Cinéma -2-
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Même Claudine n’osa pas pousser le moindre cri tant que Françoise ne fut pas arrivée. Quand enfin la jeune femme entra dans la pièce, Carlos se précipita vers elle et la gifla violemment.
— Espèce de conne, j’avais dit blonde de la tête aux pieds. Tu peux me dire ce qu’on voit là ?
— Heu ! Elle est brune. Excusez-moi monsieur Carlos, mais j’ai complètement oublié cette partie de son corps.
— Dépêche-toi et arrange-moi ça de suite.
La jeune femme courut chercher son matériel, revint deux minutes plus tard avec ses accessoires de coiffure et entreprit de teindre les poils du pubis de la jeune actrice qui naturellement ne se laissa pas faire, mais y fut contrainte par deux solides gaillards qui l’immobilisèrent pendant que Françoise la transformait en blonde intégrale.
Pour teindre la petite toison, la maquilleuse dut mettre une main entre les cuisses de Claudine, Françoise retira vivement sa main, regarda longuement la jeune actrice qui se mit à pleurer de plus belle puis, elle se tourna vers Carlos et l’appela.
— Monsieur Carlos, il faut que vous veniez voir ça.
— L’homme s’énerva.
— Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a encore ?
Françoise tendit sa main vers le réalisateur.
— Regardez !
— Bien oui qu’est-ce qu’elle a ta main !
— Elle est trempée et pas avec mon produit de teinture, c’est de la mouille. Cette salope mouille comme une fontaine, ça lui coule sur les cuisses jusqu’aux genoux. Elle est peut-être contrainte de subir vos fantasmes de réalisateur, mais ça l’excite.
Carlos regarda Claudine avec un fin sourire.
— Alors là ma belle tu me scies. Il va falloir que je réfléchisse à une autre évolution de ton personnage.
Il se tourna vers les hommes qui attendaient son feu vert pour la suite du tournage.
— On reprend le tournage dans un quart d’heure, leur dit-il.
Françoise termina la teinture des poils de Claudine pendant que les techniciens reprenaient leur place. Puis, ce fut au tour des acteurs de revenir reprendre le tournage des scènes suivantes.
Le scénario original prévoyait un viol de la résistante par des soldats qui devaient se relayer pendant une heure à la baiser ou à l’enculer tandis qu’elle se débattait comme une forcenée sans pouvoir rien éviter.
Il lui fallut quelques secondes à Claudine pour se rendre compte que les acteurs n’allaient pas se contenter de simuler les pénétrations. Elle fut effarée de voir les hommes sortir leur sexe dressé et hurla comme une damnée quand elle sentit des doigts manipuler son clitoris et les lèvres de sa vulve. Se démenant comme une folle, tentant par tous les moyens de se soustraire au viol qu’elle allait subir, Claudine hurla sa détresse, supplia et menaça en vain.
Quand le premier sexe se fraya un chemin dans son vagin, elle hurla son désespoir, mais, dans un sursaut de dignité, elle parvint à faire sortir la queue qui avait pris possession de son intimité.
— Monsieur Vacos, elle bouge de trop. C’est une vraie furie.
Le réalisateur s’approcha en souriant.
— C’est parfait ! Continuez ! Si cela devient trop difficile de la baiser, on lui attachera les pieds et on la calmera autrement. N’oubliez pas que vous êtes des soldats du Reich qui doivent faire avouer une terroriste, ne la ménagez pas. Allez, on tourne !
Claudine continuait à hurler sa désapprobation en invectivant les participants à la scène.
— Vous allez tous finir en prison, je vous le garantis. Je vous en supplie, arrêtez et libérez-moi, je ne dirai rien, je vous le jure.
Carlos s’approcha de la malheureuse actrice.
— Continue comme ça, ma chérie, tu es parfaite.
— Je vais vous tuer, je le jure.
— Mais oui, c’est ça, ricana Carlos.
Deux soldats attachèrent ses chevilles à des cordes qui furent tendues pour maintenir ses jambes écartées et faciliter la tâche de ses violeurs.
Comme Claudine continuait à se débattre, un des soldats attrapa un fouet et cingla plusieurs fois les fesses de la malheureuse qui hurla de plus belle, mais dut finir par laisser les soldats se succéder pour la baiser en lui malaxant les seins sans ménagement. Certains mordant ses mamelons en se démenant dans son ventre. LIRE LA SUITE
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