Ayla, la soumise...
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Huit heures viennent de sonner...
Ayla s’éveille dans sa misérable chambrette de bonne au dernier étage de la demeure où son maître l’a introduite, après un entretien avec la maîtresse de maison, ponctué de questions très intimes ainsi que d’une prise d’informations sur son aptitude à la soumission et sur ses pratiques, des plus softs aux plus extrêmes...Cela fait deux jours qu’Ayla est arrivée, elle a eu le temps depuis d’apprendre les règles qui régissent la vie du château, pour le ménage, les repas, les pauses, et tout le travail du jardin...deux jours de théorie, me direz-vous, mais maîtresse Célia souhaitait une connaissance complète de la vie ici, et elle avait bien prévenu qu’à partir d’aujourd’hui, les joutes de domination-soumission, et la luxure ainsi que les humiliations allaient entrer en scène...Ayla le redoutait, mais se sentait en même temps curieuse de cette découverte.
Ayla descendit à la salle prête pour le petit-déjeuner...Première surprise, pas de tartines ni de jus d’orange, juste de l’eau et...une assiette remplie de flageolets !
Curieux se dit-elle, surtout qu’il y en avait en tout et pour tout quatre, peut être étaient-elles réservées aux autres soumises du castel. Ayant fait le tour de la table, elle remarqua son nom sur un rond de serviette, mais ne voulut se résoudre à s’asseoir, étant seule dans la pièce...Pas pour longtemps, en effet quatre filles de son âge ou presque entrèrent ensemble, sans un mot, Ayla les vit aller chacune à leur assiette, puis s’asseoir sur leur chaise...elle voulut leur adresser un bonjour discret, mais ayant ouvert la bouche, la jeune fille à sa droite lui fit signe de ne pas parler, seulement de manger son assiette sans rien laisser dedans ! Ainsi fut dit, ainsi fut fait...
Quinze mn après, Ayla avait fini de manger quand un homme entra, se présentant à elle comme étant un des intendants de la maison...il expliqua aux cinq filles qu’elles devaient ce matin aller laver le grand salon, chacune ayant un rôle bien défini, pour Ayla, c’était le lavage du sol, à quatre pattes comme la chienne qu’elle serait maintenant ! Arrivé dans la pièce, chaque soumise s’affaira a respecter les ordres, et le temps passe, une demi heure, une heure...Le tout sous les yeux de l’intendant qui avait l’air d’attendre quelque chose ! Ayla travaillait d’arrache pied mais sentit tout à coup une envie de pet qui la gêna, cela devait venir des flageolets, mais que faire ? Elle n’osait pas se faire remarquer, mais avait en même temps cette envie qui lui faisait mal maintenant...Alors elle lâcha ce pet qu’elle espérait discret, malheureusement l’intendant entendit le bruit significatif, empoigna Ayla et actionna un parlophone qui communiquait avec la pièce où se trouvait maîtresse Célia, celle-ci annonça sa venue dans les trois minutes à venir ! L’intendant en profita pour chambrer notre soumise :
— Prépare toi à déguster, chienne…Tu vas vite comprendre et rectifier ta façon d’être ici ! Mais voici notre patronne, bonne chance…
— Alors, soumise Ayla, à ce qu’il paraît, tu pètes dans ma maison, devant les soumises, n’as-tu pas honte dis moi ?
— Je….Je suis sincèrement désolé, maîtresse !
— Les excuses, c’est une chose, mais je crois que je vais devoir te faire réaliser par des travaux pratiques toute ta bêtise...Figure toi qu’avant de descendre, je suis allé faire ma petite crotte et comme par hasard, je ne me suis pas essuyée…quelle en est l’utilité quand on a du papier cul vivant, je te le demande ? Alors je vais commencer par me mettre à quatre pattes sur le pouf ici présent, et tu vas approcher ton minois de putain de mon entre-fesse ! Ça y’est, viens, je suis en place !
Mais Ayla pétrifiée par l’humiliation resta immobile se demandant si elle serait capable de répondre aux attentes de sa maîtresse…elle pensait encore quand elle ressentit une brulure sur la fesse gauche. C’était l’intendant qui venait de la fesser avec un martinet, Ayla comprit qu’elle devait se résoudre à obéir…L’épreuve serait sans doute éprouvante, mais importante dans son cheminement de soumise, de femme-objet, de salope, et bientôt de nettoie-merde !
— Allez, chienne, commence par sentir mon cul, doucement, en faisant aller ton nez partout autour du trou !
Ayla, sous le menace du martinet et comme ensorcelée par le pouvoir persuasif de sa maîtresse, commença à fureter dans la raie culière, à sentir l’odeur peu engageante de l’endroit. Mais elle savait que ce n’était pas encore le plus dur pour elle ! Et pour le confirmer, elle entendit :
— Bien salope ! Maintenant sors ta langue et goute ma matière bien chaude et molle.
Un grand effort sur soi même, comprendre par la même occasion qu’elle est désormais une vraie soumise qui se doit d’obéir à tout, sans rechigner, pour éviter des punitions…Il allait être important de saisir les devoirs inhérents à ce lieu, pour le moment elle maîtrisait parfaitement qu’elle devait se retenir quand un gaz lui venait au derrière. Tout cela, elle se l’était dit en trois secondes, juste après elle avait sorti sa langue et commençait à nettoyer le caviar de sa domina…Pendant que l’intendant qui s’était approché de son oreille droite lui murmurait vicieusement :
— Tu es une broutte-merde, sale putain ! Lèche ce bon cul qui pue, régale toi !
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