PonyGirl

jeudi 6 décembre 2012
par  deshna
popularité : 1%
7 votes

Tu es dans ta chambre d’hôtel. Tu es excitée à l’idée de me revoir. Nue, lisse, les mains bien à plat contre le mur. Tu attends mon arrivée. Tu tressailles légèrement. Des sentiments mélangés traversent ton esprit. Je t’ai annoncé diverses choses qui ne sont pas pour te rassurer. Lorsque la porte s’ouvre, tu sens ton excitation grandir. Sur le lit, toutes tes affaires sont étalées. Je regarde ton ventre plat. Je caresse tes seins, ton ventre, tes cuisses. Tu écartes bien les jambes lorsque tu sens ma main se rapprocher de ta chatte. Je la fouille doucement. Lorsque tu sens mes doigts s’approcher de ton anus, tu as envie de me dire « Je ne suis pas propre, Maître » Mais comme je t’ai interdit de te laver, tu te reprends. Je le sais.

Je termine en pinçant tes tétons. Je prends ton mors que je présente devant ta bouche. Tu es déçue. Même pas un baiser. En plus, tu t’attendais à l’écarteur. Tu espérais pouvoir me sucer. Docile, tu ouvres la bouche et tu me laisses te placer le mors. Je t’attrape par les cheveux et sans un regard, je t’entraîne à la salle de bain. Tu es décontenancée. Tu attendais la cravache ou une fessée pour te remettre en situation. Je t’attache les mains dans le dos. Je te fais entrer dans la cabine de douche et j’attache tes pieds avec un drap découpé. Je t’allonge dans la douche et je ramène tes pieds derrière ta tête, exposant ton cul à mon regard, plié en deux.

Sans un mot, je démonte la pomme de douche et je t’enfonce l’embout dans l’anus. J’ouvre le robinet et un jet d’eau glacée t’inonde. Je retire le tuyau et tu rejettes l’eau. Déjà quelques saletés sortent. Tu es morte de honte. Je recommence et quand je juge qu’il y en a assez, je détache tes pieds. Tu roules sur le côté. La vue de ce qui baigne dans le fond de la cuvette achève de te faire mourir de honte. Tu voudrais bien crier, mais le mors t’en empêche.

Tu sens un liquide chaud te tomber sur le corps. A l’odeur, tu reconnais mon urine. Comme tu es tournée vers le fond de la cabine de douche, tu ne vois rien. Je t’arrose copieusement. Ta tête et ton corps sont à présent couverts de pisse. Je termine en te crachant deux fois dessus. Je referme la porte de la cabine de douche. Tu te retrouves seule, baignant dans la merde et la pisse. Tes tripes ne tardent pas à se manifester et un nouveau jet d’eau sale et malodorante vient s’ajouter à ta gêne. Tu ne tardes pas à verser de chaudes larmes.

Un temps infini semble s’écouler. Lorsque tu entends la porte de la salle de bains s’ouvrir, tu roules sur toi-même pour faire face à la porte de cabine de douche. Elle s’ouvre en coulissant silencieusement. Tu as un choc. Ce n’est pas mon jeans que tu aperçois, mais une paire de bottes d’équitation. Tu lèves le regard et tu vois une femme en tenue de cavalière te regarder d’un œil torve. Tu fais un bond. Tu es bouleversée. Tu ne sais plus si tu dois me maudire, me croire fou ou pervers au dernier degré.

Sans un mot, la femme remonte le pommeau de douche, règle la température de l’eau et entreprend de te laver. Elle t’arrose longuement. Malgré tes mouvements désordonnés pour cacher ta merde, tu te rends compte qu’elle a parfaitement conscience de ta situation. Elle te fait mettre debout et fini de te laver. Te prenant par le bras, elle te fait sortir de la cabine de douche et t’essuie sommairement. Elle te conduit dans la chambre.

Sur le lit, tes affaires ont disparu. Tu es étonnée, dans ta situation, de remarquer ce détail. Dans la chambre, un homme t’attend. Lui aussi en tenue d’équitation. Se plaçant devant toi, la femme te donne une brève explication. « Je me nomme Laurence. Je suis écuyère. Voici Jérôme, il est Maître es équitation. Ton Maître nous as confié la tâche de faire de toi une ponie. Normalement, il faut deux semaines d’entraînement, mais il prétend que tu es douée. Aussi, tu seras éduquée en deux jours, car demain, tu devras servir de ponie pour une soirée à laquelle il sera présent. » Si tu n’avais ton mors, tu hurlerais. Tu essayes de te débattre, mais un coup de cravache vicieux sur tes seins te ramène à la raison. « Mon Maître n’a pas pu me faire ça. Où est-il ? Pourquoi m’a-t-il abandonnée ? Ne suis-je rien pour lui ? »
Tes poignets sont libérés dans ton dos, mais Jérôme a une poigne de fer et il les maintient fermement pendant que Laurence te passe deux bracelets de métal et les attache devant. Un large collier de métal est placé autour de ton cou. Une longe y est attachée. Une cape est jetée sur tes épaules. Elle ne ferme pas sur le devant. Tu continues de te débattre. Tu te secoues pour faire tomber la cape. Deux coups de cravache te cinglent le dos. La cape est replacée et attachée avec une fine cordelette. Lorsque tu sens une traction qui te tire vers la porte, tu refuses d’avancer. Tu fais de grands signes « non » de la tête. Tu ne veux pas sortir dans cette tenue. Ces gens doivent être aussi fous que ton Maître. C’est dément. Tu ne veux pas que tout l’hôtel te voie ainsi. L’écuyère revient vers toi. « Tu vas obéir et avancer sinon ça va vraiment mal se passer » Elle passe sa main sous la cape et te pince durement le sein gauche. Tu as mal. Tu hurles mais ton cri ne dépasse pas le mors.

Anéantie, tu acceptes de les suivre. Tu n’oses relever la tête. Tu fixes le sol. Assez étonnement, dans l’hôtel, tout le monde a disparu. Tu es emmenée sur le parking où un van de transport de chevaux attend. Tu es installé dans une stalle. La cape t’est enlevée. A 4 pattes, des cordes sont fixées au collier pour t’empêcher de tomber. Tes mains sont attachées à un anneau dans le sol. Le van est prévu pour huit ponies, mais tu es seule. La ridelle est refermée, mais une lampe éclaire chichement le van qui ne tarde pas à démarrer.

Au bout d’une autre éternité, qui te laisse tout le loisir de repasser les derniers évènements en revue, tu repenses à ce que je t’avais annoncé. S’il est vrai que je t’avais prévenue que tu serais traitée en Esclave, tu ne pensais pas que ce serait aussi dur. Tu souhaites devenir ponie pour me plaire, mais tu pensais que j’allais t’emmener moi-même et t’y préparer et pas confier cela à des inconnus. Tu ne sais plus que penser. Tu pleures. Mais tu ne sais si c’est de rage ou de dépit.

Le van finit par s’arrêter. La ridelle est baissée et l’écuyère vient te chercher. Elle lubrifie ton anus et y enfonce un gode. Tu te rends compte qu’elle vient de te gratifier d’une queue de cheval. Elle défait les liens de ton collier. Elle détache tes mains. Elle te relève et attache une longe à ton collier avant de t’entraîner à sa suite. Dès que tu descends du van, tu te rends compte que tu es arrivée dans un manège. Il est d’un genre particulier. Il n’y a aucun équidé. Uniquement des ponies. Plusieurs s’entraînent, d’autres tirent des sulkys qui transportent des cavaliers.

Sans attendre, tu es menée sur une piste. LIRE LA SUITE
Ecrit par mon Maître Designer



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Commentaires

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samedi 15 décembre 2012 à 21h53 - par  deshna

@ Monsieur Henic,

J’apprécie tjs vos commentaires Monsieur, et si ce récit était réel, je dirais que votre façon de voir les choses est vraiment justifiée. Seulement ce récit est une complète fiction, oui j’aime que mon Maître soit sadique, parfois cruel dans ses récits mais jamais je ne pourrais vivre ce qu’il écrit ou du moins pas de cette façon là.
Mon Maître a toute ma confiance Monsieur.

Et je vous transmets aussi la réponse de mon Maître.

"Merci à Henic.
Comme beaucoup des récits, celui-ci est une fiction dans laquelle j’ai glissé quelques fantasmes et laissé mon imagination s’emballer parfois de façon excessive.
N’ayant pas le goût pour des récits plus classique, j’aime exprimer ce qui ne sera jamais qu’une image dans un rêve.

Designer"

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dimanche 9 décembre 2012 à 19h59 - par  Sendom

Un seul épisode suffira.
Trop de répétions alourdissent le texte.

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jeudi 6 décembre 2012 à 21h38 - par  Henic

Ce récit est très bien raconté et on n’a aucun mal à y entrer.
Cela étant, votre réaction est la bonne, Deshna, et votre Maître s’est mal conduit puisqu’il n’a pas su mériter votre confiance : cet échec est le sien, pas le vôtre. S’il n’a pas réussi à le comprendre, c’est ennuyeux... La preuve : ne dit-on pas que le cheval est la plus belle conquête de l’homme ? Si l’homme ne sait pas le conquérir, c’est qu’il n’en est pas digne.
Quant à l’injustice qui prévaut dans cette écurie, de véritables écuyers n’en feraient pas autant avec de vrais chevaux. Piteux !