Un voile se déchire

Le cadeau
lundi 15 juillet 2013
par  Khyor
popularité : 1%
5 votes

Je m’étire langoureusement. Déplie mes jambes pour les tendre jointes ; les soulevant en un gémissement qui exprime une satisfaction bienfaisante. Une brume se lève... Mes yeux s’éveillent pour découvrir un décor inconnu qui ne me trouble pas, bien au contraire... Un grand lit aux dimensions surréalistes que même mes membres dans leur étirement ne pouvaient débordés. Une pièce sobrement agencée... Deux commodes encadrait un miroir d’une belle largeur et s’arrêtant à quelques centimètres du plafond blanc. Ce dernier divisé en deux par huit petits spots assurant un éclairage digne de ceux qui officiaient dans les chapiteaux.
Je me lovai sur le côté totalement détendue comme une plénitude.
Un bruit de serrure m’ouvrit les paupières, un homme complètement nu entra... J’ai faillit éclater de rire. Non pas du fait qu’il soit dans le plus simple appareil, mais dans la situation dans laquelle il m’est apparu. Effet, son sexe était dans une cage de fer doré laissant apparaître son membre décalotté et percé d’un joli anneau argenté, ses bourses rasées, comprimées et le tout cadenassé. Je ne savais pas qu’il existait des cages de chasteté pour homme.
Il devait avoir dans les trente cinq ans. Châtain clair, yeux noirs, un peu bedonnant et pourtant les muscles saillants. Intriguée, de son harnachement. Il portait en guise de tablier une tablette tenue par de larges sangles de cuir marron attachée à large collier en fer mat d’où pendaient de gros anneaux qui le reliait par ses poignets.
Quel odeur agréable, des croissants, une tartine de pain beurré, un jus d’ananas ma boissons préférée. Ces gens là sont bien informés... ? Oh ! Et mince effaçons ces turpitudes et profite de ce petit déjeuner. Il est repartit sans avoir dit bonjour ni au revoir en verrouillant la porte de cette chambre. Je posai mon plateau sur la table de chevet. Alla me mirer devant la glace légèrement biseauté. Montra mon dos visiblement bien marqué, me retournant de face et admirer les striures aux seins, au ventre et sur le hauts des cuisses.
Quel châtiment ais-je reçu ! Quel bonheur en retour de ma révélation !
Heureuse de m’assumer, heureuse de me retrouver en complète harmonie comme si les milles et une brindille qui obstruaient une caverne et qu’un vent si violent mis enfin à jour. Quelle libération !
A nouveau une clé qui ouvre la porte. Dans le contre-jour une silhouette féminine se détacha pour être aussi nue devant moi que l’homme du petit déjeuner.
— Bonjour soumise ! Je suis lavette et sans collier, une soumise en attente de propriétaire... Je dois vous aider à vous réparer pour votre présentation à la personne à qui vous appartiendrez totalement et sans concessions. Vous avez le droit de me parler, de me posez des questions. Je vous assure que je répondrai en toute liberté et sincérité. LIRE LA SUITE


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Commentaires

Logo de emma
jeudi 18 juillet 2013 à 23h54 - par  emma

Un des pires textes qu’il soit possible de lire.
Bourré de fautes d’orthographe, de grammaire, de vocabulaire.
Illisible au point que je n’ai pas dépassé 10 lignes.

Logo de Mitch343
mardi 16 juillet 2013 à 15h30 - par  Mitch343

Bonjour,
pas mal comme histoire !
Mais, (car il y a deux « mais ») :
1) la lecture serait plus agréable si vous faisiez un peu plus attention à l’orthographe et à la présence de tous les mots dans une phrase ;
2) il y a des cassures de rythme désagréable : on dirait qu’à certains moments vous voulez aller trop vite dans votre récit et que vous sautez des phrases et/ou des idées. Dommage car l’idée est vraiment plaisante !