La débutante - 4
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Episode 6
Je savais que ce moment allait arriver. Je m’y étais préparée et avais déjà réfléchi à la meilleure « mise en scène » possible pour lui plaire. Quand j’y avais pensé, ces derniers jours, je n’étais pas encore dans ce degré d’acceptation de ma position de soumise que je connais maintenant.
Tout d’abord, je prends une douche rapide. Je veux faire une surprise à mon Maître. Sans aucune hésitation, je me rase le con. C’est la première fois que je me contemple ainsi dans la glace. Sans aucun poil, je me sens démunie, mais aussi encore plus disponible. C’est ainsi que je lui déclamerai les quelques phrases que j’ai soigneusement préparées.
Dans la chambre, rangée, j’allume les bougies que j’avais installées sur le chandelier de la commode. La pièce baigne dans une douce et chaude lumière. Le fouet a détruit mes bas. J’en enfile une autre paire. Je m’installe devant la coiffeuse. Je me maquille soigneusement. Sur internet, j’ai vu des soumises qui rougissent la pointe de leurs seins. De même, je passe le rouge à lèvres sur le bout de mes mamelles. Enfin, je prépare mon anus en l’enduisant d’un lubrifiant que j’ai acheté pour l’occasion, encore une idée prise sur internet, car je manque totalement de pratique, c’est ce qu’il faut que j’explique à mon Maître. Il entre d’ailleurs à ce moment dans la chambre.
J’ai juste eu le temps de me préparer. Je suis debout face à lui et je le vois contempler mon con. Je le sens ému. Je m’agenouille en prenant soin d’écarter les cuisses je tends les mains vers lui, paumes en avant.
— Maître, c’est avec émotion et amour que je vous offre la virginité de mon cul. Je vous prie de bien vouloir m’enculer pour ainsi me sentir pleinement à vous. Cet orifice vous attendait. Il n’a jamais été utilisé, par aucun de mes amants, et je suis heureuse de vous en faire don.
Je me tourne, me mets à quatre pattes, les cuisses bien écartées. De mes deux mains, j’écarte mes fesses. Mon anus bien en évidence, je me cambre le plus possible. « Je ne suis qu’un trou offert à l’homme que j’aime ». Cette phrase tourne dans mon cerveau. Je la fais mienne. Elle me correspond, car c’est tout ce que je désire. J’entends mon Maître descendre sa braguette. Il m’attrape par le collier et m’oblige à me tourner vers lui.
— Viens me préparer. Je veux ta bouche. Installe-toi bien, à genoux. Mets tes mains dans ton dos. Ouvre la bouche, regarde-moi dans les yeux et ne bouge plus.
J’obéis à toutes ses consignes. Il m’attrape alors les cheveux, me tient ainsi la tête et s’enfonce entre mes lèvres. Je ne bouge pas. Il va et vient violemment dans ma bouche et quand il s’enfonce au plus profond j’ai un haut-le-cœur et éjecte son membre. Me tenant toujours les cheveux, mon Maître m’assène une terrible paire de gifles. Instantanément, les larmes me viennent et coulent sur mes joues, emportant mon maquillage.
— Remets-toi en position ! ordonne-t-il
Quand je l’entends comme ça, il me fait vraiment peur. Je vois le fouet qui n’a pas quitté sa ceinture. J’obtempère et suis prête à l’accueillir. Je ne dois pas bouger. Je tire la langue en signe d’abandon. De sa verge, il tape dessus. Puis, il s’introduit. Je ne suis plus qu’un objet qu’il tire par les cheveux pour obtenir un balancement d’avant en arrière. Il décide de la vitesse, de la profondeur. Quand il vient au fond de ma gorge, je m’applique à le recevoir. Je vois dans son regard sa satisfaction. Je croyais ne pas pouvoir en emboucher plus sans m’étouffer. Il me lâche la tête et je continue de moi-même le doux bercement. Je n’oublie pas de le regarder comme il le désire. J’essaie de m’imaginer comme si j’assistais à la scène. Je suis à genoux, les mains dans le dos, les cuisses écartées. Le visage baigné de larmes, en adoration devant mon Maître. Je n’esquisse aucun geste de défense quand je le vois armer le bras qui tient le fouet. J’essaie même de ne pas fermer les yeux quand, par-dessus mon corps, il vise mon entrejambe. Je sens la corde suivre le chemin entre mes cuisses, remonter sur mon bas ventre pour finir et claquer sur mon con lisse. La douleur m’apporte des soubresauts jusque dans les épaules. Mais je ne veux pas fléchir. Je garderai mon Maître en bouche. Il sera fier de son esclave. Un deuxième sifflement. Le con me brule. Maître se retire de ma bouche pour contempler son œuvre. Je montre mon bas-ventre pâle zébré de deux marques rouges.
— Retourne-toi ! LIRE LA SUITE
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