Anne
par
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À vingt-cinq ans, j’avais déjà cinq années de mariage derrière moi. Je ne pouvais pas dire qu’elles avaient été heureuses ni même malheureuses. Ma vie était calme et tranquille. Très vite Pierre et moi nous étions rendus-compte que ce n’était pas l’amour fou qui nous avait réunis, mais bien une attirance physique qui avait cessé à peine étions-nous mariés. Les rares fois ou nous faisions l’amour, ils nous arrivaient de prendre du plaisir, mais très rarement.
Pierre subvenait à mes besoins et ceux du ménage et cela me suffisait largement.
À chacun de ses déplacements, il me prévenait une semaine à l’avance. Je savais qu’il partait avec sa secrétaire et qu’elle était probablement sa maîtresse depuis de longues années, mais cela me laissait indifférente. Je ne me refusais jamais à lui quand l’envie lui prenait de me faire l’amour, mais je ne provoquais jamais la chose non plus.
Peut-être qu’un enfant nous aurait rapprochés, mais j’étais dans l’impossibilité de porter un enfant et cela ne me peinait nullement.
Il est probable que notre petite vie tranquille se serait poursuivie quelques années encore sans Claire et François.
Lui était un ami de Pierre depuis la maternelle qui avait disparu de sa vie quand il était entré au lycée. Les parents de François avaient déménagé dans le sud et il n’était revenu dans sa ville natale que depuis trois mois quand il rencontra mon mari par hasard dans un café. Ils avaient discuté deux heures avant de se présenter et se rendre compte qu’ils se connaissaient depuis l’enfance.
François étant un dragueur né, il me fit des avances dès notre première soirée ensemble. Malgré mes refus il s’arrangeait pour me caresser en dansant chaque fois qu’il en avait l’occasion. Si je ne trouvais pas ses caresses désagréables, il n’était pas question que j’accepte ses avances. Avec le temps cela devint presque un jeu entre nous et le regard de Pierre ne le gênait absolument pas.
De son côté mon mari regardait son ami me draguer avec un petit sourire au coin des lèvres. Il m’arrivait de me demander s’il n’avait pas envie de me voir me jeter dans les bras de François. D’autant plus qu’il commençait à se montrer pressant auprès de Claire. Il ne fit qu’une seule fois allusion à un échange de partenaires, mais devant mon refus il n’insista pas.
Claire et moi avions pris l’habitude de nous voir deux fois par semaine, le mardi chez elle et le jeudi chez moi. Aussi loin que je me souvienne, jamais je n’avais été attirée par une autre femme, aussi jolie soit-elle. Ce fut donc perturbant pour moi de me rendre compte que Claire provoquait chez moi un désir que j’avais de plus en plus de mal à contenir.
Tandis qu’elle me parlait de la pluie et du beau temps je ne quittais pas sa poitrine des yeux et je m’imaginais caressant et embrassant ses seins. Mon désir était si fort que j’avais décidé de cesser de la voir en semaine et je cherchais désespérément un moyen de le faire sans la vexer.
Ce fut la télévision qui vint régler le problème. Un mardi, j’arrivai chez elle alors qu’elle était occupée à regarder la télévision. Elle avait enregistré la veille une émission qui contenait un reportage sur un restaurant spécial aux USA ; les serveuses se déplaçaient au milieu des clients, en majorité des femmes, les seins nus. À la fin du reportage je ne sus pas me taire et je lui posai une question qui n’aurait jamais dû sortir de ma bouche.
Tu as déjà été attirée par une autre femme ? lui demandais-je.
Instantanément elle se mit à rougir et se leva avant de me répondre.
Oui ! me répondit-elle sans me regarder.
Tu as eu des rapports avec elle ?
Non ! Mais j’espère bien en avoir un jour.
Elle rougit de plus belle et, maladroitement, elle nous servit une tasse de café pour reprendre contenance. Devant sa gêne, j’aurais dû en rester là, mais ce fut plus fort que moi j’insistai.
Cela te gêne ou tu ne veux pas me répondre ?
Elle prit le temps de s’asseoir avant de me répondre.
Je veux bien te répondre, mais c’est un peu délicat.
Rassure-toi je serai muette comme une tombe.
Il ne s’agit pas de cela j’ai juste un peu peur que tu ne veuilles plus me parler après que je t’aurai appris que je suis attirée par les femmes.
Ça ne me dérange pas le moins du monde.
Intérieurement je commençai à bouillonner, car j’entrevoyais la possibilité de satisfaire mes fantasmes. Je mis mes mains sous la table pour ne pas trahir ma nervosité.
J’ai toujours su me maîtriser, mais cela devient de plus en plus difficile depuis quelques mois.
Tu as rencontré quelqu’un ?
Oui et non. Je connais une femme qui m’attire terriblement, mais je ne sais pas comment le lui faire savoir.
Mes joues s’enflammèrent en espérant être cette femme-là. Claire se leva brusquement et se mit à pleurer.
J’en ai marre de faire l’amour avec François, c’est une brute qui prend mes seins pour de la plasticine, chaque fois qu’il se couche sur moi, j’ai l’impression d’avoir un bulldozer sur le ventre. Je me dis qu’une femme saura me caresser avec douceur et tendresse.
Lentement je me levai et la pris dans mes bras où elle se blottit en continuant à pleurer à chaudes larmes. Un long moment je la consolai en lui caressant les cheveux, mais, je fus incapable de contrôler mes mains et bientôt elles furent sur sa poitrine. Ce fut le déclic et nos lèvres se joignirent dans un long baiser passionné tandis que nos mains se mirent à découvrir le corps de l’autre. Quand je me rendis compte de ce que j’étais entrain de faire je voulus m’écarter, mais elle m’en empêcha en serrant plus fort contre moi.
Continue, me dit-elle tendrement, ne me repousse pas.
Il n’en fallut pas plus pour me libérer totalement et laisser libre cours à mes envies.
Fébrilement je la déshabillai entièrement et je l’entraînai vers la chambre à coucher. Mon corps devint indépendant de ma volonté et je découvris son corps avec mes mains et ma bouche. Elle faillit hurler de plaisir quand mes doigts prirent possession de son clitoris. Un long moment je l’embrassai avant de descendre vers son ventre avec mes lèvres. Quand enfin ma bouche emprisonna son petit bouton d’amour, elle se mit à feuler comme un chat en chaleur. Un instant je fus décontenancée par ses cris, mais elle posa ses mains sur ma tête et me supplia de continuer ma caresse buccale.
N’arrête pas, je t’en supplie, suce-moi encore, c’est bon.
Deux longues heures plus tard nous étions repues et fatiguées du plaisir que nous nous étions donné. Nous décidâmes de nous habiller après avoir pris une longue douche ensemble.
Nous avions décidé de ne céder à nos penchants qu’une fois par semaine, mais nous fûmes incapables de nous maîtriser. Le moindre attouchement entre nous était électrique et nous jetait dans les bras l’une de l’autre. Le plus difficile ce fut de ne pas nous embrasser passionnément quand nos époux étaient présents. Cela dura plus d’un an avant que François ne vienne tout gâcher en rentrant à l’improviste et en nous surprenant en plein ébat dans le lit conjugal. Impossible de lui faire croire à une simple sieste ; le fait d’être nue et tête-bêche ne plaidait pas en notre faveur. Il entra dans une rage folle et il empoigna Claire par un bras et la jeta littéralement hors de la chambre avant de se tourner vers moi des éclairs de fureur dans les yeux. Je tentai bien de le calmer, mais rien n’y fit.
François, calme-toi, je vais t’expliquer.
Il n’y a rien à expliquer salope, je vais te montrer comment je traite les chiennes de ton espèce.
Je voulus m’habiller, mais une double gifle me projeta sur le lit. Avant que j’aie eu le temps de faire un geste, il était sur moi. Il se contorsionna pour ouvrir sa braguette et sortir sa grosse queue qu’il m’enfonça brutalement dans la chatte malgré mes mouvements désordonnés pour lui échapper. Je tentai bien de me débattre, mais petit à petit les mouvements de va-et-vient dans mon ventre provoquèrent une réaction inattendue en moi ; une poussée de désir. Pourtant il me maltraitait les seins en le malaxant furieusement. Il m’insultait tout en se faisant aller en moi.
Salope ! Putain ! Je vais te montrer comment un homme se sert de salope de ton genre. Et l’autre pute, dehors, ne perd rien pour attendre.
J’avais cessé d’essayer de le raisonner et j’étais incapable de faire quoique ce soit pour me défendre devant la violence de François. Pourtant contre toute attente, mon corps se mit à réagir et, malgré la honte d’être violée, je fus incapable d’empêcher mon ventre de se projeter violemment contre celui de François. Avant de comprendre ce qui m’arrivait, je fus emportée par une vague de plaisir intense et je hurlai ma jouissance alors que François continuait à me maltraiter les seins en m’insultant de plus belle.
Pouffiasse, en plus tu vas jouir. Tu n’es qu’une traînée.
À peine la première vague de plaisir était-elle terminée qu’une seconde me submergea à nouveau, je fus incapable de me contenir et je criais mon plaisir.
Oui ! Vas-y bourre moi encore plus fort. Oui ! OH oui ! ouuuiii !
Je ne parvenais plus à me maîtriser et c’est moi qui projetai mon ventre à la rencontre de celui de François en criant.
Oui ! Défonce-moi plus fort, oui encore. Ça vient Ouuuuuiiiii ! haaaaaaa !
Une dernière poussée de plaisir me tarauda le ventre tandis qu’un long jet brûlant se répandait dans mon ventre pendant que François écrasait mes seins entre ses mains en jouissant.
Il s’écroula sans force sur moi. Je tentai de me dégager et il me fallut plus d’une minute pour arriver à le faire bouger pour que je puisse me lever. Comme dans un rêve, au lieu de me précipiter sur ma robe, je ne pus m’empêcher de me pencher sur le ventre de François et de prendre sa queue entre mes lèvres et la sucer délicatement. Il ne fallut pas longtemps avant de voir la grosse bite de mon violeur reprendre des forces. C’est à ce moment-là que Claire entra dans la chambre avec un manche de brosse dans les mains. Elle resta stupéfaite, le manche de brosse en l’air quelques secondes avant de réaliser que j’avais le sexe de son mari en bouche. Je voulus me redresser, mais un violent coup du manche de brosse sur mes reins m’obligea à rester couchée sur François. Elle prit la ceinture de son mari et commença à me fouetter les fesses en m’insultant. Lire la suite
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