16- Les transformations de la pièce 69
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// Histoire de modification d’une soumise en objet sexuel. Le lecteur attentif remarquera que les situations décrites dans ce récit ne correspondent pas à la réalité. Dans la réalité, la soumission est entièrement consensuelle et doit le demeurer même lorsque les soumis(e)s acceptent de se faire humilier, torturer, modifier, marquer, enchaîner.... //
La routine recommence : réveil puis satisfaire aux désirs du gardien, parfois violemment et parfois plus tendrement, ablutions qu’elle exécute toujours avec une certaine appréhension, nue, les cuisses écartées devant le gardien, exercices le matin, fatigants mais sereins, repos l’après-midi, rarement interrompu, préparation minutieuse de ses vêtements et de son apparence pour le soir, et nocturne aux salons de le demeure. La régularité ennuyeuse du rythme fait qu’elle s’isole de la réalité. Elle vit cette étrange vie comme une routine dans un rêve qui se déroule sans elle. Ce n’est même plus un cauchemar. Rien ne semble venir la perturber et pourtant les soirées sont éprouvantes alors qu’elle doit prendre en bouche toutes ces sexes, lécher ces fentes, s’humilier devant tant de personnes… Elle s’exécute comme une poupée, à la grande satisfaction de Duchateau et du dentiste qui y voient la marque de leur succès dans son dressage. Lors d’une soirée où elle fut forcée à prendre en bouche un bonne dizaine de bites, elle s’écroula épuisée. Elle refusa de répondre aux diverses sollicitations, se laissa traîner par la laisse sur la sol, se fit attacher sur un chevalet… Mais elle ne se tenait pas debout. C’est là qu’elle entendit alors la voix sévère de Duchateau la gronder : « On t’avait bien dit d’être une pompe à plaisir efficace… Tu n’as pas l’air de comprendre. A peine dix petites sucreries et te voilà épuisée. Finalement, je vais te remettre aux fers inventés par notre dentiste ! ». Malgré la menace elle ne réagit pas.
Elle fut trainée, récalcitrante mais sans véritable résistance, dans la salle des opérations. Elle fut accroupie face à un poteau qui supportait un gode en caoutchouc où elle fut enchaînée par son collier. On lui présenta le gode qu’elle tentait d’éviter, probablement en souvenir de l’horrible muselière qu’elle avait expérimenté quelques semaines auparavant. On lui fixa des fils électriques reliés à ses seins et son anus. Derrière le faux sexe dressé face à sa bouche, un moulage en caoutchouc imitait un visage comme en négatif, comme l’intérieur d’une cagoule, et on lui fixa le visage sur cet étrange panneau en enfonçant ainsi profondément le gode dans la bouche. L’engin recouvrait entièrement sa face et ses dents de caoutchouc. Elle n’avait d’autre choix que de serrer ses lèvres pulpeuses autour du gode qui était alimenté par une pompe ; au fur et à mesure qu’elle pratiquait cette fellation obligée, le gode lui injectait un liquide épais et gluant au fond de la gorge. Le liquide avait une consistance épaisse et gluante. Elle devait aspirer et sucer en permanence car la pompe envoyait le liquide par giclées abondantes. On lui expliqua que si le liquide poisseux débordait de sa bouche, il toucherait des électrodes sous son menton qui déclencheraient un contact électrique envoyant des pulsions douloureuses vers son cul et ses seins. Elle devait aspirer fortement et de manière continue et avaler cette étrange mixture jusqu’à vider la réserve de son contenu. Il fallait en effet qu’elle aspire avec vigueur à cause de l’épaisseur du liquide. Sa position n’aidait pas non plus. Sa tête était attachée au masque, ses bras avait été fixés dans la douloureuse position dite de la prière inversée, les paumes jointes et les mains relevées derrière son dos à la hauteur du cou. La hauteur de la fixation de la tête ne permettait ni de se tenir debout ni de s’agenouiller face au poteau : elle devait rester soit accroupie soit debout mais le corps penché en avant, la tête écrasée sur le poteau. Pour assurer qu’elle ne se détache pas on lui fixa une très courte chaîne au cou. Amis la fatigue aidant, elle ne put évidemment pas suivre le rythme de la pompe et fatalement sa bouche fut envahie par le faux sperme qui en débordant se mit à activer les électrodes.
La violence de l’impulsion la fit sursauter de douleur et pendant de longues minutes elle agonisa de douleur sous le feu des attaques électriques. Elle dansait sous la torture essayant de se libérer de l’affreux courant qui lui faisait faire des petits bonds et des gestes désordonnés. Elle en perdit complètement le contrôle de la pompe allongeant ainsi le temps de la torture. Elle finit par arriver à aspirer tout le liquide en s’aidant de mouvements brusques de sa tête pour faire couler le liquide dans sa gorge plutôt qu’a l’extérieur. Elle accompagnait son mouvement de tête de gestes violents en essayant de s’extraire de l’emprise du gode, en se soulevant, en bougeant en tout sens, dansant au milieu de ce nulle part autour du poteau auquel elle était rattachée par sa chaîne du cou. Elle fini par se laisser retomber en restant comme suspendue au poteau par le cou et sa chute déclencha une nouvelle série d’impulsions douloureuses. Elle criait dans son bâillon de caoutchouc, s’étranglait et crachait en tout sens pour essayer de respirer ce qui prolongeait les impulsions. Cela dura longtemps, jusqu’à ce qu’elle se remette à genoux et se mette à déglutir comme une folle pour avaler autant que possible le liquide poisseux. La violence, le choc furent trop forts… Elle s’évanouit comme morte.LIRE LA SUITE
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