut pas faire l’effarouchée ! »

Ne sachant ni quoi faire, ni quoi dire, rouge de déshonneur je me remets à pleurer. Il rajoute perversement :

« En générale, les pleureuses, ce sont celles qui suce le mieux ! »

Voici que la jeune femme qui l’accompagne au maquillage grossier et vulgaire en voyant la boursoufflure de mon sexe sous ma robe, déblatère elle aussi, quelques paroles assassinent :

« Chérie, Appelons les pompiers, Cela chauffe de trop ! »

Un ricanement lourd vient ponctuer ce chef d’œuvre de philosophie. Enfin le vendeur m’appelle et me tend un harnais avec deux cadenas et me dit :

« Va te l’ajuster en cabine, je garde les clés ! »

Je quitte donc mon string rose et met en place le tube en métal souple sur mon sexe et ferme le cadenas rose qui relie les deux extrémités qui enveloppent bien mes testicules. Le clic du cadenas fait recommencer sa sarabande à mon braquemart qui vient buter dans sa geôle provoquant une première vive douleur. Me voilà contraint de tenter de maîtriser mon excitation débordante de soumis en devenir.
Je retourne vers le comptoir, le vendeur me rend mon imperméable et me dit cyniquement :

« Mademoiselle Sarah vous salue bien et vous souhaite de bonnes érections ! »

Je quitte l’Eden rapidement en ayant l’impression d’avoir touché le fond une fois de plus. Je me dirige donc de nouveau vers mon domicile encore éloigné d’au moins trois kilomètres de l’endroit où je me trouve. Un nouvelle Sms ne tarde pas à me parvenir. « Ma petite chienne ton dressage se passe à merveille et ma garde rapproché s’ennuie ! Continue comme cela et notre entente va devenir phénoménale. Cela sera tout pour ce soir ! Rentre au plus vite, une douche et au lit car demain sera une journée qui va bouleverser ta petite vie trop tranquille pour la salope qui sommeille en toi. TDM. » Immédiatement des frissons me parcourent l’échine et je me demande ce qui va m’arriver avec effroi. De plus, ma queue va butter dans sa nouvelle prison et c’est le visage grimaçant que je poursuis ma pérégrination initiatique.

Les derniers hectomètres sont longs et surtout en arrivant dans mon quartier. Je ne suis pas rassuré car je veux surtout ne pas être surpris par des voisins. Je rentre enfin dans mon logis ou une enveloppe m’attend sur la table de la cuisine. Avec hâte je retire le contenu et je trouve quelques belles poses prises, il y a quelques heures, sur les bords du Cher, une autre dans le salon d’épilation, une autre dans la maison d’Aphrodite, une autre encore à l’éden. La réalité s’impose comme une chape de plomb qui tombe sur moi : Je suis espionnée et surveiller comme personne et des moyens de chantage sont disponible à foison ! Je me dis : « Que dois-je faire ? » Ce sont de nouvelles larmes qui viennent mouiller mon visage devant cet implacable piège dont je ne vois pas l’issue ! Je vais prendre une douche et en pleine déconfiture morale je tente de trouver le sommeil !

L’endormissement est très court et le réveil très laborieux en ce matin du samedi 29 octobre 2011. D’une part mon sexe me fait horriblement mal buttant régulièrement contre sa barrière métallique souple et d’autre part, psychologiquement, ma tête menace d’exploser tant les faits qui se sont déroulés la veille sont déconcertants. Mais c’est bien la sonnerie de mon réveil qui vient extirper d’un court repos mon corps sous tension. Il est six heures du matin et juste quand je commençai à m’interroger sur le pourquoi de la programmation très matinale de mon réveil, un Sms vient me sortir de mon questionnement. Fébrilement j’en prends connaissance : « Bien dormie, ma petite chienne ? TDS » Je réponds servilement : « Très bien Mademoiselle Sarah » Elle enchaine par un autre message plus contraignant. « Le grand jour est arrivée ! Tu vas enlever les clés dans la serrure de la porte d’entrée, tu vas chercher la paire de menotte déposé dans la boite aux lettres et ensuite, nu comme un ver tu vas te menotter les mains dans le dos sur une chaise dans la salle de bain avec la clé apparente sur le lavabo pour six heures trente précise ». L’image encore vivace des gorilles de Mademoiselle Sarah me fait obtempérer au plus vite. Je ne peux une nouvelle fois vous exprimer mon angoisse et mes tremblements quand je m’enchaine à la chaise dans ma salle de bain et ma frayeur lorsque j’entends le bruit de pas, monter les escaliers en bois, se rapprocher de moi. Face au miroir et haletant de terreur, je vois apparaître dans mon dos, une femme cagoulée, mince, élancée portant dans ses bras un attirail de coiffure. Elle me dit :

« Bonjour, je suis chargé de venir vous faire votre nouvelle couleur de cheveux ». Et elle rajoute avant que je n’ai pu esquisser la moindre réaction : « Je vous conseille de vous laisser faire docilement car plus vous me serez agréable plus je pourrai influer sur votre bien être futur »

La voix de mon interlocutrice étant douce et suave, je me décide de m’abandonner corps et âme à ses désirs. Mais en même temps, je n’en ai pas trop le choix ! Après le shampoing mon angoisse un instant contrôlée redémarre de plus belle quand je remarque que l’on va m’administrer une teinture rousse. Mes tremblements ne passe pas inaperçus et ma coiffeuse au ton mielleux presque envoûtant précise :

« Calmez-vous, bientôt, vous aurez toutes les explications, patience. »

Ne pouvant plus tenir, je lui dis au milieu d’interminables sanglots :

« Comment voulez-vous que je me calme, avec cette teinture je ne pourrai plus aller au travail ! Je serai la risée de tous ! »

Après d’affectueuses caresses sur mon visage, elle me dit :

« Mademoiselle Sarah a tout prévu, faites-lui confiance ! Comprenez bien que désormais vous lui appartenez corps et âme ! Votre nouvelle vie commence. » LIRE LA SUITE

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