Laure – Première soumission 9

Chap. 9 Epilogue
vendredi 19 avril 2013
par  Luke
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7 votes

J’avais demandé à Laure de m’écrire un texte racontant la première fois où elle s’était soumise à moi, son Maître. Ce qu’elle s’était empressée de faire, comme toujours soucieuse de m’obéir strictement et sans délai.

Rêveur, je reposais, à côté de moi, le livre qu’elle avait si bien rédigé, tout étourdi de son verbe si vivant comme si j’y étais à nouveau.

J’avoue avoir été stupéfait de ses talents d’écrivain. Je lui connaissais ceux d’une conteuse hors pair mais ceux-là, je les découvrais avec délectation.

Que cela me semblait loin, ces moments. Ces dix ans avaient passé bien vite, me semblait-t-il.

Que de chemin parcouru ensemble au fil de nombreuses aventures passionnantes qui nous ont permis d’assouvir notre penchant mutuel de domination pour moi et pour elle de soumission.

Et cet amour réciproque qui était là indéfectible, toujours renforcé par ces piquantes aventures.

D’une jeune femme de 25 ans toute fougueuse, aux formes magnifiées par sa jeunesse, Laure est devenue une femme de 35 ans, inventive dans nos rapports de soumission, insatiable dans son besoin de sexe, superbe dans sa féminité accomplie et toujours une belle à ravir dont je ne me lassais pas de caresser le corps si voluptueux dès que l’occasion m’en était donnée.

Ce qui me charmait en elle, c’est ce que, très souvent, je voyais dans le regard gourmand des autres hommes qui la regardaient, parfois sans vergogne, parfois à la dérobée et qui la désiraient secrètement.

Je voyais parfois des éclats, soit de désir, soit de jalousie dans le regard des autres femmes qui la côtoyaient, accompagnées ou non.
Et moi, j’étais heureux de posséder cet être exceptionnel, Maud, ma Maud qui s’était donné à moi et à moi seul, corps et âme.

Ce soir, comme je rentrais à la maison, elle m’a fait une surprise, enfin presque, car elle n’aurait jamais osé ne pas m’avertir de ses projets et elle m’avait donc prévenu bien avant. Mais je ne savais pas ce qu’était la surprise.

Elle m’avait accueilli entièrement nue sous une robe très légère, presque transparente. Çà ce n’était pas sa surprise.

Effectivement, il y a maintenant très longtemps nous avions convenu d’une sorte de code pour préserver notre couple des curieux qui ne partageaient pas notre passion et nos secrets, comme les proches parents, des étrangers ou amis que nous n’avions pas invités dans notre jardin secret.

J’avais tenu ma promesse de ne jamais demander à Maud de devenir une esclave qui ne pouvait qu’obéir à mes ordres Mais elle s’était peu à peu transformée en soumise des plus parfaites qui acceptait la plupart de mes ordres car je savais ce qu’elle refusait et refuserait de faire contre sa volonté.

Maud était donc très disponible pour se comporter en soumise et n’avait plus besoin de consignes pour se glisser dans la peau d’une soumise. En revanche, ce qu’elle me demandait, c’est de la surprendre à le plus souvent possible que je lui demandais un acte de soumission, que je sois présent ou pas peut importait, elle me racontait tout ensuite.

Nous avions nos routines comme beaucoup de couples mais elle et moi essayions de mettre régulièrement un peu de piquant dans notre relation.

Aussi, quand elle m’avait prévenue de sa future surprise pour ce vendredi, je l’avais appelée Laure ce qui lui signifiait que je voulais une séance particulière de soumission qui durerait selon mon bon plaisir et elle m’avait répondu par « Oui, Maître » m’indiquant qu’elle acceptait cette séance et qu’elle me ferait son accueil « spécial soumission » et se rendrait tout à fait disponible.

Sa surprise, c’est quand elle m’a fait découvrir l’esclave qu’elle avait préparée depuis deux semaines pour mon plaisir.

Pour son plaisir aussi, car je sais que si elle se plie volontiers aux règles de la soumission à son Maître, elle est devenue au fil du temps, une redoutable dresseuse de femelles pour me les offrir avec délectation et amour, fière de me plaire encore et encore.

Elle en profite pareillement car elles sont aussi ses esclaves. Quand je ne les utilise pas, je lui ai donné tous les droits sur elles et elles ne le savent que trop bien.

Leur corps martyrisé me dit que leur vie avec elle, ne doit pas être toujours rose pour elles.

D’ailleurs, chaque fois que je le lui demande, elle n’hésite pas à m’en raconter tous les détails comme elle sait si bien le faire.

Après avoir ressassé toutes ces choses, je baissais les yeux et je regardais entre mes jambes, la tête de l’esclave qui venait de m’être offerte par Laure.

Une esclave dont le regard était masqué par un foulard noir qui ressortait sur sa chevelure blonde.

Noémie, c’était son nom, attendait mes ordres sans bouger.

Pour me la faire découvrir, tout à l’heure, Laure m’avait demandé de parler et d’agir librement, en bref, de la laisser mener le jeu jusqu’au dîner. Curieux de ce qu’elle voulait faire et surpris par sa demande, connaissant la soumission totale de Laure, je lui donnais mon accord impatient de connaître ce qu’elle avait derrière la tête.

Elle m’avait pris par la main et m’avait demandé gentiment de fermer les yeux. J’avais continué à jouer le jeu comme d’habitude dans ces cas.

Dès que je les avais eu fermés, elle m’avait doucement tiré derrière elle pour aller dehors au fond du jardin où je savais que se situait notre donjon.

Une fois entrés, elle m’avait demandé d’ouvrir les yeux et presque théâtralement, elle m’avait montré la fille nue, à genoux, jambes largement écartées, les bras dans le dos, au milieu de la pièce en me disant :

« Noémie, votre nouvelle esclave, Maître. »

Je regardais avec ravissement la fille. Quel merveilleux cadeau.

Une petite blonde aux cheveux mi-longs, avec un joli minois, aux seins bien ronds, avec une chute de reins fantastique terminée par des fesses superbes, la chatte pas épilée, un corps splendide dans sa jeunesse.

Elle me racontera très bientôt, avec force détails, comme à son habitude, comment elle avait pu la capturer dans ses griffes et priver de liberté de décision cette fille et transformer sa vie en enfer pour en faire une esclave parfaite.

« Quel âge a-t-elle ? »

« Vingt ans tout juste », me dit Laure ?

« Noémie, tu salues ton Maître. »

La fille se prosterna aussitôt avec beaucoup de mal, en se jetant sur le sol. Je remarquais alors ces bras et ses mains attachés dans le dos. Elle semblait toute ankylosée. Je notais que son corps était zébré de partout par des marques plus ou moins anciennes. LIRE LA SUITE



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Commentaires

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jeudi 20 juin 2013 à 15h03 - par  orkka

Je suis bien d’accord, ce récit se lit avec gourmandises et beaucoup d’effroi. Comment une esclave puis soumise peut elle, faire subir à d’autre femme, ce qu’elle sait comme insupportable en douleur. Serais ce une sorte de vengeance ? Je suis juste un peu déçu, de n’avoir pas eu à lire, le récit avec nathalie, Laure et le maître Pierre. J’aurais aimer lire la soumission de nathalie à Laure, car la serveuse a frappé Laure, alors que le Maître lui avait interdit. Hâte de vous lire à nouveau.

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mardi 23 avril 2013 à 08h20 - par  Henic

Ce récit se lit de bout en bout avec un grand plaisir. Il est tout de même étonnant de voir Laure-Maud infliger à d’autres cet esclavage qu’elle a refusé car trop dur pour elle-même.