Laure - Première Soumission 7
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Une fois arrivés à la maison, pour la remettre au plus vite dans sa condition d’esclave, je la bousculais en la poussant brusquement au milieu du salon.
Comme je m’installais dans un fauteuil, elle me regarda l’air interrogateur l’air de me demander alors je fais quoi maintenant ?
Çà n’allait plus du tout, il fallait que je reprenne le contrôle de Laure, après cet épisode au restaurant.
« Laure, tu t’oublies. Tu devrais être en position comme une esclave que tu es. Tu vas être punie pour ce manquement. »
« Qu’est-ce que tu attends encore, Laure, tu veux jouer ? Alors tant mieux, on va jouer. »
« Position, Laure. »
A toute vitesse, Laure fit passer son corsage par dessus ses épaules, tomba sa jupe et arracha ses chaussures. Déjà, à moitié nue, son effeuillage fut rapide. Elle tomba à genoux en position devant moi.
« Tu as mis 17 secondes Laure. Tu dors ou quoi ? Tu connais la sanction ? »
« Ouiiii, Maître. »
« Bon, 2 coups pour ton retard et cinq coups pour ton oubli. Comme cela, tu y penseras la prochaine fois. Prosternes-toi, front sur le sol, le cul bien haut, vite. Et tu te rappelles, tu ne bouges pas sinon on double la punition. Tu comptes tout haut. »
Laure se met en place, les fesses le plus haut qu’elle le peut et elle attend le corps qui frémit d’anxiété de ce qui arriver à ses fesses.
Je prends la badine et je lui frotte une fesse, puis l’autre avec la badine. Je regarde avec émotion, son petit cul qui tremble dans l’attente de mon coup.
Je frappe un coup sec, assez fort.
Elle a beau s’y attendre, elle crispe les poings et pousse un petit cri, mais ne se relève pas.
« Un » compte-elle.
Pendant le même temps, je frotte à nouveau ses fesses avec la badine.
Quand ses mains se détendent, je frappe un deuxième coup sec.
Son corps qui se raidit, un feulement, la tête qui se redresse, puis qui revient en position. « Deux »
Je continue calmement, méthodiquement la correction, frottements, coups secs réguliers et grognements, aspirations profondes et Laure qui compte.
Au sixième et au septième coup, elle pousse un long grognement et crispe ses poings à nouveau. Je l’entends qui aspire de l’air bruyamment et longuement, puis qui souffle à fond pour absorber la douleur. Elle ne veut pas crier mais elle a très mal.
Moi qui croyais qu’il allait me faire jouir, je me suis bien gourée. Quelle correction, j’en prends plein sur le cul et encore, il ne frappe pas trop fort. J’ai les fesses en feu. Elles vont être toutes zébrées après çà. Je vais plus pouvoir m’asseoir du tout pendant huit jours au moins.
« Fini pour l’instant, Laure. Ne bouge pas, je vais soigner tes marques. »
Je lui passais du baume pour calmer le feu sur ses fesses.
"Voilà, c’est fait. Redresses-toi et mets-toi à genoux, le corps droit, les mains dans le dos.
D’ordinaire, pas de baume pour les esclaves et tu attendrais que çà passe tout seul mais comme c’est ta première correction d’esclave, je fais une exception.« »Quand tu le sens, tu peux s’asseoir sur tes talons.« Je m’installe à nouveau dans le fauteuil en face d’elle. »Laure, tu devais me raconter cette histoire qui t’est arrivée avec cette petite serveuse, Nathalie.
Je t’écoute, raconte moi tout en détails, je veux imaginer la scène comme si elle se passait devant mes yeux."
Et Laure se mit à raconter.
"Quand vous m’avez donné à Nathalie, j’ai vraiment paniqué car c’était ma première fois. Mais je devais me soumettre à votre ordre. Aussi lorsque Nathalie est partie vers les toilettes, je l’ai suivie les jambes flageolantes.
Dans les toilettes pour dames, elle m’a attrapé par les cheveux et m’a tirée par la tignasse pour me pousser dans la toilette Handicapé en me disant : « Au moins là-dedans, on aura de la place. »
Dès qu’elle a eu refermé la porte derrière nous, elle m’a plaquée au mur, ses mains maintenaient mes bras en l’air. D’un coup de genou, elle m’a forcée à écarter les jambes.
Je n’en menais vraiment pas large car je ne m’attendais pas à ce qu’elle me brutalise.
"Bon, j’ai pas le temps de me perdre en formalités avec toi, ma petite, alors tu vas me donner le plaisir comme je vais te le demander. Compris ?
Il parait que tu es une soumise alors tu fais ce que je te dis, salope."
Là-dessus, elle m’embrasse sur la bouche et moi, j’essaye d’échapper à ces lèvres de femme.
Elle lâche mes mains, se recule un peu et me gifle à toute volée, j’en ai vu de toutes les couleurs. Par réflexe, je cherche à me protéger d’une main et de l’autre, je me frotte la joue toute endolorie.
« Tu te remets les bras en l’air, salope, tout de suite. » me dit-elle vraiment menaçante.
Elle m’a fait peur alors vite je me suis mise à nouveau les bras en l’air un peu pliés comme quand elle m’avait plaqué au mur. LIRE LA SUITE
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