L’étrange vie de Lisette
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Je n’ai jamais connu mon père, et lorsque j’avais treize ans, ma mère, impliquée dans une affaire de fraude financière avait fui à l’étranger, m’abandonnant à mon sort. N’ayant aucune famille proche, je fus placée dans un orphelinat où je ferais mes études pour en sortir à mon dix-huitième anniversaire. La vie dans ce pensionnat n’était pas réjouissante. Les religieuses se chargeaient à la fois de notre éducation et de notre instruction. J’eus l’intelligence de vouloir me préparer à une vie meilleure, et c’est ainsi qu’en dernière année, j’obtins sans le moindre problème mon bac. Les vacances étaient là, et je crus naïvement pouvoir sans problèmes quitter l’institut où je venais de terminer mes études lorsque je fus appelée chez la Mère supérieure. Celle-ci ne tarit pas d’éloges à mon sujet, puis, brusquement me dit :
« Tu vas donc devoir nous quitter, et tes dix compagnes de dernière année feront de même. Mais j’aimerais assez que tu acceptes avec cinq de tes compagnes de faire une année supplémentaire d’études qui te permettrait d’immédiatement trouver du travail. Si tu acceptes, tu partiras dès demain avec tes compagnes pour rejoindre l’établissement dirigé par la Comtesse de Sayes. Toutes celles qui sont sorties de cet établissement ont été directement casées, et ont entamé sans le moindre problème une vie qui s’annonçait favorable. A toi ce choisir. Mais si tu refusais, tu serais livrée à toi-même, et sans doute incapable de trouver ta voie. Alors, j’attends ta réponse. »
A vrai-dire, je n’avais pas le choix, et acceptai l’offre qu’on venait de me faire. Et au premier jour des vacances, tout notre petit groupe fut amené chez la Comtesse dont l’accueil fut chaleureux. Nous avions chacune emporté nos rares richesses : quelques vêtements de mauvaise qualité, et quelques objets rassemblés au fil des années.
L’institut où nous sommes arrivées nous parut moderne, mais les grilles et les hauts murs qui l’entouraient me firent penser à une prison. Et très vite je m’aperçus que je ne m’étais pas trompée. La Comtesse, une femme proche de la quarantaine, était fort élégante, mais avait je ne sais quoi dans son visage qui nous effraya. Elle nous rassembla d’abord dans une salle de classe et après s’être assise derrière un bureau avec à ses côtés deux femmes plus jeunes, mais pas plus avenantes, elle nous gratifia d’un petit discours de bienvenue.
« Vous avez sans doute compris combien l’année que vous passerez ici sera d’importance pour votre avenir. Je suis de nature très sévère, et vous vous en apercevrez vite. La discipline ici est sans commune mesure avec celle que vous avez connue. L’uniforme ici est de rigueur, et pendant un an vous ne sortirez pas de cet établissement. La formation que vous y recevrez ne pourra que vous étonner, mais elle a ses raisons d’être, et vous les expliquerai plus tard. Vous allez maintenant accompagnées de vos deux surveillantes rejoindre la grande salle de douches où vous devrez faire votre toilette avant de revêtir votre nouvelle tenue. Je viendrai procéder un examen minutieux de votre corps, et vous devrez accepter de vous livrer à ce dernier même s’il vous choque, ce qui sera certainement le cas. Puis vous rejoindrez vos chambres. Elles sont toutes individuelles, mais jamais elles ne seront fermées. Ici, pas de secrets, mais une obéissance totale. Et croyez-moi, je tiens à faire de vous des jeunes femmes de qualité, et sais bien comment le faire. Mon taux de réussite avoisine les quatre-vingt pour cent. Autre chose, vous êtes dix , et deux d’entre vous devront être éliminées. L’examen que je vais pratiquer sur vous sera donc d’importance, et tâchez de le réussir. »
Nous avons, mes amies et moi, été amenées dans une petite salle et à tour de rôle appelées à subir l’examen annoncé. Comme après chaque examen, la fille qui venait de le passer était emmenée dans sa chambre, nous n’avions aucun renseignement sur le déroulement de cet examen. Je passai en sixième position. Une fois entrée dans la salle où tout se passait, je fus étonnée de constater qu’outre la douche et une vaste baignoire, elle disposait aussi d’un fauteuil d’examen, ce qui à vrai dire ne m’épouvanta pas : je trouvais logique de passer un examen médical en début d’année. Mais je ne m’étais jamais attendue à ce qui s’ensuivit.
A peine entrée, on me fit me déshabiller et passer sous la douche. Les deux surveillantes m’étrillèrent vigoureusement sans que j’ose même tenter un geste pour me défendre. Puis, la Comtesse donna un ordre bref. On m’amena à elle et je dus rester un long moment devant elle, immobile, sans pouvoir cacher de mes mains ma poitrine et mon sexe. La Comtesse s’était munie d’un appareil photo et prit de moi plusieurs clichés. J’étais honteuse d’être ainsi examinée. Je dus me retourner et me mettre à genoux sur une banquette. Les surveillantes vinrent m’écarter les fesses et la Comtesse vint photographier mon anus, sans le moindre commentaire. Puis je dus m’installer sur la table d’examen où sans un mot, on m’examina le vagin avec un speculum et l’anus avec un écarteur, toujours dans le silence le plus complet, et sous le regard amusé des deux surveillantes. La Comtesse alla s’installer à un bureau, et me fit signe de s’asseoir sur une chaise en face d’elle. Et le discours qu’elle me tint alors était pour le moins explicite.
« Tu es une élève brillante, mais aussi une fort jolie fille. Ce soir, deux filles de votre groupe seront renvoyées à l’orphelinat, mais toi tu resteras ici. Ma tâche sera de faire de toi une jeune femme qui pourra facilement trouver un mari. Car ici, nous allons te former à cela. Rassure-toi, nous n’employons que rarement le fouet. D’autres systèmes existent pour châtier les élèves récalcitrantes. Apparemment, tu ne connais pas grand-chose de l’amour, sauf évidemment les séances où tu caresses le petit bouton qui se trouve en haut de ta fente. »
Je me sentis rougir. La Comtesse avait raison, j’avais découvert ce plaisir il y avait quelques mois, et en étais devenue assidue. La Comtesse sembla s’amuser de ma réaction et poursuivit
« Il n’y a rien là que de bien normal. Mais il me faudra parfaire tes connaissances sur le plan sexuel,car à part ce petit vice dont tu as tort d’être honteuse, tu ignores tout du sexe. Je connais l’éducation que tu as subie, et sais fort bien que ce mot suffit à faire paniquer celles qui hier encore étaient chargées de ton éducation. J’ai un an pour parfaire cette éducation, et suis certaine de plus tard t’assurer un brillant avenir. On va maintenant te donner l’uniforme que tu porteras durant une année entière. Mais le plus souvent, tu devras rester nue pour les exercices pratiques qui au fil des mois seront de plus en plus nombreux. J’allais oublier : durant ton séjour ici, tu devras te soumettre à mes propres envies, à celles de tes surveillantes, mais aussi à celles de tes compagnes. Le règlement prévoit d’ailleurs qu’au moins une fois tu devras avoir des relations sexuelles complètes avec chacune de celles que je viens de citer. On va maintenant te conduire dans la chambre où une surveillante te précisera les points essentiels du règlement d’ordre intérieur. Bonne chance, et à plus tard. »
Les deux surveillantes me ramenèrent nue dans la chambre qui serait mienne durant un an. Je fus étonné par la qualité du logement La chambre était relativement vaste, et sa fenêtre munie de barreaux donnait sur un parc fleuri. Je disposais d’un lit étonnamment vaste, d’un bureau, de deux chaises et d’un mini cabinet de toilettes muni d’un lavabo et, chose qui m’étonna, d’un bidet. Les toilettes étaient communes à l’étage. Je vis au passage que quelques unes de mes condisciples occupaient déjà leur chambre. L’une des surveillantes me fit me coucher à plat ventre sur le lit, et m’écarta les fesses. Je l’entendis ouvrir un petit bocal, et sentis son majeur se glisser dans mon anus et se mettre à le masser. La sensation était nouvelle pour moi, et je frémis, tentant encore d’élargir de moi-même ma rosette. La surveillante s’en aperçut et me dit
« Ne n’inquiète pas. Dans quelques mois, tu seras parfaitement ouverte de ce côté, et ton futur mari se fera un plaisir de te visiter par là. »
Mon ignorance crasse en la matière m’empêcha de trouver une réponse. La surveillante retira son doigt et me fit me retourner. Elle posa un baiser léger sur ma toison et me gronda
« Demain, je vais te la raser, car c’est ici un des points essentiels du règlement. Et tu verras une fente comme tu ne l’as connue que toute petite, une fente que tu auras plaisir à offrir à la langue de tes futurs amants et amantes . »
La caresse m’excitait, et je ne pus m’empêcher de murmurer « Encore. » La surveillante donna un dernier coup de lèche et me dit
« Petite gourmande. Je viendrai cette nuit t’apprendre à m’aimer, et je suis certaine que tu vas adorer. Maintenant, relève-toi et habille-toi. Il va bientôt falloir descendre pour le repas du soir. »
Elle me tendit une blouse, un léger soutien-gorge et une jupe très courte. Pas de culotte et je ne sais pourquoi j’en fus heureuse.
Un peu plus tard, nous étions toutes réunies, la Comtesse, quatre surveillantes et notre petit groupe d’orphelines autour d’une grande table, dans la salle à manger où nous prendrions désormais nos repas. Nous sommes restées silencieuses, attendant visiblement que la Comtesse prenne la parole.
« Vous vous demandez sans doute ce qui vous arrive, et je le comprends. Je me suis depuis plusieurs années donné pour tâche de former de jeunes filles sans avenir, comme vous l’étiez, à réussir une vie qui s’annonçait somme toute assez détestable. Ce que vous allez vivre maintenant présentera certains aspects parfois déplaisants. Mais jusqu’à présent, ma méthode a toujours été la bonne, et celles qui vous ont précédées ici mènent désormais une vie sans soucis. Une vie qui si vous le voulez deviendra la vôtre. La formation que j’ai prévue pour vous présente deux aspects. Tout d’abord sur le plan culturel : vous apprendre à mener valablement une conversation avec des gens d’un niveau supérieur au vôtre. Mais aussi et surtout, apprendre à les satisfaire sur un plan dont vous ne connaissez rien. La chose était d’ailleurs normale avec les éducatrices que vous avez connues. Ici, vos surveillantes et moi, assistées d’autres personnes, viserons à faire de vous de jolies femmes expertes dans l’art d’aimer. Et la matière est vaste. En théorie d’abord, mais aussi et surtout en pratique. Croyez-moi, après deux mois déjà, votre vision de la vie aura totalement évolué. Les films et les lectures qui sont prévus au programme vous aideront à comprendre des choses que vous ne soupçonniez même pas. Puis, après les deux premiers mois, nous passerons aux choses pratiques. Sans que vous le sachiez, chacune d’entre vous a déjà été choisie par un homme. Tous ces hommes sont célibataires, d’un très haut niveau, et connaissent ma réputation. L’épouse que je leur fournirai sera une épouse parfaite, mais aussi une maîtresse passionnée, et la chose est d’importance. Il faudra bien comprendre que les épreuves auxquelles vous serez soumises ne sont pas que fantaisies de ma part, mais elles seront essentielles pour que j’arrive à faire de vous ce que mes amis attendent que vous soyez. Votre pudeur sera durant toute votre formation soumise à rude épreuve. Il vous faudra l’accepter. Vous pouvez en cas de problème vous adresser à l’une des surveillantes qui saura vous répondre. A partir de demain, je prendrai chaque soir une d’entre vous et durant toute l’après-midi et la nuit suivante me chargerai de lui faire découvrir quelques uns des points essentiels de mon enseignement. Les cours d’enseignement culturels dureront tous les jours de huit heures à seize heures, avec une pause de deux heures consacrée au déjeuner et au délassement. Après seize heures, ce seront les cours consacrés au sexe, sous toutes ses formes. Et sans aucun doute, vous découvrirez des choses que vous n’oseriez même pas imaginer. Allons maintenant ensemble dans la salle de délassement, où deux fois par semaine, vous verrez des films présentant des scènes de sexe, encore légères, pour dans quelques mois ne plus voir que des films érotiques consacrés à toutes les déviations du sexe. » LIRE LA SUITE
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