Soumission
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J’avais bien remarqué son regard insistant posé sur moi durant toute la soirée. Regard pénétrant, qui vous déshabillées qui met mal à l’aise. Chaque fois que possible je me suis détournée, indifférente mais là, le voyant près de ma voiture sur le parking j’ai un long frisson. C’est vrai qu’il est beau, ma voisine de table ne cessait de faire de multiples commentaires en multipliant les sourires...
« Je vous ramène chez vous ?
— Non merci, j’ai ma voiture.
— Laissez votre voiture, je vous emmène boire un dernier verre.
— Non merci, je rentre chez moi.
— Il n’en est pas question, je retrouve des amis et je vous emmène.
— Pourquoi ? Où ?
— Une soirée, quelque chose en vous me dit que vous apprécierez.
— Que j’apprécierai quoi ?
— Venez. »
D’autorité il glissa son bras sous le mien, me guida jusqu’à sa voiture, m’ouvrit la portière et je m’installai sur le siège passager.
Nous ne fîmes que quelques kilomètres puis il stoppa sa voiture devant une grande maison très éclairée. On entendait de la musique.
Il fit le tour de la voiture, rouvrit la portière me reprit le bras et nous nous dirigeâmes sur le perron dont la porte s’ouvrit avant que nous ne sonnions.
Un homme d’âge mur s’écarta pour nous laisser entrer... Une quinzaine de personnes discutaient un verre à la main. Fait étrange il n’y avait que 3 femmes. Celles-ci circulaient de groupe en groupe dans une tenue très élégante et.... seins nus.
« Ouvrez votre chemisier me glissa mon compagnon.
— Il n’en est pas question ! »
Une femme, sans doute l’hôtesse, se dirigea vers moi avec un grand sourire. Ses petits seins en pointes haut perchés pointaient triomphalement.
« Venez vous joindre à nous chère amie... »
Je la suivis dans une petite pièce à côté du salon.
« Vous n’êtes pas choquée j’espère de nous voir ainsi ? Nous organisons des soirées très sensuelles entre nous et Stéphan qui vous accompagne en est un invité assidu, mais il nous avait caché que son amie était aussi appétissante ».
Son regard coula sur moi avec une espèce de.... d’appétit ?
Sa main s’avança vers ma poitrine et pressa l’un de mes seins, puis le soupesa... Vous avez de gros seins lourds vous. Mon mari va adorer.
« Mais..... je ne suis pas venu pour ça.
— Je sais, mais vous allez apprécier, je vous promets. Vous aimez le sexe non ? Ne dites pas non... Cela se sent et Stéphan l’a senti chez vous, c’est pourquoi vous êtes là.
Tout en me parlant elle ouvrit les boutons de mon chemisier. J’étais comme hypnotisée en regardant ses doigts qui semblaient des papillons allant d’un bouton à l’autre...
« Vous êtes brune à la peau claire, c’est charmant.
— Attendez que je sorte l’un de vos seins pour en voir le téton. »
Sitôt dit, sitôt fait. Mes deux seins se retrouvèrent bien vite au dehors de mon soutien gorge.
« Comme ils sont gros !
— Venez allons rejoindre nos amis ».
Je ne pus dire un mot que déjà nous nous retrouvions dans le grand salon, tous les regards tournés vers nous. Sa main m’entraînant vers un groupe de 5 hommes je la vis sourire amoureusement à l’un deux. Le mari sans doute.
— Venez ma chère me dit il tout en m’attirant vers un canapé. Deux autres hommes nous suivirent et je vis Stephen au bout de la pièce me sourire.
A peine assise, deux mains curieuses se mirent à me masser les seins lentement, massant, pétrissant, malaxant avec gourmandise. Brutalement je sentis ma culotte se tremper, ma vulve se gonfler. Un autre homme vint soulever ma jupe et fit glisser mon slip sur le sol. Malgré moi je sentis mes jambes s’écarter. Une des femmes s’approcha et commença à me caresser la chatte tout en écartant ma fente en se mettant sur le côté, comme une invitation à me pénétrer. Ce que fit le troisième homme après avoir sorti son sexe lourd et raide. Quelques coups de queue et je sentis que l’on me faisait me retourner doucement. Je me retrouvais bientôt à quatre pattes, cul relevé. Je sentais le regard appuyé des hommes sur mon corps. Tantôt une main qui me caressait le cul, la chatte, me pressait un sein, tantôt une autre main qui m’écartait les fesses, puis les commentaires qui suivaient « Tu as vu cette fente ? Et ce trou du cul ? Et ces poils qui remontent jusqu’à l’anus ? Et ces mamelles.... mmmhhhh quelle appétissante salope ! ».
Un doigt se mit à tourner dans mon anus, l’écartant, l’ouvrant... « Tu as vu comme il s’ouvre facilement ? Tu aimes dans le cul ma coquine n’est-ce pas ? » Après le doigt je sentis un gland humide qui doucement pressait pour brusquement se sentir aspiré. Des râles, puis l’un des hommes s’est glissé sous moi de façon à avoir son bas ventre face au mien. Celui du dessus a légèrement appuyé sur ma croupe pour me faire redescendre jusqu’au sexe de l’homme allongé, dont la bite m’a brusquement enfilée la chatte. « Tu es bien pleine comme ça, c’est bon non ? ».
Un troisième s’est approché, m’a soulevé le visage pour me présenter sa queue raide que je me suis mise à sucer... Les 3 hommes se sont mis à jouir en même temps et comme je restais là sans bouger, toujours à quatre pattes un autre est venu se soulager dans mon cul.
L’hôtesse s’est approchée de moi en me glissant à l’oreille : « Bienvenue chez nous ! ».
2
La soirée au restaurant qu’il m’avait proposée semblait une bonne idée. Il m’avait demandé de me faire jolie, et pour lui faire plaisir j’avais glissé une jupette et un chemisier blanc légèrement décolleté à même la peau. Des bas, mes chaussures à talon, les cheveux relevés et nous voilà partis pour une petite soirée en amoureux comme nous en avons l’habitude.
Dès le début du voyage il me semblait très excité, à me caresser la cuisse et les seins à travers le tissu. Je trouvais ses mains délicieuses, chaudes et je voyais le jean bomber au niveau de son entrejambe.
Les choses commencèrent à basculer sur le parking. « Montre-moi tes seins » me dit-il… Terriblement tiraillée entre la tentation de braver un interdit et la peur de me faire surprendre, je sentais mon corps se glacer, et une tension battait dans mon bas ventre…
« Montre-moi tes seins » redit-il d’une voix ferme.
Son regard dur ne me laissait pas le choix. Doucement, les mains tremblantes je déboutonnais mon chemisier et laissait apparaître mes deux seins blancs, les mamelons durcis sous les néons blafards du parking. Je regardais autour de moi, personne…
Il me regardait et ne bougeais plus, je ne le reconnaissais plus, la pression dans mon bas ventre se faisait de plus en plus forte, je me sentais vulnérable.
« Enlève-le »
Non ! Mes yeux le suppliaient, mon corps entier tremblait de peur. Il savait que je ne lui désobéirais pas et c’est ce qui me terrifiait le plus, jusqu’où allait il m’amener ?
Je fis glisser le chemisier sur mes épaules, au loin les phares d’une voiture, je fis le geste de le remettre.
« Non » m’intima t il d’une voix de plus en plus dure. Je le laissais choir à mes pieds. La voiture se rapprochait, elle ralentissait… elle s’arrêta derrière moi, j’étais dans ses phares. Je n’osais plus bouger, à peine respirer. Mes yeux rivés aux siens je l’implorais silencieusement, espérant qu’il y mit fin tout de suite.
La portière claqua, deux portières… Il y eut des pas, un long silence… Mon corps tremblait littéralement, j’aurais voulu courir mais rien ne voulait bouger. Je fermai les yeux.
Soudain je sentis une main sur mon sein qui caressait le téton, une autre sur mes fesses. Déjà elles se faisaient moins tendres en me malaxant les seins. L’une d’entre elles commençait à glisser sur ma jambe disparaissant sous ma jupe, elle explora le haut de mes bas, mes fesses nues, puis très rapidement essaya de me forcer. Je sentais le souffle des deux hommes dans mon cou, sur mes seins. Je n’osais toujours pas ouvrir les yeux.
J’avoue que je sentais mon entrejambe bien plus humide que d’habitude, et malgré toute ma peur je ne repoussais aucune de ces caresses.
Ils me soulevèrent pour me poser sur le capot froid d’une voiture. Pendant que l’un d’entre eux me fouillait de ses doigts, j’entendais le cliquetis de la ceinture et la braguette de l’autre.
J’ouvrais les yeux, mon homme n’était plus dans mon champ de vision. A la place deux hommes de 40 ans ni beaux ni laids qui me regardaient l’œil lubrique.
« Alors jolie pute, tu veux une belle queue ? » Je frémis à cette réplique de série X, mon homme avait donc tout préparé, tout manigancé ?!
Je n’eus pas le temps de me poser plus de questions, déjà la première queue me forçait vigoureusement, pendant que le copain faisait des commentaires que je ne répèterais pas. Il ne me pilonna pas longtemps avant de jouir, et voilà que le deuxième prit sa place sans se préoccuper de mon plaisir…. Il l’enfonça très profondément doucement puis de plus en plus vite… à ce moment je crois que j’étais prête à me laisser aller et à jouir, mais déjà son sperme coulait sur mon ventre.
Des bruits, les portières, la voiture qui démarre… Je me rhabille perdue entre la sensation de viol et le plaisir ressenti. Mon homme est là derrière une voiture. Il s’approche et me regarde en souriant.
Ce soir il n’y eut pas de restaurant mais une soirée torride à deux chez nous.
Ce n’est que quelques jours plus tard que j’osai lui poser La question : « c’était prévu ? »….
« non » me répondit-il en souriant.
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