Laure – Première soumission 2
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Pierre était un peu anxieux des réactions de sa femme à ses instructions écrites. Il avait interprété certains signaux comme une attente pour franchir un pas mais confondait-il ses envies et les envies cachées de sa femme ? Quand son téléphone avait bipé en début d’après-midi, Pierre avait lu le message de sa femme avec un plaisir non dissimulé :
« Votre soumise vous attend selon vos instructions, impatiente de vous servir »
Soulagé d’avoir bien discerné les attentes et les fantasmes de sa femme, il pensa :
« Enfin, elle saute le pas. La petite bourgeoise BCBG se décide et elle apprend vite, à ce que je vois. Bon, elle ne sait pas tout à fait dans quoi elle s’aventure mais elle a osé. Je suis fier d’elle. Il va falloir être patient, ne pas brûler les étapes pour qu’elle ne renonce pas en cours de route et qu’elle continue nos expériences mutuelles, moi, de son abandon, et elle, de sa soumission. »
Le moment de partir du bureau lui sembla soudain lointain et il lui tarda d’être à 17 heures.
Ces derniers jours déjà, il avait fait quelques achats pour avoir tous les accessoires utiles à la transformation de sa femme en femelle soumise.
Cordes fines, bracelets, mousquetons, matériel de suspension, pinces à linge de différentes formes, différents godes et plugs, vibromasseur, cravache, martinets.
Il n’avait pas osé le fouet ni la cane, pensant que c’était sans doute trop tôt car il ne connaissait pas suffisamment la résistance à la douleur de sa femme, de sa future soumise.
Tout cela l’attendait rangé, soigneusement dissimulé dans un coin du garage, là où il savait qu’elle ne risquerait pas de l’y trouver.
Il n’avait jamais osé aller trop loin car elle était un peu coincée dans ses attitudes sexuelles. Quelques tentatives, mais souvent, il avait renoncé, trop souvent à son goût, devant les refus de sa femme. Mais là, on y était. Elle lui donnait une sorte d’autorisation de jouer avec elle, presque sans limites.
Enfin 17 heures arrivèrent, la semaine était finie, le week-end commençait.
Il reprit sa voiture au parking et se dirigea vers leur domicile.
Il voulait la surprendre, alors il se gara un peu plus loin dans la rue et passant par derrière la maison, il poussa sans bruit la porte et regarda sa femme, non sa soumise Laure. Elle avait suivit toutes ses instructions et l’attendait patiemment, nue et si désirable.
Résistant à l’envie d’aller la toucher, il resta, un long moment, à contempler le spectacle qu’elle lui offrait. « Elle est magnifique comme çà. » pensa-t-il.
Depuis combien de temps, suis-je là, dans cette posture : dix minutes, un quart d’heure, une heure ? J’ai perdu la notion du temps depuis un bon moment.Surtout ne pas bouger. Garder la pose : reins cambrés, cuisses ouvertes, bouche entre-ouverte, les seins en avant.L’attente me semble interminable, je commence à ne plus sentir ses bras.
Il resta cinq bonnes minutes à détailler du regard ses formes si généreusement offertes. S’attardant sur sa chute de reins, ses seins provocants délicieusement poussés en avant, son ventre plat, son sexe qui était visible bien que caché derrière sa toison brune. Tiens, mais on dirait qu’elle luit, cette toison. Il sourit « Excitée, la petite ? ». Tout à l’heure, il vérifierait. Il avait tout son temps.
Sans bruit, il s’approche d’elle, lui caresse d’un doigt les lèvres ouvertes. Elle sursaute à ce contact. Tout son corps se tend comme si une décharge électrique l’avait touchée.
Je ne l’ai pas entendu arriver. Depuis combien de temps est-il là ?Pas un mot n’est prononcé, on entend que sa respiration à elle qui s’est accélérée et devient courte sous l’angoisse. Une main la touche, est-ce lui ? Ce silence est effrayant, pourquoi ne dit-il rien ?Ses seins sont doucement caressés l’un après l’autre, ses tétons sont agacés, légèrement pincés par les doigts de cet inconnu. Des mains d’homme, c’est sûr. Elle se tord un peu pour échapper à cette main qui la pince. Une tape sèche sur le sein droit la rappelle à l’ordre et elle reprend immédiatement sa position. Ce n’est pas vraiment douloureux mais le message est clair. On ne bouge pas.Deux doigts fouillent son sexe et pénètrent son intimité, elle se sent humiliée car elle sait qu’elle se met à mouiller abondamment. L’inconnu va la savoir excitée comme pas possible.Malgré elle, elle se tord. A nouveau une tape sèche, plus appuyée, sur l’autre sein. Là, çà fait plus mal, elle réprime un gémissement. Elle reprend aussitôt sa position et se laisse faire.Elle se sent impuissante, ses yeux se remplissent de larmes. Mais elle reste le dos bien droit. Elle sait que sa soumission ne lui sera pas facile mais elle l’a accepté alors elle résiste à la tentation de tout arrêter. Si c’est ce que son Maître veut alors elle le désire aussi.Tout à coup, les caresses s’arrêtent. Elle se sent frustrée. Un profond sentiment de honte l’envahit. Un inconnu la pelote et elle jouit au lieu de se révolter. Elle se met à sangloter doucement.
Elle ne m’a pas reconnu. « Merveilleux, jusqu’où l’amour d’une femme peut aller. » se dit-il.
Ses épaules et ses seins bougent doucement au rythme de ses sanglots. Il a envie de la prendre dans ses bras pour la consoler mais il résiste, il faut qu’elle en passe par là dans son apprentissage de soumise.
Il se sent très excité par la vue que Maud lui donne en pensant à tout ce qu’il va pouvoir lui demander de faire ces prochains jours.
Il se relève doucement, il attend qu’elle se détende. Sans bruit, il va vers la porte et la ferme un peu fort. Le bruit la fait sursauter.
"Qui était-ce ? Pourquoi était-il parti ? Était-il vraiment parti ? Ces pensées l’assaillaient et restaient sans réponse. L’attente se prolongeait, lancinante, elle recommençait à avoir mal au dos et aux bras.
Pourquoi m’a-t-il imposé cette épreuve, cette humiliation ? M’offrir à un inconnu, quelle honte pour moi."
Saisissant son appareil numérique, tournant sans bruit autour d’elle, il prend des photos d’elle. De près, plein cadre, encore de près, plus près, pour mieux photographier ses seins, sa chatte que l’on voit cachée par sa toison, ses fesses rebondies.
Elle est tellement belle comme çà. Il me faut garder un souvenir de ses premiers émois de soumise.
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