Totale soumission -3-
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Les commentaires vont bon train et, petit à petit, sous les caresses bienfaisantes distillées sur mes fesses par Nathalie, j’accepte un remontant offert par mon amante Carole.
Gilles quitte le cercle des amis, vient vers moi, me dit :
— Valérie a très envie de ton petit cul, quant à moi, j’ai envie de te baiser.
Je proteste :
— Non ! Non ! Maître, pas devant eux !
— Ne fais pas ta mijaurée ! A moins que tu préfères une autre fouettée. Au choix !
Du coup je me lève, tend mon verre à Nathalie, suis Gilles qui me fait allonger à plat dos sur une banquette dépourvue de dossier.
Posté devant moi, il ouvre mes cuisses, fait passer mes jambes de part et d’autre du divan sacrificiel.
Protection anti-sida oblige, son pénis est enserré dans un préservatif de cuir noir qui le rend plus exorbitant, plus massif avec son exceptionnelle longueur.
De ses mains, Gilles écarte les lèvres gonflées de mon sexe, encore suintantes d’une liquoreuse sécrétion, présente son membre devant l’ouverture, puis, sans aucune secousse, d’une poussée lente mais puissante, me pénètre.
Ce qui s’introduit en moi et s’enfonce inexorablement dans mon ventre palpitant est énorme et me distend terriblement. La lubrification naturelle de mon réceptacle, la relative plasticité de la mentule et sa louable lenteur rendent plus aisée l’impossible pénétration phallique.
Ce glissement m’est divinement bon, délicieux à un point incroyable, surtout après les tortures subies, est juste assez douloureux pour être meilleur encore et me rappelle ma féminité qui ne doit se soumettre qu’après avoir été conquise, forcée, dominée et rendue docile par l’agressivité du mâle.
Arquée sur la banquette, yeux clos, lèvres frémissantes, les seins momifiés d’un désir colossal, j’aurai voulu que la merveilleuse avance durât éternellement.
La chair de cuir brûlante bute au fond de mon antre alors que je l’attends jusqu’à ma gorge. Avec une sorte de rugissement de lionne frustrée, je jette mon ventre à la rencontre de la bite qui me perce et me cheville, crucifiée sur la banquette, follement désireuse de me sentir fouillée encore plus profondément et plus totalement investie.
Gilles, répondant à mon vœu, pèse lourdement sur moi.
Je jette un cri vibrant, puis un autre…
Une douleur fulgurante me traverse et me cabre. J’ai soudain peur. Là, au tréfonds de mon être, s’entrouvre la gaine étroite sous la poussée du gland qui, déjà, s’y engage et menace d’occuper le labyrinthe réservé à la maternité.
Je hurle, agite la tête de tous côtés, éperdue de souffrance et de terreur atavique jusqu’à ce que Gilles s’immobilise et sait, à l’expression hagarde de mon regard voilé par les larmes que je suis prête à l’essor, au vertigineux envoi et qu’au moindre mouvement qu’il fera…
Gilles prolonge le temps de pause, me laisse palpiter et frémir délicieusement sous lui.
Puis, il se dégage presque entièrement avant, d’un imparable élan, de s’enfoncer puissamment dans le ruissellement onctueux en me faisant de nouveau hurler.
Sous l’ample va et vient qui me force, je me crispe, me cabre, me tords, m’agite comme pour tenter de lui échapper. Je crie, râle, sanglote en hoquetant, en proie du délire, secouée de violentes convulsions, la tête ballotant au rythme fou de son plaisir, les yeux exorbités et révulsés, balbutiant des mots d’amour entre les clameurs déchirantes qui libèrent ma gorge, geignant à chaque plongée de la bite de cuir qui me ravage toujours plus profondément et m’extasie alors que mon vagin crache une laiteuse ondée autour du sexe implacable qui me fouille sans aucun faiblesse.
Je jouis, jouis jusqu’à la démence, dégagée des entraves du monde, m’élançant dans un vol interminable qui m’emmène vers une boule de feu au sein de laquelle je me vais me consumer et brûler dans lave d’éternité, puis, lentement, comme résurgente du néant de feu où je viens de m’abîmer, me revient la conscience de ma chair que blesse toujours le dard impavide qui me pénètre puissamment.
Je murmure, sans conviction toutefois :
— Non ! Non !... Arrêtez ! Un peu… Rien qu’un peu !
Sans désemparer, dressé au-dessus de moi, Gilles continue à me besogner avec application, soucieux de bien faire et attentif aux nouveaux frissons de mon plaisir renaissant.
Les spectateurs encouragent mon amant, l’exhortent de la voix alors que je gémis, n’ayant même pas la force de lever les bras pour tenter de le repousser :
— Je n’en peux plus !... C’est assez !... Laissez-moi !... Plus tard !...
C’est la première fois qu’un homme me fait autant jouir. Il persévère dans son indomptable fougue. Et malgré la nausée qui me soulève, je jouis une seconde ou troisième fois, plus follement, plus longuement.
Ce n’est qu’à mon troisième ou quatrième orgasme dont l’insoutenable intensité m’amène au bord du précipice de l’inconscience que Gilles se rend à son tour, sa verge se gonfle avant de se vider dans le préservatif de cuir.
Il sort alors et me laisse complètement inerte.
Je reprends mes esprits doucement, lentement, tente de me relever, mais, avant même que je ne puisse quitter la banquette dont le revêtement de cuir est collé à mon dos mouillé de sueur, Valérie s’est approché, me retourne sur le ventre.
Elle s’est ceinte d’un superbe godemichet, véritable copie d’un membre d’homme, avec les veines saillantes visibles sous le préservatif translucide, le gland décalotté, champignonesque, en plastique très rigide, luisant de gel.
Sans même en avoir vraiment conscience, sans l’avoir voulu, mais n’ayant pas la force de résister, je me retrouve à genoux, cuisses jointes aux mollets, la tête reposant entre mes bras, reins relevés et fesses offertes pour un autre sacrifice plus redoutablement ésotérique.
Valérie passe deux doigts à l’orée de mon vagin, les baigne dans l’humidité liquoreuse et stagnante, les sort et va caresser le cercle étroit et resserré qui s’expose au creux du sillon ambré révélé par ma position.
Avec son air studieux, les yeux fixés sur mon orifice, elle le frôle, le pénètre, étale ma cyprine, me fait soupirer lorsque après un nouveau voyage à mon sexe elle introduit ses deux doigts en moi avant de les agiter latéralement pour élargir l’ouverture de mes reins.
Le mouvement me ramène à une superficielle conscience aussitôt possédée de terreur :
— Non ! Non !... Pas là ! Vous allez me déchirer ! Faîtes-moi grâce ! S’il vous plaît !...
Je redoute après trois ou quatre orgasmes successifs cette pénétration ne soit plus torturante, sinon impossible.
Pour toute réponse, Valérie me claque par deux fois le cul avant d’y ancrer ses mains et je sens le gland qui va couvrir totalement mon anus.
Sans perdre de temps, elle exerce une lente pression qui écarte insensiblement
Mes tendres petits plis contractés de peur.
Je perçois une douleur sourde et persistante envahir mes fesses. Je gémis tout en tordant mon ventre et mon derrière en une tentative désespérée d’échapper à l’inéluctable empalement.
Peine perdue.
Valérie me maintient solidement. Et, brusquement, sous une poussée plus accentuée, l’auréole distendue de mon anus réapparaît enserrant étroitement le gros nœud, lubrifié par ma propre cyprine.
Je pleure et me plains :
— Nooooooon !... Arrrrrrrêtez !... Asssssssez !... S’il vous plaît !...
Valérie continue sa percée, ventre tendu. Le gland parvient finalement à vaincre la résistance de mon sphincter et pénètre inexorablement dans mon cul.
Je sens les bords plissés de mon orifice anal qui se referme derrière le gland ; bien graissés, ils glissent avec peine sur le long, gros et invincible mandrin.
Malgré toute ma bonne volonté et le lâche désir de me soumettre à cette sodomie, je me mets à pleurer et griffe nerveusement le cuir de la banquette. Sous l’ardente souffrance qui irradie douloureusement tout mon derrière, je mords mon bras replié sous mon visage où coulent maintenant de grosses larmes de désespoir.
Ma rose corolle se distend horriblement au calibre qui la perfore, absorbe le renflement qui dessine une courbe massive au milieu du gode. Ma petite bouche anale, rétive, engloutit peu à peu l’énorme membre factice.
Sanglotant, je gémis pitoyablement. Sous l’ardente douleur de l’enculement, je me crispe, ce qui en fait augmente la douleur de la pénétration. Impassible, incompressible, le gode continue à percer mon fondement. Je sens le lent glissement du phallus dans mes entrailles torturées.
Puis, sous une poussée plus forte, plus impérieuse, Valérie réussit à faire pénétrer la totalité de l’engin au sein de mon cul rétif.
Délaissant mes fesses, elle me caresse le dos tout en reprenant son souffle.
Je m’apaise au fur et à mesure que mon anus dilaté à l’extrême s’habitue au monstrueux envahisseur.
Les cils mi-clos, j’aperçois Gilles, de nouveau en érection (certainement son instinct animal) qui se fait sucer par Nathalie.
Solidement ancrée, se sachant inexpugnable, Valérie agrippe mes fesses et s’anime lentement dans mon étroit fourreau, tendu à craquer, me laissant déguster la savoureuse souffrance.
Un bruissement humide et gluant accompagne les sorties et rentrées du gode dans mes entrailles chaudes.
Les spectateurs hommes se masturbent au spectacle obscène de cette saillie, avec cette pine factice qui disparaît puis reparaît dans mon cul rond et musclé offert à Valérie qui m’encule gaillardement.
Une volupté inconnue s’insinue dans mes fibres les plus intimes. Je sens à travers la mince cloison de mon sexe, où Valérie vient de glisser un doigt, le frottement délicieux et puissant du gode qui m’encule puissamment.
L’anneau musclé de mon anus, pourtant écartelé au maximum, et la chair brûlante de mon rectum se serrent convulsivement sur le vit qui les pénètre comme pour le retenir.
Sans même m’en rendre compte, je tends maintenant mes fesses au-devant du ventre qui les claque.
Je ne sens presque plus la douleur sourde de mon petit trou meurtri, mais seulement la chaleur affolante des incessants va-et-vient qui, à travers les muqueuses délicates, gagnent ma vulve et font bander mon clitoris.
Je me donne entièrement, totalement, à la femme qui me possède par le cul. Je n’aspire plus qu’au spasme qui me délivrera de mon excitation. Je le sens venir et mes gémissements sont remplacés par des râles de bonheur.
Sous les va-et-vient plus puissants, je serre mon conduit anal sur la verge factice qui est maintenant entrée jusqu’au tréfonds de mon ventre, et, dans un sursaut de tout mon être, je pousse une longue plainte roucoulante et m’écroule, terrassée de fatigue et de volupté.
Valérie, excitée par les heurts de la rondelle terminale du gode sur son clitoris exacerbé, jouit à son tour.
Quand je suis de nouveau revenue à la réalité, d’autres hommes me font l’amour ou me sodomisent au gré de leur fantaisie ou du désir qu’ils ont de moi.
Une femme me fesse longuement, puis s’amuse à me gifler la vulve, me faisant me tordre à nouveau avant de jouir sous cette implacable correction.
Je suis vraiment totalement soumise, du moins je le crois.
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