KIDNAPPING ET SOUMISSION (3)

TOME III
samedi 16 novembre 2013
par  manumaitre
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I. Punitions

Le lendemain à 08h00 tapante, elle était réveillée. L’homme versa dans une écuelle sa bouillie matinale et la posa au sol. Sweet Pussy se leva et se mit à quatre pattes pour manger sa pitance. L’homme resta dans l’encadrement de la porte et regarda la paire de fesses et ses lèvres pendantes et annelées qui bougeaient suivant les mouvements de tête de l’esclave.
« Dépêche-toi chienne car aujourd’hui il y a réunion spéciale. Elle pourra te servir au cas où te viendrait la même idée. »
« Maître, je voudrais aller aux toilettes, s’il vous plaît. »
« Ok, mais tu as 5 minutes, pas plus. »
L’homme attacha une chaîne au collier de Sweet Pussy et l’emmena toujours à quatre pattes dans un coin de verdure ensoleillé par les premiers rayons matinaux. Des centaines de mouches volaient dans l’air, une odeur de merde piquait les narines. Sweet Pussy regardait où elle mettait les pieds et les mains car elle vit des crottes qui jonchait le sol. Elle se positionna pour déféquer, l’homme attendait juste à ses côtés. L’esclave était bloquée de faire ses besoins devant un homme.
« Dépêche-toi, je n’ai pas que cela à faire. Si tu n’arrives pas à chier, je vais te dégorger le cul, moi ! »
Sweet Pussy poussa et l’homme se positionna derrière l’esclave et vit l’anus se distendre et un étron glisser de l’anus pour tomber dans l’herbe. Elle prit quelques brins d’herbe pour se nettoyer le cul.
L’homme l’amena à une salle qui était déjà bien peuplée. D’autres esclaves se trouvaient dans la salle toutes assises, ou plutôt liées chacune à une chaise. Une estrade se trouvait au beau milieu de la pièce. Des chaînes pendaient du plafond et un banc trônait dessous.
Maîtresse Aurore apparut vêtue d’un corset de cuir clouté, de bas résille et de cuissarde en cuir qui lui moulaient les jambes. Elle portait aussi des gants opéra en cuir.
« Esclaves, je vous ai conviées aujourd’hui pour que vous sachiez ce qui l’encourt à celle qui voudrait s’échapper de notre château. Que ceci vous serve d’avertissement ! »
Une porte s’ouvrit et Alexandre entra, suivit d’une esclave.
« Pour celles qui ne le connaissent pas, je vous présente Maître Alexandre, mon mari. »
Maître Alexandre monta sur l’estrade et amena une esclave sur celle-ci. Elle portait un collier avec quatre anneaux. Ses mains étaient attachées dans le dos. Un ball-gag obstruait sa bouche.
« Cette esclave a tenté de s’échapper du château. Ce manque flagrant de reconnaissance m’amène à la punir sévèrement. Attachez-la ! »
Deux hommes se levèrent et attachèrent les bras de la pauvre esclave aux bracelets qui pendaient au plafond. Maîtresse Aurore appuya sur un bouton et l’esclave s’éleva dans les airs. Ses pieds battaient l’air pour essayer de se dégager. Les deux hommes prirent chacun un membre et les attachèrent à d’autres bracelets. L’esclave pendait comme un X.
« Enlevez-lui son ball-gag. »
L’esclave commença à crier sitôt sa bouche libérée.
« Détachez-moi s’il vous plaît, laissez-moi partir, laissez-moi !!! » criait l’esclave en pleurant à chaude larme.
Maîtresse Aurore prit alors un fouet accroché à un poteau. L’esclave ne voyait pas ce qui se passait dans son dos et dans la salle, on aurait pu entendre une mouche voler tant l’attention des autres esclaves et celle de Sweet Pussy étaient rivées sur ce qui se passait au centre de la pièce.
Maîtresse Aurore abattit le fouet sur le dos de l’esclave qui hurla sous le coup. Le fouet toucha l’esclave par dix fois. Les cris de la suppliciée rompait le silence de l’assistance. Maîtresse Aurore passa devant l’esclave qui, cette fois allait voir les coups arriver. Son ventre, ses seins furent châtiés sans pitié. Du sang coulait de la peau fine des seins. Elle fut descendue et attachée sur le banc. Les deux hommes lièrent solidement ses chevilles, ses mains, ses jambes, son dos pour que son corps ne puissent plus bouger. Maîtresse Aurore vérifia si sa suppliciée était bien arrimée au banc à plusieurs endroits. Assurée du bon travail de ses deux sbires, elle fit signe à l’un des deux hommes qui quitta la salle. Quelques instants plus tard, il revint roulant devant lui un brasero sur un chariot. Un mugissement se fit entendre dans la salle à la vue du brasero, par contre l’esclave hurla lorsqu’elle comprit ce qui allait lui arriver.
« Remettez-lui le ball-gag que je n’entendre plus ses jérémiades. »
Maitresse Aurore approcha du brasero et en sortit un tison rougeoillant qui se terminait par un A traversé d’un éclair et entouré d’un cercle. Elle passa avec le tison devant l’esclave qui hurlait à la mort dans son bâillon en voyant qu’elle allait être marquée comme un animal.
S’adressant à l’assistance :
« Voici le traitement que l’on fait subir à celles qui tente de s’échapper de notre enceinte. »
Maîtresse Aurore posa le tison sur la fesse droite de son esclave qui hurlait comme une bête. La peau crépitait sous la brûlure du fer. Une odeur de cochon brûlé emplit la salle et des « ohh » d’étonnement se firent entendre. L’esclave s’évanouit sous la douleur. Maîtresse Aurore planta le tison dans le brasero et réveilla son esclave avec des sels. Quelques minutes plus tard, Maîtresse Aurore reprit en main le tison et l’assistance comprit que le marquage n’était pas terminé. Le tison fut posé cette fois sur la fesse gauche de la fugitive qui hurla de nouveau. Sweet Pussy fut horrifié par ce qu’elle voyait. Pourquoi tant de cruauté !
Maîtresse Aurore fit un signe et les deux hommes détachèrent l’esclave. Elle fut retournée sur le banc sans que ses fesses touchent celui-ci car un des plateaux avait au préalable été ôté. Elle fut attachée solidement sur le banc de dos. Maîtresse Aurore prit de nouveau le tison et le posa sans pitié sur le sein gauche de l’esclave. Quelques minutes plus tard, le sein droit subit le même châtiment. L’esclave n’était plus qu’une loque et les deux hommes la libérèrent de ses liens. Ils appliquèrent un onguent sur ses marques pour la cicatrisation.
« Avis aux amatrices de liberté ! »
Toutes les esclaves furent congédiées et ramenées dans leurs cellules. De légers murmures se firent entendre bien vite réprimées par Maîtresse Aurore.
Sweet Pussy fit des cauchemars durant la nuit. Elle voyait sa peau marquée au fer rouge et se réveilla plusieurs fois.

II. Nouvelle épreuve pour Sweet Pussy

Après sa collation matinale, Sweet Pussy fut emmenée dans la cellule de préparation pour y subir 5 lavements. Puis une esclave la conduisit dans une chambre cossue au milieu de laquelle trônait un banc. Maîtresse Aurore se trouvait à côté.
« Bonjour Sweet Pussy. »
« Bonjour Maîtresse. »
« En position d’inspection, chienne. »
Sweet Pussy mit ses mains derrière la tête, jambes écartées.
« Tu n’avais pas réussi l’épreuve de la traie alors nous allons recommencer aujourd’hui, mais j’y ai apporté quelques modifications. Esclave, attache-la solidement sur le banc. »
L’esclave prit Sweet Pussy et l’installa sur le ventre sur le banc. Elle prit soin de lier solidement ses poignets et ses chevilles, mais aussi son corps au niveau de son échine et du torse. Elle prit aussi deux chaînes qu’elle passa dans les anneaux des petites lèvres du sexe pour les attacher au banc en prenant soin de bien les écarter pour lui ouvrir la chatte. Sweet Pussy se retrouva donc positionné les fesses bien en évidence et la tête légèrement vers le bas. Ses globes fessiers bien écartés, son trou bistre s’ouvrait doucement.
Maîtresse Aurore s’approcha de Sweet Pussy et lui dit à l’oreille :
« Pour ne pas que tu aies mal au bras à force de branler des bites, je t’ai installée confortablement. Tu vas traire les 50 hommes mais cette fois-ci c’est ton cul qui va les traire. Ces hommes vont tous t’enculer et tu as intérêt à garder leur sperme dans ton cul et à serrer les fesses, si je vois du sperme couler de ton cul, je te corrige les fesses et la chatte. Je transformerai ta chatte en steak haché ! Et j’ai attaché les lèvres de ta chatte, pour qu’on voit ta jouissance. Ne bouge pas trop sinon tu vas te déchirer, petite pute ! »
« Pitié, Maîtresse, pas ça, je ne veux pas me faire enculer ! Non, arrêtez ! » cria Sweet Pussy.
« Mettez lui un anneau dans la gueule, cela la calmera ! »
Un anneau fut posé entre ses dents, de la salive commença à couler de sa bouche. L’esclave prit un tube de gel anal et le plaça à 50 centimètres de hauteur par rapport aux fesses de Sweet pussy. Elle appuya sur le tube pour faire couler du gel comme on verserait un thé à la menthe. Le gel se posa sur la raie du cul de Sweet Pussy et coula doucement vers son anus. Le premier homme se présenta devant le séant ouvert. Sa bite était déjà dressée et il la malaxait dans la main pour qu’elle garde toute sa raideur.
« Numéro un, tu vois cette paire de fesses et ce trou qui ne demandent qu’à se faire prendre ? Allez, encule cette pouffiasse ! Et toi tu diras merci Maître quand tu sentiras leur sperme tapisser ton cul de chienne ! »
« Boui Maîtrèche. » dit Sweet Pussy entre deux sanglots.
L’homme plaça sa bite juste devant l’anus de Sweet Pussy. Il poussa son chibre. Sweet Pussy cria lorsque la bite força son cul. Elle glissa sans mal tant le travail du plug avait assoupli les sphincters. Mais Sweet Pussy criait, non pas que cette intromission lui fasse mal, mais le fait de savoir que 50 bites allaient lui labourer le cul.
L’homme poussa un cri lorsqu’il se répandit en elle.
« Merchi Maîtrche. » dit en pleurant Sweet Pussy au travers de son anneau buccal. Le numéro deux se présenta et enfourna sa bite. Il ne mit pas longtemps à jouir, puis vint le troisième homme et ainsi de suite. Maîtresse Aurore s’était placée juste devant les yeux de Sweet Pussy. La Maîtresse riait aux éclats alors que son esclave, elle, soupirait au travers de son anneau.
« Numéro 30 et n’oublie pas comment un Maître doit se comporter avec une esclave ! » cria Maîtresse Aurore.
L’homme au sexe piercé se présenta devant les fesses de l’esclave. Il pointa sa bite sur l’anus et enfila son sexe d’une seule traite.
« Tu la sens ma bite salope ? »
Sweet Pussy ne pouvait que marmonner un oui presqu’inaudible au travers de l’anneau.
L’homme répéta et lui cliqua les fesses.
« T’aime ça, hein salope ? Tu n’es qu’une pute tout juste bonne à être enculée. »
« Wwwouai Maîtrchhe »
La bite du numéro 30 allait et venait dans le cul de Sweet Pussy. Ses couilles alourdies par le ball-stretcher battaient les fesses et les lèvres pendantes de Sweet pussy.
L’homme sentit sa bite gonfler et éjacula dans le cul de la soumise.
« Ahhh, prends ça salope… »
L’homme se retira du cul de la chienne.
« Suivant ! »
Sweet Pussy reçut les 50 salves de sperme sans que son cul n’en laisse échapper une seule d’entre elles ! Elle était exténuée tant ses fesses avaient travaillé.
« Serre tes fesses, pétasse, tu retournes sur la chaise métallique. »
Sweet Pussy fut installée sur la chaise pieds et poings liés. Une esclave vint avec le saladier qu’elle plaça sous le cul de Sweet Pussy.
« Maintenant tu peux ouvrir tes fesses ! »
Sweet Pussy s’exécuta et lâcha tout le sperme en elle. Une masse visqueuse coulait de son anus sans discontinuer, parfois des bruits intempestifs s’échappaient de son cul et des bulles de sperme sortaient de son cul.
Maîtresse Aurore posa un masque en latex noir ouvert aux yeux et à la bouche sur la tête de Sweet Pussy, puis le tube coudé. Deux ceintures bloquèrent les mouvements de sa tête.
Sweet Pussy savait ce qui l’attendait et avala sa salive plusieurs fois. Maîtresse Aurore fit couler le sperme dans l’entonnoir. Elle fit pivoter la vanne au coude du tube tout en regardant la réaction de son esclave et le liquide coula dans la bouche de Sweet Pussy.
« Je te conseille d’avaler, sinon, je te laisse te noyer dans ce sperme, salope ! »
Sweet Pussy avala le liquide. Ses doigts serraient fort les accoudoirs métalliques de la chaise.
L’esclave but tout le sperme qui venait de son cul. Sweet Pussy fut détachée et emmenée à sa cellule. Elle toussait de temps en temps du goût âcre qu’elle avait dans la bouche. LIRE LA SUITE

Sommaire du Tome III

  1. La punition
  2. Nouvelle épreuve pour Sweet Pussy
  3. L’opération
  4. La visite d’esclave N° 1
  5. Soirée spéciale
  6. Douceurs matinales

Merci de poster vos suggestions pour orienter le récit. Manumaître

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