Maîtresse Cindy -1-

jeudi 15 août 2013
par  Sylvain de Perry
popularité : 2%
18 votes

Tu as 22 ans, envie de rencontrer une dominatrice. Par internet, tu regardes où tu peux trouver un lieu de rencontre et une femme de ton âge. Le rendez-vous une fois fixé, tu t’y rends.
Tu mesures un mètre quatre-vingt-cinq, brun aux yeux verts, nez droit, bien rasé, bouche sensuelle, menton avec une fossette médiane, l’ensemble pèse soixante -douze kilogrammes.
Vêtu d’un jean non moulant, d’une chemise bleue à manches courtes, c’est l’été, tu entres dans la boîte après t’être présenté au videur.
Un subtil éclairage baigne le lieu où une musique classique douce t’accueille. Comme convenu tu te présentes à la barmaid :
— Bonsoir. Je suis Sylvain, j’ai rendez-vous avec Cindy.
— Bonsoir Sylvain. Tu prends l’escalier au fond à droite, elle t’attend au premier étage, deuxième porte à gauche.
— Merci.
Parvenu devant la porte, tu frappes sur le lourd battant. Une voix, à peine audible, t’invite :
— Entre !
Tu pénètres dans le salon privé, assez vaste d’ailleurs, avec un mobilier sobre, ferme la porte et regardes Cindy, assise dans un profond fauteuil de cuir.
Elle a des cheveux blonds courts, un front haut, des yeux bleus, assez froids, une bouche large aux lèvres délicatement ourlées, une poitrine menue, caché par un boléro de cuir noir, un pantalon de cuir noir, moulant comme une seconde peau te laisse deviner des longues jambes aux cuisses assez fines.
— Bonsoir, Cindy.
— Ttt… Ttt ! Tu dois m’appeler Maîtresse Cindy. Mais surtout, quand nous sommes tous les deux, Maîtresse. Quand nous sortirons, le cas échéant, ce sera inutile de m’appeler Maîtresse. Compris ?
Tu rectifies aussitôt :
— Oui, Maîtresse. J’ai compris.
— Avant que l’on passe aux choses sérieuses, sers-moi un verre de whisky, un pour toi si tu veux et assied-toi. Puis explique-moi ce qui t’amène.
Tu fais le service, t’assois sur la chaise à haut dossier face à elle.
Tu lui résumes que tu as envie de connaître les joies d’être dominé par une jeune femme qui sache te guider. Que tu n’es plus puceau.
Pendant ton explication elle ne t’a pas quitté du regard, te fixe droit dans les yeux.
Quand tu te tais, elle acquiesce :
— Parfait ! Ton programme me convient. Tu dois quand même savoir que je n’hésiterais pas à te fesser cul nu quand tu le mériteras. Tu ne me feras l’amour que quand je t’y autoriserai. Tes baisers et caresses seront appréciés. Mais jamais de ta propre initiative. Pour cette première rencontre, avant de dîner dans ce salon, tu vas commencer par te mettre à poil, que je te vois, ensuite je te donnerai ta première fessée pour avoir omis de m’appeler Maîtresse dès ton entrée et aussi en signe de bienvenu. D’accord ?
Tu pourrais bien sûr refuser que ça commence comme ça directement, mais Cindy… pardon, Maîtresse Cindy, te plaît bien, alors…
— Tout à fait, Maîtresse.
— Alors… A poil !
Tu te lèves, ôtes tous tes vêtements, et deux minutes plus tard, tu es entièrement nu face à elle. Tu freines l’envie de dissimuler ta bite en légère érection derrière tes mains.
Son regard semble te dénuder encore plus, puis Maîtresse Cindy te commande :
— Tourne-toi que je vois ton cul.
Quand tu as fait demi-tour, tu l’entends qui se lève, s’approche de toi, pose une main aux doigts fins et déliés sur ton cul, le caresse, ce qui augmente ton érection.
— Tu es bien cambré ! J’adore les garçons au cul bien cambré. Ta croupe est bien musclée. Fais-tu du sport ?
— Oui, Maîtresse. Surtout de la course pédestre.
Elle tapote ton derrière, dit :
— Parfait ! Bien… Ne le faisons pas attendre plus longtemps. La main me démange déjà de le claquer comme il faut afin que tous deux se connaissent parfaitement.
Maîtresse Cindy s’éloigne, s’assoit sur la chaise que tu as quittée, t’invite :
— Viens te mettre à plat ventre sur mes cuisses !
Tu fais deux pas, te penche en avant et plonge sur ses cuisses en cuir. Elle place ta bite, qui a rétréci, entre ses cuisses avant de l’y emprisonner.
Son bras gauche te ceinture, sans serrer, juste pour te maintenir.
Alors que tu attends la première claque, qui ne saurait tarder, Maîtresse Cindy passe sa main droite sur toute la surface de ton cul nu, précise :
— Le salon est insonorisé. Tu peux crier ta douleur sans problème, aucun voisin ne viendra nous déranger. Quant à notre repas, tu iras avertir le serveur quand ta correction sera achevée.
La main caressante quitte tes fesses et, aussitôt, y revient sous forme de claque, sèche, percutante, puissante.
Tu retiens de justesse le cri de surprise mais aussi de douleur qui a failli jaillir de tes lèvres.
Déjà une nouvelle claque percute ta fesse droite juste au même endroit que la précédente.
Maîtresse Cindy fesse tranquillement, visant apparemment le même endroit. Et cela pendant une dizaine de claques.
Ensuite elle frappe de la même façon la fesse gauche. Cette fois tu comptes dans ta tête : dix claques.
Les dix suivantes sont distribuées aux deux fesses ensembles, à la jonction avec les cuisses avec un très léger mouvement ascendant.
Puis ce sont dix autres, à nouveau fesse droite, mais à un point décalé par rapport à la première salve.
C’est là que tu ne peux retenir tes premiers cris :
— Aaaaaaaye !... Nooooooon !... Maîtresse !... Vous me faîtes !... Maaaaaaal !... Ça suffit pour une première fessée !... S’il vous plaît, Maîtresse !...
Sans cesser la percutante fessée, Maîtresse Cindy explique :
— Déjà m’arrêter ? Tu plaisantes, j’espère ! Ma main ne connaîtra parfaitement ta croupe que quand elle sera uniformément rouge.
Sous la douloureuse fessée, tu te rends compte que tu bandes complètement dans la prison des cuisses de cuir qui t’enserrent.
Tu ne comptes plus les claques qui percutent toujours tes fesses, sans relâche, avec la même irritante puissance.
Tu replis ton bras droit afin d’aller t’offrir un rempart de ta main.
La voix toujours aussi douce de Maîtresse Cindy t’arrête net :
— Stop ! Remet ta main où elle était tout de suite. Pour ce geste, après ta fessée, je t’allouerai un supplément.
— Nooooooon !... Maîtresse !... Excusez-moi !... Mais j’ai trooooooop !... Maaaaaaal !... Arrêtez la fessée !... S’il vous plaît !...
— C’est bientôt fini ! Dès que ta croupe sera parfaitement rouge, comme si tu avais un slip carmin.
Peu après :
— Voilà les trois dernières.
Chaque fesse et leur base sont claquées fortement, ce qui te fait hurler.
Le bras gauche ne te ceinture plus et cette main, toujours fraîche, contre toute attente, caresse ton cul martyrisé. Puis :
— Allez, debout !
Tu te mets sur pied avec plaisir, t’éloignes de ta fesseuse, frottes tes fesses avec plaisir.
Maîtresse Cindy quitte la chaise, s’approche de toi, prend ta bite bandante dans sa main droite :
— C’est elle qui va être punie pour la main dont tu as voulu te servir en protection.
— Oh ! Non, Maîtresse ! C’était machinal !
— Je sais, mais ça évitera que tu recommences lors d’une prochaine fessée.
Sans lâcher ta bite, elle te remorque vers la table où repose une mallette Samsonite qu’elle ouvre de son autre main, prend une cravache très courte mais avec une languette en cuir rouge large et épaisse.
Maîtresse Cindy la prend dans sa main gauche, de la droite, décalotte ton gland.
— Cinq coups de cravache pour ton incartade. Regarde-moi droit dans les yeux !
La peur au ventre tu la fixes.
Tu ne vois rien, mais le premier coup te cingle sèchement.
— Aaaaaaaye !...
Au troisième des larmes envahissent tes yeux, brouillent ta vue.
Après le cinquième, tu manques de défaillir, alors que Maîtresse Cindy lâche ta bite, repose la cravache, prend ton visage entre ses mains, approche le sien et lèche les larmes qui coulent sur tes joues.
Puis elle pose ses lèvres sur les tiennes, et tu réponds à l’ardent baiser dont elle te gratifie avant de reculer et de te dire :
— J’ignore le temps que nous resterons ensemble voire si tu donneras suite à cette soirée, mais en attendant, suis contente que tu embrasses bien. D’ailleurs, j’ai oublié de te faire embrasser ma main juste après ta fessée. Signe que tu m’as quand même troublée. Va au bout du couloir, il y a le maître d’hôtel, demande lui la carte et revient.
Comme tu t’approches de tes habits, Maîtresse Cindy interrompt ton geste :
— Que fais-tu ?
— Je m’habille pour sortir, Maîtresse !
Elle rit (joli rire clair, agréable) :
— Inutile, cet étage est réservé aux couples amateurs de S. M., vas-y comme tu es !
— Bien, Maîtresse !
Tu te rends au bout du couloir, un peu honteux malgré tout, surtout en croisant une jeune fille aux seins rougis, aux aréoles garnis de pince. Quand elle t’a dépassé, tu te retournes et ses fesses sont comme doivent être les tiennes : rouges coquelicot.
Un homme d’une cinquantaine d’année t’accueille :
— Bonsoir. Vous désirez ?
— La carte, s’il vous plaît, Monsieur.
Il te tend deux cartes assez longues et, quand tu te retournes pour gagner le salon, t’interpelle :
— C’est vous qui êtes avec Maîtresse Cindy ?
Tu t’arrêtes, le fixe :
— Oui. Pourquoi ?
— Simple : on voit que vous avez été copieusement fessé. C’est ce qu’elle préfère…
Tu repars en te demandant si lui n’a pas été aussi fessé pour une erreur de service.
Pour le repas, que tu payeras, elle te laisse le libre choix des mets, précise :
— Avec moi pas de repas dans des écuelles ou du jeu avec la nourriture. C’est sacré !
— Vous avez raison, Maîtresse. Je n’aurai d’ailleurs pas donné suite à cette rencontre dans ce cas.
Notre choix fait, tu rapportes le menu au maître d’hôtel qui te précise :
— Vous direz à votre Maîtresse que je livrerai le repas dans vingt minutes.
— Merci, Monsieur.
Quand tu es avec Maîtresse Cindy, tu lui rapportes le délai d’attente.
— Parfait ! On a encore un peu de temps à nous.
Elle te désigne le fauteuil, t’ordonne :
— A genoux, ventre contre le dossier, cuisses bien écartées.
Un peu inquiet, tu demandes :
— Que… Qu’allez-vous me faire, Maîtresse ?
— Rien de méchant…
Elle se dirige vers sa mallette, sort une boîte avec des gants de latex et un pot de gel, poursuit :
— Faire connaissance avec ton trou du cul, afin de déterminer si je te garni d’un plug avant d’aller chez toi ou chez moi après le repas.
— Faîtes doucement… A part la prise de température… Mon anus est vierge.
— Je m’en doute.
Main droite gantée, elle oint ton anus de gel, fait de même avec ses majeur et index.
Puis Maîtresse Cindy pose sa main gauche sur tes reins, appuye afin d’accentuer la cambrure de tes fesses ; son majeur se pose sur ton anneau rectal, elle pousse et le doigt pénètre en toi, te faisant un peu mal.
— Aaaaaaaye !
Elle enfonce le majeur jusqu’à sa paume, dit :
— Tu es bien serré, en effet.
Maîtresse Cindy fait naviguer son doigt en toi, opère un retrait, puis l’enfonce à nouveau, le sort complètement, t’alloue une claque, décide :
— Je vais te mettre un plug, comme ça ton conduit va s’agrandir un peu. Garde la position.
Elle va à sa mallette, choisis un plug qu’elle recouvre d’un préservatif, le graisse copieusement de gel. Elle revient derrière toi : le plug est assez long, dix-huit centimètres, en fait un cône qui s’élargit jusqu’à la base et se termine par un hiatus afin qu’il tienne bien en toi.
Tu protestes :
— Non !... Non !... Maîtresse !... Ça ne va pas entrer !...
Maîtresse Cindy te claque les fesses par deux fois, rétorque :
— Ne te plains pas toujours. Ça va pénétrer sans souci et parfaitement tenir.
Elle appuye de nouveau sur tes reins, abouche le plug contre ton trou du cul en le tenant à la base d’une main ferme, pousse.
Tu sens ton anus qui s’écarte alors que le plug pénètre, doucement mais fermement.
— Aaaaaaaye !... Ça m’élargit trop, Maîtresse !… Ça n’entrera pas !...
Malgré toi, tu serres tes fronces anales.
La main gauche quitte tes reins et tu reçois quatre claques alors qu’elle dit :
— Ne serre pas ton cul ! Détend toi au contraire !
— Je ne peux pas, Maîtresse… Aaaaaaaye !...
Quatre nouvelles claques sur tes fesses, puis elle lâche :
— Veux-tu d’autres claques pour t’y aider ?
— Non !... Non, Maîtresse !...
— Alors relâche-toi ! Sinon quand le maître d’hôtel va te voir dans cette position, il va rester pour te mater.
Du coup tu te relâches et, sous la poussée permanente, le plug poursuit sa progression en toi. Tu sens ton conduit se dilater progressivement au fur et à mesure de la lente avancée du cône. Maîtresse Cindy t’encourage :
— Voilà ! Encore quelques centimètres et tu l’auras en entier.
Tu as l’impression d’être complètement rempli par le plug quand ton orifice anale se referme sur le hiatus terminale laissant la seule plaque de la base à l’extérieur.
Au même moment on toque à la porte.
Maîtresse Cindy dit :
— Entrez !
Tu n’as pas le temps de protester que la honte te submerge. En tournant la tête, tu vois que ce n’est pas le maître d’hôtel qui entre, mais une jeune serveuse, court vêtu, portant un grand plateau.
Son regard voit le tableau que tu offres : à genoux dans le fauteuil, nu, cul rouge, avec ce plug en toi.
Elle demande, comme si de rien n’était :
— Où pose-je le plateau, madame ?
— Sur la table. Merci.
Maîtresse Cindy te laisse ainsi, va à son sac à main, y pêche son porte-monnaie l’ouvre, en sort un billet de 5€ qu’elle tend à la serveuse. Elle la remercie et sort, fermant le battant, après un dernier regard vers toi.
— Allez, debout, viens t’asseoir
Tu éprouves quelques difficultés avec cette présence incongrue en toi. Néanmoins, penché vers l’avant, tu quittes le fauteuil et marche à petits pas jusqu’à la table.
T’asseoir n’est pas aisé car quand tes fesses adhèrent au cuir de la chaise, tu as la pénible impression que le plug s’enfonce d’avantage.
Le repas se déroule tranquillement.
Tu devises avec ta Maîtresse, de tout et de rien.
Le repas achevé, Maîtresse Cindy t’ordonne :
— Va poser le plateau par terre près de la porte et on décidera de la suite du programme.
— Bien, Maîtresse.
Tu as un peu honte en ouvrant la porte, nu avec un plug dans le cul. Heureusement aucun quidam dans le couloir. Ça te fait un peu mal quand tu te baisses pour poser le plateau à terre, mais tu ne traînes pas, refermes vite le battant avant de revenir vers ta Maîtresse qui décide :
— Allons chez moi, nous serons plus à l’aise. Habille-toi !
Tu la fixes, demandes :
— Et… Et le plug ?
— Exact.
Maîtresse Cindy te contourne, posa une main à la base du plug, le fait naviguer, ce qui te gêne un peu car tes chairs ont adhéré au préservatif, lâche :
— Pas de souci, tu peux le garder.
Elle te gratifie de deux claques, ajoute :
— Ne perdons pas de temps, j’ai très envie de t’enculer.
Ça te laisse muet.
L’appartement de Maîtresse Cindy, situé dans le septième arrondissement, avoisine les trois cents mètres carrés.
Nous sommes dans la chambre réservée aux parties de plaisir. Outre un grand et large lit, un gros pouf de cuir noir, assez haut, deux fauteuils, une armoire vitrée avec, sur les étagères, des olisbos de toutes tailles, des menottes, pinces, chaînes. L’attirail complet de la dominatrice.
Sur un mur sont suspendus des gants de cuir, martinets, cravaches et paddle.
Elle a troqué son pantalon de cuir contre un short de cuir noir ; toi : nu.
— On va pouvoir ôter ton plug. Va t’agenouiller dans le fauteuil.
Elle ponctue son ordre de deux claques sur ton cul.
Mains gantées de latex, Maîtresse Cindy vient dans ton dos, agite le plug, ce qui te fait pousser un :
— Aaaaaaaye !
Et elle tire sèchement tout en remuant le plug.
Ça te fait presque plus mal qu’en entrant, mais tu es content d’en être enfin débarrassé.
Maîtresse Cindy pose plug et gants sur un plateau, revient vers toi, toujours dans la même position :
— Ton cul est juste rosé. Donc je vais te donner une nouvelle fessée avant de t’enculer.
Tu protestes :
— Non ! Non, Maîtresse !
— Préfères-tu le martinet ? Voire le paddle ?
— Bon… D’accord pour une fessée, Maîtresse !
Sachant que tu vas devoir subir une nouvelle correction, autant accepter une fessée. Moindre mal. Si l’on peut dire.
Maîtresse Cindy s’assoit sur une chaise à haut dossier, et, sans même qu’elle t’y invite, tu t’allonges à plat ventre, ta bite entre ses cuisses nues. Elle approuve :
— C’est bien, tu commences à devenir obéissant.
Elle te ceinture de son bras gauche, et sans préavis, la première claque percute sèchement ta fesse droite, vite suivi par d’autres, à cadence rapide.
Très vite, malgré ta volonté de ne pas l’en régaler, tu cries :
— Aaaaaaaye ! Maîtresse, ça fait maaaaaaal ! Doucement, s’il vous plaît !...
Les claques sèches sont douloureuses à supporter. Heureusement, si l’on peut dire, Maîtresse Cindy passe à la fesse gauche.
Tu continues à crier ta douleur, battant des jambes dans la vaine tentative d’échapper à l’odieux châtiment dont ton cul nu est la cible :
— Pitié, Maîtresse !... Pluuuuuuus !... C’est insupportable !... Arrêtez la fessée, s’il vous plaît !... Nooooooon !... Asssssssez !
Autant prier un mur.
Maîtresse Cindy fesse ton derrière à la base avec un léger mouvement ascendant, rétorque :
— Tu sembles oublier que c’est une correction, pas un plaisir. Je te veux les fesses bien rouges. Là, c’est fini ! Debout !
Tu ne te fais pas prier pour te remettre illico sur pieds, et tu te masses aussitôt les fesses à pleines mains, sentant ton cul bouillant.
Maîtresse Cindy quitte son siège, va jusqu’au haut et large pouf de cuir blanc, le place au centre de la pièce, t’ordonne :
— Met toi à place ventre ici, à genoux !
Elle se rend à l’armoire vitrée, l’ouvre, choisis un gode d’une bonne vingtaine de centimètres, véritable copie d’un sexe d’homme, avec un gland large et une colonne épaisse, le gaine d’un préservatif de latex noir, l’adapte à une ceinture dont elle se ceint.
Puis Maîtresse Cindy, un pot de gel en main, revient vers toi après avoir ganté sa main droite d’un gant de latex.
Elle oint une bonne couche de gel sur le gode, puis, ouvrant ton cul de sa main gauche, elle en dépose une bonne dose sur ton trou du cul.
Elle dépose gant et pot à terre, place ses deux mains, dont la fraîcheur te surprend, sur tes fesses rouges, abouche le gland sur ton orifice anal et pousse.
Malgré ta bonne volonté d’obéissance, tu te crispes.
Maîtresse Cindy lâche ta fesse droite et te gratifie de deux claques, annonce :
— Ne commence pas à te contracter ou je vais être obligé de te fesser à nouveau. Décontracte-toi ! Ça va rentrer tout seul.
Tu te décrispes et, aussitôt, le nœud commence à pénétrer en toi, écartant largement ton orifice.
Tu cries :
— Aaaaaaaye !... Doucement, Maîtresse !... Ça me fait mal !...
Sans te répondre, ses deux mains agrippées à tes lombes, Maîtresse Cindy continue à forcer le passage, lentement, sereinement, sans à coup.
Tu te sens envahi par le gode qui emplit ton conduit anal, pénétrant en toi. C’est une grande première, qui, contre toute attente, te fait bander.
Centimètre après centimètre la colonne raide continue son percement. Tu t’agrippes au cuir du pouf, bouche ouverte sur tes cris :
— Arrêtez, Maîtresse !... Ça m’éventre !... Asssssssez !... Ça n’entrera pas plus loin !... C’est trop gros !...
— Cesse de te plaindre ! Tu en as déjà la moitié dans le cul ! Après tu en redemanderas !
Maîtresse Cindy poursuit sa tranquille pénétration, sans marquer un temps d’arrêt.
Tu serres tes fronces dans la vaine tentative de faire cesser la progression du gode. En vain. Il glisse parfaitement.
Et soudain ça s’arrête. Maîtresse Cindy lâche tes fesses, caresse ton dos, dit :
— Ca y est ! Tu l’as en entier dans ton cul !
Elle continue ses caresses, puis passe sa main droite entre pouf et ventre, jusqu’à ta bite bandante, constate :
— J’étais sûr que tu banderais. Alors ne me dis plus que tu n’apprécies pas d’être enculé.
Elle remet ses mains sur tes hanches et commence à reculer.
Tu as l’hideuse impression que ton ventre va se vider derrière le gode.
Maîtresse Cindy laisse habilement le gland en toi et s’enfonce à nouveau, plus rapidement cette fois.
— Ouaaaaaaah !... Aaaaaaaye !...
Tes deux cris soulignent le nouveau retrait.
Mais sous les va et vient du gode, tu ne cries plus, car en fait tu t’habitues.
Maîtresse Cindy poursuit ses allers et retours réguliers, te lâche les fesses, passe une main sous ton ventre et te branle en cadence, alors que son autre main va dans son short et elle se caresse.
Tu te laisses aller, t’habituant à la possession anale.
Peu après tu éjacules dans la main de ta Maîtresse alors qu’elle aussi jouit.
Elle s’écroule sur ton dos où elle reste sans bouger.
Tu voulais rencontrer une dominatrice, c’est fait et tu en as jouis… LIRE LA SUITE

L’intégralité de ce récit est disponible pour les abonnés de RdF



ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
- d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
- d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
- d’accéder à la galerie photos privée de RdF.

Entrez votre pass abonné

OFFRE DECOUVERTE (code valable 2 fois seulement)

Allopass Solution de micro paiement sécurisé
Secure micro payment solution
Pour acheter ce contenu, insérez le code obtenu en cliquant sur le drapeau de votre pays
To buy this content, insert your access code obtained by clicking on your country flag

Commentaires

Logo de Henic
vendredi 2 septembre 2022 à 07h14 - par  Henic

L’âge venant, la manie se développe, au risque d’être envahissante. Le correcteur commet aussi des fautes, et même de plus en plus, c’est assez humiliant. Mais comme disait le sage : il faut beaucoup d’humiliation pour un peu d’humilité...
Merci à Sylvain de Perry de sa confiance !

Logo de de Perry
jeudi 1er septembre 2022 à 12h42 - par  de Perry

La remarque de Henic est parfaitement EXACTE. C’est pour éviter ces désagréments de lecture, de syntaxes voire rarement d’orthographes que depuis deux-trois ans, je n’ai aucune honte à lui soumettre mes textes avant parution. Il les corrige et j’en suis fier. Outre mes erreurs, il ne faut jamais oublier qu’un auteur qui se relit ne relit pas ce qu’il a devant ses yeux mais ce qu’il a écrit. Donc il laisse involontairement ses fautes. Je n’oublie JAMAIS de l’en remercier, même si mes récits homosexuels hommes l’ennuient, il les corrige comme les autres. Avec mon amitié, Sylvain.

Logo de Henic
mardi 30 août 2022 à 20h40 - par  Henic

Comme de juste avec les histoires de Sylvain de Perry, ça claque, ça fesse, et ça crie !
Le fond et la mise en scène sont agréables, il y a suffisamment de variété pour qu’on ne s’ennuie pas de la répétition des fessées.
Sur la forme, on ne sait pas très bien qui est le narrateur, ni s’il sait lui-même où il est : les « tu » (Sylvain) se mélangent à « je » (le narrateur) et « il » (Sylvain aussi) : ce sont probablement les fessées de Cindy qui « les » troublent...