L’assouvissement de mon ex
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Chapitre 1
J’avais divorcé depuis un an déjà. J’avais eu quelques aventures mais il me manquait quelque chose en moi. Un besoin que je n’arrivais pas à combler malgré mes aventures intéressantes avec d’autres jeunes femmes.
J’ai 50 ans et j’ai toujours eu un goût immense pour tout ce qui concerne le sexe. Déjà à 5 ans, je tripotais le cul de ma cousine. Je ne sais pourquoi mais les femmes ont toujours aimé se laisser dominer par moi et combler mes désirs les plus secrets et les plus pervers.
Mais depuis mon divorce, je n’avais eu que des relations disons « normales » avec mes conquêtes.
Un besoin de plus en plus grandissant m’envahissait et je devais trouver quelqu’un qui me comblerait avec plaisir et soumission. Je me suis mis à penser à mon ex-épouse qui avait toujours aimé se laisser dominer par moi et qui aimait que je lui dicte quoi faire dans nos ébats amoureux.
On s’était laissé parce que nous n’avions plus les mêmes objectifs de vie mais j’étais certain que je lui manquais beaucoup « sexuellement » parlant.
Un vendredi soir, j’ai décidé de vérifier si j’avais raison. Je l’ai appelé et sous un prétexte quelconque, je lui ai demandé si je pouvais aller la voir, sachant qu’elle n’avait encore personne dans sa vie. Elle accepta sans se méfier de mes intentions perverses. Quoique … je me suis demandé par la suite, si elle n’avait pas les mêmes désirs que moi ce soir là.
Je suis arrivé vers vingt heures. Après les formules de politesses habituelles, on s’assit à la table et elle me servit un café, son liquide préféré pour apaiser sa soif. Au bout d’une demi-heure de conversation plutôt banale, je suis allé aux toilettes. Cela me permit de penser au but de ma visite et à la suite des événements. En revenant dans la cuisine, je suis passé derrière la chaise où elle était assise et je déposai mes mains sur ses épaules et en commençant à la masser doucement, je lui avouai :
— Diane, j’ai envie de te baiser.
Elle a tourné la tête pour me jeter un regard qui me dit qu’elle en avait envie elle aussi mais sans dire un mot. Elle était comme ça : jamais elle n’avouait avoir envie de baiser mais ses yeux me disaient tout de suite qu’elle était prête à se soumettre à mes désirs.
J’ai continué à lui masser les épaules puis le cou et je l’ai senti se détendre complètement après quelques minutes de massage. J’ai alors laissé glisser mes deux mains vers ses deux petits seins tout mignons. Elle n’opposa aucune résistance. J’ai alors commencé à lui masser tendrement ses deux petits monts de plaisirs. Elle laissa sa tête s’appuyer sur mon ventre et ses deux bras tombèrent mollement chaque côté d’elle. Je savais qu’elle était à moi maintenant.
J’ai commencé à dégrafer les boutons de sa blouse puis j’ai plongé mes mains dans son soutien-gorge. Un petit frisson me traversa tout le corps en touchant la peau toute douce de ses deux boules de chaire tendre. Même si elle n’avait pas de gros seins, ils m’avaient toujours plus énormément et me faisaient entrer en transe sexuelle à chaque fois.
Après les avoir tripoté quelques minutes, je dis à Diane :
— Allons dans le salon, nous y serons plus à l’aise.
Sans aucune hésitation, elle se leva et je la pris par la taille en se dirigeant vers le canapé. Arrivé devant le divan, je me suis placé derrière elle et lui enlevai sa blouse et sa jupe. La salope n’avait plus que des bas de nylon attachés à une jarretière, sa petite culotte et sa brassière demi-buste qui me permettait d’admirer la moitié de ses seins. Elle qui avait toujours porté des bas-culotte, elle me disait par le port des ses bas qu’elle avait envie de se donner complètement à moi.
— Ho ! Ma belle salope ! Je vois que tu avais autant envie que moi que je te fourre ce soir hein ?
— Oui, je l’avoue, m’avoua-t-elle sans hésiter.
— D’accord, tu vas faire tout ce que je désire, compris ?
— ….. Oui, me répondit-elle, d’une voix me prouvant qu’elle acceptait de se soumettre à mes désirs.
— Caresse-toi pendant que je t’admire, lui ordonnais-je.
Je l’ai contournée et je me suis assis sur le divan, face à elle. Diane commença à se caresser. Elle savait que j’adorais la voir s’exhiber devant moi. Ses mains se promenaient tout doucement partout sur le devant de son corps. Chaque courbe était cajolée tendrement par ses mains fureteuses.
— Baisse ton soutien-gorge sous tes boules.
Elle m’obéit et cela eût pour effet de compresser ses deux beaux petits seins qui m’apparaissaient encore plus attirants. Elle se mit à les masser tendrement puis avec une ardeur de plus en plus féroce. Je savais qu’elle adorait les malmener. Elle les compressait fortement avec ses mains toutes petites et délicates. Je l’ai laissé faire pendant quelques minutes et lorsque je vis apparaître des traces humides dans sa petite culotte, je lui ordonnai :
— Maintenant baisse ta petite culotte jusqu’en haut de tes genoux.
Encore une fois, elle m’obéit sans hésiter.
— Qu’est-ce que tu ressens avec ta brassière baissée sous tes tétons et ta petite culotte abaissée au-dessus des genoux ?
— C’est gênant…. Et humiliant, me répondit-elle.
— Mais tu aimes ça être humilié dans les plaisirs sexuels, n’est-ce pas ?
Elle ne répondit pas mais les rougeurs apparaissant sur ses joues m’en disaient long.
— Avoue, salope.
— Oui, j’aime ça, me confie-t-elle toute humiliée.
— Maintenant masturbes-toi
— Fermes les rideaux, les voisins pourraient me voir.
— Non. C’est un risque qui ne fera que donner du piquant à ta séance de masturbation. Allez, masturbes-toi.
Ses joues devinrent encore plus rougeaudes mais elle m’obéit. Elle dirigea immédiatement sa main vers sa vulve puis elle se mit à frotter son clitoris avec une ardeur incroyable. Sa tête allait dans tous les sens et elle frottait son petit mont du plaisir avec vigueur.
— Continues, je reviens tout de suite et gardes les yeux fermés, lui ordonnai-je.
Je me suis levé et j’ai été chercher ma caméra numérique que j’avais pris le soin d’apporter avec moi puis je suis retourné m’asseoir sur le divan en face d’elle. Diane avait toujours les yeux fermés et se masturbait allègrement. Elle était divinement belle avec sa brassière sous ses seins et sa petite culotte baissée au-dessus des genoux.
— Enfonce deux doigts dans ta vulve.
Diane m’obéit. Je vois disparaître ses deux doigts à l’intérieur de son ventre et son pouce frotte vigoureusement son clitoris. Elle a l’air d’une vraie salope. J’en profite et prends une pose avec ma caméra.
— Qu’as-tu fait ? Non pas ça……
— Continue à te masturber et laisse-moi te photographier. Tu es tellement belle et désirable ainsi.
Diane ne dit rien et accepte que je continue à la photographier. Cela sembla lui plaire car une minute plus tard, je vis du jus couler sur ses doigts. Elle avait un premier orgasme.
— Ouvres tes babines bien grandes.
Diane m’obéit et écarte les lèvres de sa grotte du plaisir. Je prends de nombreux clichés d’elle en entier et des plans rapprochés de sa vulve toute grande ouverte.
— Très bien, ma chérie. Maintenant tourne-toi et montre-moi ton joli petit cul.
Diane se retourne et m’exhibe ses belles petites fesses semblables à celles d’une adolescente.
Son si mignon petit cul avait toujours eu sur moi un effet terrible.
— Écarte tes fesses, lui ordonnais-je.
Diane m’obéit à nouveau. Chaque main empoigne une belle petite fesse toute lisse et je vois apparaître un beau petit trou étoilé. Je multiplie les clichés de ce spectacle magnifique à mes yeux.
— Penche-toi un peu par en avant que je puisse mieux admirer ton petit trou si attirant.
Elle se penche et son mignon petit trou m’apparaît encore plus joli. Je fais plusieurs gros plans de cette merveilleuse ouverture de son corps.
— Très bien ma chérie. Tu peux te retourner maintenant et continuer à te caresser pendant que je vais chercher le trépied de ma caméra dans mon auto. Lorsque je reviendrai, je veux voir ta chatte et ton rectum tout trempés de ton jus intime, compris ?
— ………. Oui, me répond-t-elle d’une voix à peine audible.
Je vais chercher mon trépied en vitesse et j’installe ma caméra rapidement. J’avais aussi apporté ma commande à distance pour ma caméra.
Je me place devant elle et je lui ordonne :
— Maintenant, déshabille-moi.
Elle me retire mon t-shirt et elle ne peut résister à l’envie de caresser ma poitrine poilue. Puis elle détache ma ceinture de pantalon, détache le bouton et baisse ma fermeture-éclair. Elle s’accroupie et m’enlève mon pantalon et ma petite culotte, mes souliers et mes bas. Je suis maintenant entièrement nu. Je la contourne et me place derrière elle et lui retire sa brassière et sa petite culotte puis je retourne m’asseoir sur le divan, face à elle.
— Tu peux continuer à te caresser et te masturber maintenant.
Diane recommence à caresser son petit corps d’adolescente malgré ses 57 ans bien sonné.
J’admire le spectacle qu’elle me donne pendant plusieurs minutes, n’oubliant pas de prendre plusieurs photos avec ma télécommande de ma caméra.
— Il est maintenant temps que je passe à l’étape suivante de mon plan.
Je misais sur la soumission que Diane me démontrait depuis le début en lui ordonnant cela, sachant que c’était très humiliant pour elle et surtout très risqué car elle travaillait dans un emploi très public et quelqu’un pouvait l’apercevoir très facilement au travers du châssis et la reconnaître.
J’avais misé juste car Diane baissa la tête me démontrant ainsi qu’elle acceptait de se soumettre à tous mes désirs et à toutes les humiliations que je déciderais de lui faire subir.
— Allez, obéit et masturbe-toi comme une salope.
Elle baisse les yeux à nouveau et reprend ses caresses. Je souris, savourant ma victoire psychologique sur elle.
Diane se masturbe depuis plusieurs minutes et je la photographie régulièrement. Le flash de la caméra était sûrement visible de l’extérieur et cela attira l’attention d’un passant qui s’arrêta pour voir d’où provenait cette lumière subite. Je savais qu’il pouvait très bien voir à l’intérieur du salon car toutes les lumières étaient allumées. Je l’aperçue au travers de la fenêtre. Il admira le spectacle que Diane donnait pendant plusieurs minutes. Je dis à Diane après un bon bout de temps :
— Regarde ma chérie. Tu as un admirateur dehors sur le trottoir.
Diane se cache les seins instinctivement et se tourne pour voir si c’était vrai et aperçoit son spectateur qu’elle reconnaît tout de suite.
— Mon dieu, c’est mon voisin. Ferme les rideaux, vite, je t’en supplie.
— Non ! dis-je d’un ton ferme. Je veux qu’il puisse admirer la beauté de ton corps si désirable.
— Je t’en supplie, ne m’oblige pas à cette humiliation’ me supplia Diane.
— C’est moi qui décide, compris ? Continues à te masturber, ma belle salope.
Diane se soumet à nouveau à mon désir. Elle reprend sa masturbation et je vois son voisin l’admirer pendant plusieurs minutes, ne manquant rien de la perversion de mon ex. Cela a sûrement un effet sur elle car elle ne tarde pas à avoir un autre orgasme très abondant, étant une juteuse naturelle.
Je décide qu’il a en assez vu et je me lève et le regarde au travers de la fenêtre. Lire la suite
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