Le nouvel amant de poche (suite et fin)
par
popularité : 1%
Récit de Philippe
Maîtresse Cécile et Jacques partis, je reste seul à l’étage avec Caroline. Quand j’ai achevé mes ablutions et douche, je sors de la salle de bains.
Surprise : Caroline, nue comme la main, assise sur une chaise à haut dossier, me reluque de haut en bas, a une moue approbatrice, dit :
— J’espère que tu n’as pas oublié que je te dois une fessée. Comme nous ne sommes pas pressés, réglons tout de suite nos comptes…
Je reste immobile sur le pas de la porte, croyais à tort qu’elle avait oublié la punition promise. Que nenni !
— … Allez, viens te mettre à plat ventre sur mes cuisses. A moins que tu préfères que je vienne te prendre par la main…
Je songe un instant à m’enfuir, mais ce serait peine perdue, surtout que la maison est isolée.
J’avance vers Caroline à petits pas alors qu’elle m’exhorte en agitant ses petites mains :
— … Ne traîne pas, ça ne changera pas la sentence.
Quand je suis tout près d’elle, sa petite main s’agrippe à mon bras droit, me tire vers l’avant avec une force inattendue vu sa petite taille et sa minceur.
Je protège ma chute en posant mes mains sur la moquette du sol pendant qu’elle me dispose à sa guise : prend ma bite en très légère érection dans sa main, décalotte le gland, l’emprisonne entre ses cuisses qu’elle serre.
Sans perdre de temps, Caroline me ceinture de son bras gauche et sa petite main droite percute ma fesse droite.
Je comprends illico que je risque d’avoir mal aux fesses. La percussion manuelle produit un bruit clair.
La fessée prend son rythme de croisière, façon de parler.
Sa main qui me paraissait petite, pas trop solide, est au contraire puissante, musclée.
Très vite, sous les puissantes volées claquantes, je remue mon cul qui soubresaute sur les cuisses nues de Caroline. Cela doit l’exciter car elle commente :
— Ah ! Il y a de la place pour les claques sur ton petit cul. C’est très agréable de fesser d’aussi belles rondeurs. Sens-tu bien comme je te les échauffe ?
Je me garde de répondre, serre les dents et lèvres pour ne pas la régaler de mes cris. Jambes battantes, pédalantes, je m’agite de façon convulsive sur les cuisses de Caroline, tandis que mon cul s’élève, s’abaisse en cadence, se contracte et se détend, roule, bondit, s’offre et s’efface tour à tour.
Ma bite bande de plus en plus entre les cuisses serrées de ma fesseuse. Une claque peut-être plus forte me laisse échapper un cri, vite suivi d’autres :
— Aaaaaaaye !... Pluuuuuuus… La fesssssssée !... Asssssssez !... Ça fait trooooooop… Maaaaaaal !...
Un soupir de satisfaction jaillit de la bouche de Caroline :
— Bien !... Je croyais que tu allais garder bouche close pendant toute ta fessée.
Elle m’alloue dans l’instant des claques plus violentes, virulentes qui cinglent, froissent, mon derrière palpitant de douleur.
De plus, malgré moi, avec ma bite serrée dans les cuisses nues, je crois que je ne vais pas tarder d’éjaculer.
Caroline le devine, cesse illico de me fesser, caresse mon cul rouge pivoine, dit :
— Tu ne vas pas jouir seul ! Allez, va te rafraîchir la figure et reviens vite me faire l’amour.
Une fois débarbouillé, je garnis mon sexe d’un préservatif.
A mon retour, Caroline est allongée à plat dos sur le lit, cuisses ouvertes, m’offrant son sexe, dépourvu de toute pilosité, déjà mouillé.
Je ne prends pas de gant, m’allonge au-dessus d’elle, la pénètre d’un seul coup de rein.
Nos corps s’unissent parfaitement.
Que va dire Cécile à son retour ?
Ça c’est une autre histoire.
ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
d’accéder à la galerie photos privée de RdF.
OFFRE DECOUVERTE (code valable 2 fois seulement)
Commentaires