Le cauchemar d’une famille (Suite et fin)
par
popularité : 5%
Colonie pénale du Marais aux Moustiques
En ce chaud après-midi de janvier, le directeur Dalton décide de faire une surprise à Mme Margot Pascal, sa prisonnière favorite et sa salope à usage personnelle.
Ils sont tous deux dans son bureau et la charmante jeune femme est agenouillée, nue, et lèche ses organes génitaux avec une extrême dévotion et beaucoup de respect. Non sans raison : le directeur l’a punie pendant une heure entière avec des électrochocs pour « manque de zèle dans l’exercice de tes fonctions ». Les fonctions de Madame Margot Pascal dans la colonie pénitentiaire du marais aux Moustiques se résument à être l’esclave sexuelle du directeur et une putain de luxe pour certains visiteurs, cette dernière activité rapportant au directeur un bénéfice financier considérable.
« Aujourd’hui, ton ancien voisin, Monsieur Bermudez, vient te voir. Il est le tuteur de tes filles, à présent… »
Madame Pascal interrompt ses attentions orales pendant quelques instants… mais seulement quelques instants. La Française de trente et un ans sent encore la morsure des pinces dentelées et du courant électrique qui lui a torturé les tétons. La punition date de moins de douze heures.
« Je veux que tu sois gentille avec lui. Il a économisé pendant six ans derrière le dos de sa femme, imagine dans quel état il doit être aujourd’hui… J’ai dans l’idée que ce doit être un satané pervers, j’imagine ce qu’il fait avec tes filles… Ah ! Ah ! Ah ! »
Une fois encore, juste pendant une fraction de seconde, Margot Pascal, une jeune femme blonde aux yeux bleus dans la plénitude de sa beauté, s’interrompt à la mention de ses jumelles… Qu’a-t-il pu leur arriver ? Elle ne les a pas vues depuis six ans ! Elle doit à tout prix savoir… Le salaud dont elle lèche les organes génitaux lui dit qu’une partie de ce qu’elle gagne est consacré à leur entretien et à leur éducation.
« Tu peux la mettre dans ta bouche et commencer à la sucer… Tu sais… lentement, en suçant avec force et beaucoup de salive. »
Madame Pascal, Margot, sait très bien faire cela. Le porc l’a forcée à le faire tous les jours, plusieurs fois, jour et nuit. Il y a six ans qu’elle est son esclave sexuelle… Margot donne au pénis qu’elle déteste tant un dernier long coup de langue des testicules jusqu’à l’extrémité du gland. Lorsqu’elle arrive au bout du gland, elle le met dans sa bouche… et petit à petit, elle descend en faisant glisser ses lèvres le long du membre. De plus en plus bas, petit à petit, jusqu’à ce que le gland touche le fond de sa gorge… Et elle remonte. Elle a eu du mal à apprendre cette technique, mais les électrochocs et la menace pesant constamment sur ses filles et sur Pierre, son mari, lui a donné l’élan dont elle avait besoin pour apprendre. Ces six ans lui ont semblé durer une éternité, une longue et sombre éternité.
Le directeur la regarde en silence travailler sur son pénis, faire monter et descendre sa langue dessus, et le sucer… Comme elle est sexy avec sa chevelure tirée en arrière et sa bite dans sa bouche, les joues creusées et ses yeux bleus larges comme des soucoupes qui le regardent fixement. A ce moment-là, quelqu’un frappe à la porte.
« Entrez, répond le directeur. »
S’il y a bien une chose que Mme Pascal déteste de toutes ses forces, c’est que n’importe quel imbécile misérable et ignorant qui garde les prisonniers puisse la voir agenouillée, nue, en train de servir sexuellement ce fumier. »
« On a reçu deux jolies petites putes de la capitale, Directeur… Voulez-vous jeter un œil dessus ? Demande le caporal Gonzalez, alias « Fendeur de cons », un des idiots les plus vils et les plus cruels de la prison.
— Pourquoi pas ? C’est mon boulot d’accueillir les nouveaux entrants. Envoyez-les moi, caporal… »
Mme Pascal rougit jusqu’à la racine des cheveux, mais la peur des électrochocs et l’incertitude sur le sort de son mari et de ses filles l’aident à supporter cette nouvelle humiliation. Le caporal Gonzalez, alias « Fendeur de cons », et un autre imbécile, poussent les deux prisonnières dans le bureau. Il s’agit de deux lycéennes à peu près du même âge que les filles de Mme Pascal, vêtues de jeans et de hauts à lanières. Elles sont menottées et pleurent toutes les larmes de leur corps. Il est évident que les gardes les ont terrorisées et ont abusé d’elles. A peine voient-elles le directeur et Mme Pascal que leurs expressions changent de l’effroi à la surprise, puis à la répugnance…
La scène à laquelle elles sont confrontées à peine franchie la porte, est choquante et dégoûtante… Une femme totalement nue, vêtue uniquement d’une vieille paire de sandales rouges à hauts talons, est agenouillée entre les jambes d’un militaire qui se prélasse sur un canapé. L’homme n’a pas de pantalon et regarde la femme avec une expression des plus lubriques. La femme est en train de lui sucer les organes génitaux avec application, lentement…
« Prisonnières, identifiez-vous ! »
Les gardes secouent les jeunes filles ébahies pour attirer leur attention.
« Rosario Mendez, murmure la brune,
— Laura Sanchez, dit la fille aux cheveux châtains encore plus doucement.
— Vous êtes de satanées subversives, crie le directeur avec rage. Et ici, les éléments subversifs n’ont pas de nom. Ce sont juste des cons. Et les cons n’ont que des numéros. Identifiez-vous !
— 221, bredouille l’une des deux.
— 222, répond l’autre.
— Con 221 et Con 222, merde ! »
Un silence…
« C… Con 221…
— C… Con 222…
— Monsieur !
— Mon... Monsieur...
— Mon... Monsieur... »
Le directeur caresse la tête de Mme Pascal en un geste obscène. Mme Pascal est toujours en train de lui sucer le membre lentement et profondément, elle suce fort et avec beaucoup de salive dans la bouche… Elle le fait pour son mari et pour ses filles. Elle le fait également pour éviter la terrible torture à l’électricité… Elle sait que ce salaud est tout excité lorsqu’il la torture et qu’un jour, il ira trop loin et la tuera…
« Enlevez vos chaussures, toutes les deux. Vous allez comprendre que les chaussures de sport ne sont pas autorisées ici, les informe le directeur en montrant les sandales rouges à hauts talons de Mme Pascal. Les filles enlèvent leurs chaussures. Ni l’une ni l’autre n’a de chaussettes. Elles ont des petits pieds bien formés. Rosario a les ongles de pieds vernis en rose pâle.
« Maintenant, enlevez vos pantalons. Ils sont aussi interdits… »
Les filles baissent les yeux et, avec des mains tremblantes, défont leurs braguettes et retirent leurs pantalons. Ils sont moulants, et comme les filles sont menottées, leurs mouvements constituent un spectacle excitant pour les hommes et le directeur qui les regardent. D’autant plus que toutes les deux suivent la mode qui veut que l’on ne mette pas de culotte avec un jean…
Mme Pascal rate le spectacle. Mme Pascal est toujours à genoux entre les jambes du directeur, en train de lui sucer le membre lentement, avec le plus possible d’une abondante salive, et suçant de tout son cœur… Mme Pascal ne fait attention qu’à ce qu’elle fait, elle sait que le fumier peut jouir d’un moment à l’autre dans sa bouche et elle se tient prête. Elle le connaît parfaitement…
« Enlevez vos T-shirts… Ça ne fait pas partie de l’uniforme de la prison… »
Les filles se couvrent le torse avec leurs bras. Toutes deux secouent la tête.
« Je vais vous dire deux ou trois choses, espèce de paire de cons… Dans cette maison, vous avez intérêt à obéir aux ordres rapidement et complètement. Ici, les règles comportent de nombreuses manières d’éradiquer la rébellion dans l’Institution. Des manières dont je suis sûr que vous ne les aimerez pas… »
Rosario la brune, une fille aux yeux bleus et à la peau claire, est la première à obéir. D’un geste rapide, elle fait passer le T-shirt au-dessus de sa tête et le laisse pendre sur ses poignets. Elle n’essaie pas de se couvrir. Elle sait qu’il serait inutile d’essayer, mais elle presse inconsciemment ses bras l’un contre l’autre, serrant ainsi ses jeunes seins l’un contre l’autre. Ils sont magnifiques, admirablement formés et galbés. Ses tétons sont petits et pointus, et d’une couleur rose pâle. Laura, sa compagne d’infortune, l’imite rapidement. Elle ne porte pas non plus de soutien-gorge et ses seins sont un peu plus petits mais ses tétons sont plus gros, plus foncés, et d’une forme plus tubulaire. Toutes deux regardent le sol, pleines d’embarras.
Le directeur jouit bruyamment dans la gorge de Mme Pascal. Personne ne rate l’évènement, ni les jeunes prisonnières, ni les gardes. Personne non plus ne manque le fait que la jeune Française essaie désespérément d’avaler le sperme abondant du directeur. Satisfait et vidé, le directeur lui donne un coup de pied dans le ventre qui la plie en deux de douleur.
« Mettez-les dans le trou des punitions. Personne n’y touche tant que je ne l’aurai pas dit.
— Nues, Monsieur le Directeur ? Demande le caporal Gonzalez, alias « Fendeur de Cons ».
— Bien évidemment. Nues et enchaînées… Ce sont de dangereux éléments subversifs ! »
Dans un pavillon de banlieue de la rue Corrientes.
Après le dîner, Mme Bermudez se lève et embrasse son mari comme elle le fait tous les jours.
« Quand… Quand est-ce que je pourrai ? Murmure M. Bermudez.
— Pas maintenant, chéri. Ne t’impatiente pas. Et vous, les garçons, regardez le film et après, au lit !
— Où sont les putes ? Demande Gustavo, l’aîné des deux monstres, un enfant gâté gros et gras de plus de cent kilos, âgé de dix-huit ans.
— Elles sont ailleurs, mon fils, répond sa mère, Mme Bermudez.
— Quand est-ce qu’elles reviennent ? Demande à son tour Julito, le cadet, pas moins gros que son aîné.
— Myriam me doit de l’argent. Je l’ai prise en train de me voler cinquante centimes dans mon porte-monnaie la semaine dernière.
— Bientôt… Elles reviendront bientôt. Elles sont parties pour quelques jours. »
Le début du film détourne l’attention des garçons.
« Ne m’attends pas, chéri, dit Mme Bermudez à son mari qui vide deux boîtes de conserve de nourriture pour chiens dans un seau en plastique.
— Je… Euh… Aujourd’hui, je dois sortir. J’ai une partie de cartes et je dors chez les Lopez. Tu sais, je n’aime pas conduire lorsque j’ai bu… »
Madame Bermudez regarde son mari dans les yeux :
« Une partie de cartes aujourd’hui, un mercredi ? »
Mais elle n’insiste pas, elle se moque éperdument de l’endroit où se rend sa mauviette de mari et de ce qu’il va faire.
Plus tard, dans un bureau de la prison du Marais aux Moustiques.
« Vous avez l’air nerveux, Bermudez…
— Je… Euh… Oui…
— Vous avez l’argent ?
— Oui… Oui, bien sûr… Il est là. »
Le directeur Dalton encaisse aussi ostensiblement que possible les trois cents dollars. Les mains de Bermudez tremblent. Il demande, impatient :
« Où est-elle ?
— Qui ça ?
— La putain.
— Du calme, mon ami, je vais la faire amener dans un instant. Voulez-vous une cigarette ?
— Oui… Je veux bien… S’il vous plaît…
— Vous avez apporté les photos ? Des jumelles…
— Ah… Oui. Je les ai, dit Bermudez en fouillant dans son portefeuille. »
Le directeur les examine pendant quelques instants. Elles sont excellentes… Elles sont à la piscine en maillot de bain, avec des amis. Elles les ont prises elles-mêmes et M. Bermudez les leur a volées.
« Elles sont récentes ?
— Le mois dernier… Vous savez, après…
— Oui, oui. Je sais ce qui s’est passé ensuite. Cette satanée évasion. Votre femme et vous avez presque tout fait rater… »
On frappe à la porte.
« Entrez, dit le directeur. »
M. Bermudez bondit, renversant son fauteuil. Elle est là, sa voisine, Mme Pascal… Et comment ! Elle est impressionnante ! Plus encore que dans son souvenir. Mieux que sur les photos qu’il avait prises secrètement depuis sa maison lorsqu’elle prenait un bain de soleil dans son jardin. Mme Pascal est maquillée : il ne l’a encore jamais vue maquillée, et ses cheveux sont relevés. Il ne l’a jamais vue ainsi non plus. Elle porte une robe noire en lycra qui dégage ses épaules et qui souligne ses formes comme une seconde peau. Le vêtement ne laisse à l’imagination aucun détail de son corps magnifique. C’est un simple tube plus qu’une robe, qui commence à l’aréole de ses mamelons et s’arrête avant la moitié des cuisses. Les inévitables sandales rouges à hauts talons complètent sa tenue. Mais ce qui impressionne le plus M. Bermudez est le fin collier de petit chien qu’elle porte autour du cou et la laisse qui pend entre ses seins, avec une petite clé accrochée au bout.
« Le régime de la prison semble lui convenir », pense M. Bermudez.
Le corps que l’on peut imaginer sous la scandaleuse robe est le plus beau qu’il ait vu de toute sa vie. Le directeur ordonne :
« Tourne-toi, salope. Montre la marchandise au client. »
A ce moment précis, M. Bermudez en tache presque son pantalon, non à cause des splendides épaules, pas non plus à cause des fesses fermes et pleines ni des jambes galbées… M. Bermudez est sur le point de jouir parce qu’ils lui donnent son ex-voisine menottée ! Le directeur explique :
« Elle n’a pas de culotte.
— Je… Euh… Où ?
— Du calme, Bermudez, vous avez tout le temps. La putain est à vous jusqu’à l’aube. »
Les mains devant lui, M. Bermudez fait un faux pas en s’avançant vers Mme Pascal.
« Calmez-vous, calmez-vous… Pas ici. J’ai une cellule prête à votre intention avec tout ce dont vous pourrez avoir besoin pour rendre votre visite aussi agréable que possible et pour tirer le meilleur de votre pute… »
ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
d’accéder à la galerie photos privée de RdF.
OFFRE DECOUVERTE (code valable 2 fois seulement)
Commentaires