Comment je suis devenue l’esclave sexuelle de mon amant et de ses amis.
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Voici plusieurs mois que je vis un bonheur insoupçonné, grâce à mon amant et maître. Il m’a emmenée au-delà de mes limites et de mes fantasmes. J’ai toujours rêvé être dans ses situations. Il a deviné mon secret dès le début de notre relation, et ma tendue un piège pour mon plus grand plaisir.
Je suis une femme blonde de vingt-cinq ans, d’un mètre soixante-douze, cinquante-deux kilos. Recruté par les services du contre-espionnage de mon pays, en tant qu’agent de liaison. Je récolte et remonte les informations fournis par nos agents implantés dans différentes organisations maffieuses et terroristes, qui essaient de prendre le pouvoir en profitant d’une crise économique sans précédent depuis quelques années.
Tout commença un lundi matin six mois plus tôt, enfermé dans un coffre de voiture roulant à vive allure. Une cagoule sur la tête, je sens le métal des menottes sur mes poignées et chevilles liées ensembles dans le dos. Je fouille dans mes souvenirs pour comprendre comment j’ai pu me retrouve dans cette situation. Je me souviens d’une femme me demandant un renseignement, je me retourne pour lui répondre, quand une violente décharge électrique me fit perdre connaissance. Je pense que cet enlèvement est en rapport avec mon travail.
Le véhicule vient de s’arrêter, on m’en sort sans aucune délicatesse pour me jeter sur le sol. J’essaie de me retourner mais quelqu’un s’assoit sur mon dos, on me retire la cagoule et la remplace par un bandeau, j’ai juste le temps d’apercevoir que je suis en pleine campagne. On m’introduit une balle en mousse dans la bouche, suivie d’une bande adhésive qu’on m’entoure de la base de nez au menton pour m’empêcher de ressortir la balle. Sans un mot il se retire de mon dos, il m’arrache mes vêtements et me saucissonne avec l’adhésif. En commençant par scotcher mon tibia à ma cuisse après m’avoir plié celle-ci et fait de même pour l’autre, termine son action par me joindre ensembles les deux jambes. Me scotch les coudes dans le dos jusqu’aux poignets, suivi des coudes aux épaules en les rapprochant aux maximum. Il me momifie tous corps, rendant le moindre mouvement impossible. Il me soulève pour me glisser dans un sac de voyage, me dépose dans le coffre et reprend sa route jusqu’à un parking. Il me soulève et me transporte dans un vulgaire bagage à main d’une cinquantaine de centimètre qu’il balance d’avant en arrière. Le bruit environnant me laisse percevoir qu’on est dans une gare, ce qui me redonne espoir. En effet avec tous ses contrôles de polices à chaque coin de rue et de plus ma disparition qui a surement était signalé par mes supérieurs, il n’a aucune chance de monté dans un train. Je l’entends passer les barrages sans encombres, j’essaie de bouger pour signaler ma présence au force de l’ordre, ce qu’il me fait payer de plusieurs coups de genoux dans les flancs tout en continuant à avancer jusqu’à la monté dans un wagon. Une fois en place il ouvre le sac et m’injecte à l’aide d’une seringue un clament qui me fit tomber un profond sommeil.
Quand j’ouvre les yeux, je suis entièrement nue assise sur une chaise rivet au sol, les mains attachée dans le dos, relié aux chevilles suspendue dans le vide par des menottes, les jambes écartés de chaque côté de l’assise laisse apercevoir une vue sur mon intimité entièrement épilé à la demande de mon amant. Le poids de mes pieds suspendus sous la chaise tire sur mes bras, ce qui m’oblige à me cambrer pour soulager la traction exercé par les liens, ce qui m’oblige à ma poitrine avant. Malgré la peur être leur prisonnière la situation m’excite. Cela me fait penser à l’un de mes fantasmes !! Celui d’être torturé et violé par des inconnus. Un projecteur dirigé sur moi viens de s’allumer, quelqu’un ouvre la porte et se dirige vers moi, avec cette lumière qui m’aveugle je ne peux distinguer que ça silhouette à contre-jour, il passe derrière moi pour contrôler mes liens. Je reconnais sa voix quand il me chuchote à l’oreille :
— Ne dit rien et écoute, je n’ai pas beaucoup de temps. Ils sont remonté jusqu’à toi par un agent qui a craqué, ils veulent connaitre tous les noms de tes contacts. Tout va être filmé et enregistré pour le montrer à leur leader, c’est peut être l’occasion de remonter tout le réseau. Courage j’essaie de te sortir de ce bourbier le plutôt possible.
C’est mon amant, un agent infiltré au cœur du réseau le plus important que nous cherchons à démanteler. Je m’apprête à lui répondre quand plusieurs hommes font irruptions dans la salle, l’un d’eux s’approche de moi en me regardant dans les yeux et m’annonce :
— Tu as beaucoup de choses à nous apprendre ma belle ! Il n’y a que deux solution pour toi, soit tu réponds à toutes nos questions et cela se passe en douceur ou tu refuses et nous serons obligé d’employer d’autres méthodes moins agréable pour toi.
— Je ne comprends rien à ce vous me dites monsieur, vous devez faire erreur.
Une claque résonne dans la pièce, suivie d’une autre toute aussi forte. Les larmes me coulent sur le visage. Malgré une formation qui vous apprend à lutter contre la douleur et l’interrogatoire, la théorie et la pratique n’ont rien à voir.
— Je sais qui tu es ! Enfin, ton nom de code, agent Clara !!!
— Vous vous trompez mon…
Une série de claque s’abat sur mon visage, j’ai les joues en feu tellement qu’il tape fort, mes cries et mes pleures a pour effet d’amplifier les coups. Il me place un bâillon pour me faire taire.
— Bon puisse que la méthode douce ne conviens pas à l’agent Clara, on va passer à la vitesse supérieur. Quand tu seras décidé à parler tu nous feras un signe de la tête.
Il me pince le bout des seins entre ses doigts et me les tords en tirant dessus en même temps, plus j’essaie de crier à travers le bâillon, plus il pince. Plus il me torture, plus j’hurle à travers le bâillon. Un jeu vicieux qu’il se délecte à faire et je me surprends à y trouver un certain plaisir à ce jeu. La pression est tellement forte que je ne sens plus le bout de mes seins, quand il les relâche une douleur encore plus vive m’irradie la poitrine, j’ai l’impression que mon cœur est au bout de mes tétons. Un seau d’eau glacé lançait par mon tortionnaire me frigorifie, l’action me rince le visage de mes larme et de la bave qui s’échappe de mon bâillon, tremblant de froid il place des pinces métalliques sur mes tétons encore endolories, je me cambre sous la douleur et en profite pour fixer un autre pince sur mon clito. Il enroule des fils électriques autour des pinces de la poitrine, il essaie de faire même pour celle du clito mais je serre mes cuisse l’une contre l’autre pour l’empêcher d’œuvrer. Il attrape un cylindre métallique d’une vingtaine de centimètre de long et pointu à chaque extrémité, la place à la base de ma cuisse qui m’empêche de les refermer et accroche le fil électrique à la pince. Il relie un des câbles à un interrupteur, les deux autres directement sur d’une batterie.
— Tu n’as toujours rien à me dire !
Je lui fais signe que non en le regardant dans les yeux, pour lui montrer que je lui dirai rien quoi qu’il fasse tous en tremblant de froid. J’ai droit à une deuxième douche glacé.
— Comme tu veux, mais n’oublie pas de me faire signe quand tu changeras d’avis.
Il enclenche l’interrupteur en me regardant avec un sourire sadique, la décharge est terrible et je cambre sous l’effet de la douleur, le courant me traverse tous le corps, j’ai l’impression que mon clito et le bout de mes seins vont exploser, il coupe le courant au bout d’une trentaine de seconde. Il appuis de nouveau sur le bouton, mon corps se raidie sous un mélange de plaisir et de souffrance, celui-ci ne réponds plus à ma volonté, il se raidi, tremble de toute part, des jets d’urines et de cyprine s’en échappe par moment. A chaque fois que je perds conscience, il me réveil à grand coup d’eau glacé qui a pour effet de faciliter le passage du courant et me faire perdre encore plus facilement conscience. Il arrête cette torture qu’après plusieurs heures et surtout par épuisement de batterie. Il ôte les pinces en tirant d’un coup sec sur les fils, m’arrachant et griffant le clito et les tétons, le sang irrigue de nouveau ces parties et attise encore plus la douleur, Je n’ai plus la force de crier, juste un léger gémissement de jouissance qu’il a pris pour un râle de douleur, enfin je l’espère. LIRE LA SUITE
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