La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode 10)
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Le Marquis d’Evans s’était installé en tête de table, place d’honneur comme il se doit. Il était flanqué à Sa droite de l’esclave e46MSE dont les mains avaient été liées au dossier de la chaise qu’elle occupait et à Sa gauche de David. Les esclaves mâles demeuraient enchaînés au sol, sous le mur est de la vaste salle. Les trois femelles par contre avaient été libérées et débarrassées de leurs chaînes. Toutes trois, e75MSE, e68MSE et e08MSE, portaient désormais un large tour de cou en dentelle, assorti au minuscule tablier de service immaculé qui cachait à peine leurs sexes toujours aussi parfaitement lisses. Pour faire le service, elles étaient juchées sur des escarpins à très hauts talons qui leur imposait une démarche un peu raide mais élégante, favorisant la mise en avant de leurs poitrines aux tétons légèrement teintés...
L’esclave e68MSE était l’échanson désignée par Sir Evans. Elle saisit une lourde carafe de cristal et versa un fond de liquide à la robe rubis.
Le Maître saisit son verre, huma le nectar, puis fit rouler le vin dans sa bouche... Il reposa Son verre et sans un mot, promena avec douceur sa main sur la croupe rebondie de l’esclave qui comprit bien sur la signification de ce geste et emplit les verres Du Maître et de David, ainsi que celui d’e46MSE. Il en était ainsi du dressage des esclaves chargées du service. Leur Maître n’avait pas besoin de mots, la caresse qu’il venait d’accorder à la femelle signifiait Sa pleine satisfaction, dans le cas contraire il n’aurait pas manqué de lui infliger un geste bien moins agréable. Et un vin décevant aurait eu de sévères retombées sur l’ensemble de Sa Maison.
Le Marquis et David trinquèrent à distance et savourèrent leur vin, tandis que e46MSE gardait les yeux baissés sur son assiette. C’est e68MSE, ayant reposé la carafe, qui vint prendre son verre et lui fit boire une gorgée du vin aux arômes élégants au léger parfum de framboise. Enfin, e75MSE et e08MSE apparurent portant chacune une assiette, se plaçant chacun à la gauche de l’Un des Deux Hommes, elles déposèrent leurs assiettes, garnies de deux épaisses tranches de foie gras légèrement rosées en leur centre, accompagnées de fines tranches de tomates confites, de confiture d’oignons et d’une fine tranche d’un pain d’épice léger, confectionné par Marie La Cuisinière en personne.
— « Excellent choix que ce luxueux Bourgogne » approuva David...
— « Oui, je sais que l’on s’attend plutôt à un blanc liquoreux... Mais j’avais envie de tester ce Domaine de Lambrays et je trouve qu’il se marie à merveille. Sa très légère acidité met le foie gras en valeur, tu vas voir », ça te changera de Notre merveilleux Beaujolais Maison, répondit Le Marquis d’Evans.
Auprès de chacun demeurait une esclave, tandis qu’e68MSE se tenait auprès de e46MSE...
David avait placé e75MSE en travers de Se genoux, tout en dégustant son entrée, il flattait la croupe de la jeune soumise encore marquée par les durs traitements infligés par l’époux de Madame Solène. Sir Evans dégustait Lui aussi. Mais parfois, il piquait un petit carré qu’il tendait du bout de sa fourchette vers la bouche d’e46MSE... l’esclave devait étirer son cou au maximum afin de saisir du bout des lèvres les savoureuses bouchées que son Maître daignait lui offrir. Ainsi passa le repas, fort plaisant, à la fin duquel e75MSE avait trouvé place sous la table, prodiguant à David des caresses buccales qui semblaient pleinement satisfaire Le Compagnon Du Maître, qui en oubliait Son dessert. Sir Evans, quant à Lui, avait fait honneur à tout le repas, accordant régulièrement quelques reliefs de son assiette à Sa favorite qui se voyait ainsi récompensée des épreuves subies chez Le Comte durant les jours précédents.
Le repas achevé, Le Marquis d’Evans et David se levèrent, détachant e46MSE des liens qui la retenaient à la table, ils l’entraînèrent en Leur compagnie hors de la pièce où, déjà, les esclaves mâles avaient été libérés de leurs chaînes afin de se charger du ménage des lieux.
...
Mais c’est ailleurs que se poursuivait la soirée... Dans les entrailles du château d’Evans, au coeur même de Cette Noble Bâtisse qui a traversé les siècles, après de longs couloirs qui vont en se rétrécissant, on accède par une porte basse à une salle au plafond bas et voûté. Des colonnades éparses coupent la vue et séparent partiellement l’espace comme en de nombreuses alcôves. La salle est vaste, mais on ne peut deviner ses dimensions du fait de cette vue coupée par les colonnes épaisses. e46MSE connait bien cet endroit. elle a déjà eu l’occasion d’y être menée et elle sait que la récompense que va lui accorder son Maître ne sera sans doute pas de tout repos. Mais aussi elle trépigne du bonheur, enfin ! de retrouver Ce Maître auquel elle a le bonheur d’appartenir corps et âme. Ce Maître pour lequel elle a enduré les sévices Du Comte, pour lequel elle a abdiqué pudeur et dignité afin de vivre pleinement son destin d’esclave...
La porte ne grince pas, malgré son bois épais qui semble usé, malgré ses charnières à l’aspect rouillé... Des indices qui mettent les nouveaux venus dans l’ambiance si particulière de cette salle, mais entretenue avec soin, car ainsi, ceux qui y sont menés ignorent tout de ce qui se passe. ils ignorent si quelqu’Un vient, si quelqu’Un approche... Ainsi, bousculée, l’esclave est poussée jusqu’au fond de la salle et sur une croix de Saint-André posée au sol elle est couchée, ses poignets et ses chevilles entravés.
e46MSE est docile, les membres étirés, elle est ouverte, offerte, son intimité exposée. On lui bande les yeux et elle plonge dans le noir. A la volonté de son Maitre elle est prête à se soumettre et déjà, sans qu’elle puisse se contrôler, ses sens s’affolent... Elle n’entend guère, sinon quelques froissements et les respirations Du Maître et de David, mais elle attend, ne sachant de quel côté viendront tendres caresses ou dures punitions. Haletante, les cuisses largement écartées elle se sent tourmentée par le désir même que cette impudique position suscite en elle. Son sexe largement offert... mais pourtant son envie est brimée. l’esclave imagine Le Maître et Son Ami qui la contemplent, elle doit se mordre les lèvres pour ne pas supplier... implorer qu’Ils la prennent, la possèdent plus encore qu’Ils ne la possèdent déjà sans aucune restriction. Même si elle sait qu’elle n’est qu’une esclave, son sexe brûlant de désir la pousserait presque à l’oublier. A être cette femme qui s’offre et qui s’ouvre à son amant. Mais elle est esclave et c’est son Maître qui est là. C’est son Maître qui l’a voulue ainsi...
Elle voudrait s’ouvrir encore bien que déjà écartelée. sa poitrine vibrante, sa chatte béante, humide, impatiente ! Quelque chose glisse sur cette mouille qu’elle ne peut retenir, quelque chose de souple et chaud qui pèse sur ses lèvres mouillées, sur son sexe gonflé...
Et soudain... il n’y a pas eu un mot, mais elle est pénétrée, le poids d’un corps pèse sur le sien... elle est fourrée puissamment, longuement... elle est possédée comme elle n’osait encore l’espérer... baisée, et baisée encore, gémissante, ne pouvant contenir l’extase qui la gagne, elle gémit pour son Maître tandis que, sans prévenir, une autre Queue force ses lèvres et s’empare de sa bouche. Ecartelée, ouverte, offerte, elle est doublement pénétrée, longuement possédée, violemment défoncée... Plus rien n’existe autour d’elle, excepté les Deux Sexes qui vont et viennent en elle, qui usent de ses orifices sans retenue aucune, appliquant ainsi Leur Pouvoir absolu, Le Pouvoir Du Maître et de Son Compagnon sur celle qui n’est qu’une esclave et qui dans sa supplique n’exprime que le désir absolu de le rester.
...
Une semaine plus tard : L’arrivée de la soumise « Attente » :
Un grand calme était retombé sur le Château du Marquis d’Evans. Depuis le retour de l’esclave e46MSE, une sorte de vie au ralenti s’était établie, faisant suite à tellement d’événements. Sir Evans s’était absenté quelques jours afin de mener à bien Ses Affaires, en compagnie de David et la gestion quotidienne de La Demeure avait donc été confiée à Walter le majordome et Marie La Cuisinière. Les esclaves du harem de Maître Sir Evans étaient sortis chaque matin de leur box afin de se voir confier diverses tâches domestiques afin que Le Château demeure parfaitement entretenu en l’absence Du Maître.
Dans la grange où étaient logés les esclaves, c’est toujours e69MSE qui effectuait l’ensemble des tâches, devant conserver une parfaite hygiène dans les box où les esclaves passaient chaque nuit. Il oeuvrait humblement et était battu chaque soir et chaque matin, afin de conserver vive à son esprit la déception qu’il avait causée à son Maître et dont il paierait le prix aussi longtemps que Le Marquis ne jugerait pas que son châtiment permettait d’effacer l’ardoise qui avait bien failli lui valoir l’exclusion du Harem.
Mais Marie et Walter supportaient mal de voir ainsi le rythme du Château retomber, craignant surtout que les esclaves ne prennent de mauvaises habitudes s’ils tombaient dans la routine. Tout esclave manque de volonté si celle-ci n’est pas régulièrement « nourrie » par les exigences d’Un Maître qui les pousse ainsi à transcender leur soumission et à se livrer au-delà de leur perception primaire, afin de les guider vers une appartenance toujours plus profonde. Certes ils agrémentaient les tâches quotidiennes de contraintes diverses, mais cela leur semblait encore insuffisant. C’est Marie qui eut l’idée d’un challenge qu’ils allaient imposer aux esclaves, afin qu’à Son retour, Le Marquis puisse apprécier les efforts consentis par Son personnel afin que Son « home sweet home » puisse encore le charmer et le surprendre autrement que par les si nombreux Souvenirs accumulés par Ses Nobles Ancêtres et le dévouement certes absolu de Son Harem.
...
Justement, Un excellent Ami Du Maître était passé afin de confier pour quelques jours Sa soumise aux bons soins de Sir Evans qui avait accepté de tester pour Cette Relation les aptitudes réelles de la femelle qui était désignée par le nom d’Attente. L’Ami du Marquis était l’amant d’Attente qui cachait à son époux sa profonde attirance pour la soumission. Mais L’Amant, s’il savait exploiter les attraits de la soumise pour en retirer un maximum de plaisir, manquait d’expérience afin de révéler la nature profonde d’esclave qu’il pensait deviner en elle.
Le mari d’Attente étant pour deux semaines en voyage d’affaires, L’Amant avait convoqué la femelle et lui avait proposé de la confier pour quelques jours à Un Ami qui pourrait la « tester » et déterminer sa capacité à devenir une véritable esclave... Bien des hésitations plus tard, la soumise Attente avait cédé à l’exigence de son Amant et Maître. Pour sceller leur pacte et prouver son dévouement, elle avait du rejoindre L’Homme dans les vestiaires de leur club de gym. Ils étaient certes seuls dans cette salle car l’heure était fort tardive, mais le risque d’être surpris demeurait. Pourtant, nue, encore poisseuse de la transpiration de longs exercices, le visage rougi par l’effort, elle était entrée dans le vestiaire et s’était agenouillée au centre de la salle de douches commune. Les yeux fermés, bouche ouverte, mains jointes dans le dos, elle avait attendu...
Au bout de longues minutes, elle avait entendu un léger bruit et surprise, elle avait senti un sexe qui forçait sans peine la barrière docile de ses lèvres et se frayait un passage jusqu’au plus profond de sa gorge, jusqu’à presque l’étouffer... Puis, lentement, Le Sexe allant et venant avait encore gonflé et durci dans sa bouche qui dégoulinait de salive, lubrifiant La Queue qui possédait sa bouche comme n’importe quel orifice que son Amant aimait à pénétrer fréquemment, marquant ainsi Son Emprise sur une femelle qui ne pouvait s’empêcher d’être excitée par la dépravation qu’elle vivait, par l’abdication de toute pudeur à laquelle elle cédait afin de satisfaire les désirs les plus pervers de Celui qui était désormais son Maître.
Ce n’est qu’après qu’elle eut avalé le jus épais et abondant de son Amant qu’Attente sut que son destin allait sans doute basculer. LIRE LA SUITE
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