Caroline
par
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Chapitre 11 – La femme du maire
La femme du maire prend un plaisir certain de me précéder dans la grande salle de réception. Elle s’amuse à tirer sur la laisse à chaque fois qu’elle veut me faire avancer plus vite. Je serre les dents pour ne pas hurler à chaque traction de la laisse qui allonge mes pauvres petits tétons. Les larmes coulent de mes yeux, je commence à ne plus voir les gens autour de moi que flous.
Une serveuse présente un plateau rempli de verre de champagne et la femme du maire en profite pour en prendre directement deux qu’elle place dans mes mains.
— Tu as intérêt à ne pas les renverser si tu ne veux pas être victime de ma colère, me dit-elle en souriant.
Franchement, vu mon harnachement, je ne vois pas comment je vais pouvoir tenir les verres pleins, il lui suffira de donner un petit coup sur la laisse et je vais immanquablement faire tomber le champagne sur le sol. Ce qui ne manque pas d’arriver dans la minute qui suit.
La femme du maire appelle une serveuse.
— Apporte-moi une cravache, lui dit-elle sèchement.
— Bien madame !
Je sais que c’est pour moi et j’ai peur.
Nous sommes entourées d’une grande partie des invités qui viennent se rendre compte de mon harnachement. Certains s’amusent à bouger la chaîne de la laisse juste pour voir mes contorsions pour éviter l’étirement de mes mamelons.
Quand la jeune serveuse revient avec une longue cravache de dressage, la femme du maire demande à ses amis de reculer et je me retrouve seule au centre d’un cercle d’hommes et de femmes. La jeune femme lève son bras et abat la cravache sur mes fesses. Naturellement je me cabre sous la douleur en poussant un cri de souffrance. Les fesses ne me font pas vraiment mal, mais ce sont mes seins qui m’occasionnent la plus grande douleur parce qu’instinctivement j’ai tendu les chaînes qui relient mes poignets à mes mamelons et les pinces ont étiré les petits boutons de chair.
Les invités de Mamadou se sont rassemblés autour de nous et ils forment un cercle dont je suis le centre. Il y a des flashs d’appareil photo et, du regard, je cherche désespérément mon mari.
Il faut qu’il arrête les photos, je ne veux pas me retrouver dans cet accoutrement sur Internet ou même dans les ordinateurs de vieux malades du sexe. Malheureusement cela ne semble pas gêner mon cher et tendre qui se recule même pour permettre à un des photographes amateurs d’avoir un meilleur angle de prise de vue.
De toute façon, je n’ai plus vraiment la possibilité de faire la fine bouche, la femme du maire continue de me frapper les fesses avec sa cravache et je dois faire attention de ne pas m’arracher les tétons. Heureusement pour moi, les coups de cravache ne sont pas violents et sont supportables, c’est surtout mon ego qui en prend un bon coup d’être exhibée de cette manière devant mes amants et amis.
Mamadou s’approche de la femme du maire et tente de la calmer.
— Arrêtez, elle doit encore servir pour un petit spectacle dans une bonne heure. Ne l’abîmez pas.
— Vous remarquerez que je n’ai pas frappé trop fort. Mais vous avez raison, il faut qu’elle garde des forces.
Elle se penche vers moi et retire les petites pinces de mes tétons. À peine les mâchoires sont-elles ouvertes que je pousse un long feulement de douleur. Les pinces font mal trois fois, quand on les met, pendant qu’on les a surtout si on y touche, mais ce n’est rien à côté de la douleur que l’on ressent quand on les enlève et quand le sang essaye de frayer un passage dans les petites veines qui ont été compressées un long moment.
Je pousse à nouveau un cri de souffrance quand la jeune femme s’amuse à masser mes mamelons entre ses doigts. Longuement elle les fait tourner entre ses doigts et je dois serrer les dents pour ne pas crier.
Mamadou claque des doigts et immédiatement deux serveuses se présentent à lui. Il ne parle pas et se contente de me désigner. L’une d’elles me prend par le bras et m’entraîne vers la petite salle où j’ai été accoutrée de cette manière.
Très vite, je suis débarrassée de mon harnachement et couchée sur une table de massage.
Une des serveuses prend un petit bidon d’huile parfumée et commence à en verser sur mon corps tandis que l’autre pose ses mains sur mon dos et me masse longuement. Tout mon corps y passe, la jeune femme insiste lourdement sur mes seins et mon ventre.
On me laisse me reposer un long moment avant de m’habiller comme une bourgeoise avec des dessous chics, un chemisier et un tailleur. Je passe une bonne demi-heure à me faire maquiller et coiffer d’une perruque blonde.
Dès que je suis prête, la jeune femme qui me maquille pousse sur un bouton et moins d’une minute plus tard deux hommes entrent. Je les reconnais immédiatement, ce sont les deux noirs qui ont officié lors de mon premier passage chez Mamadou. Ils ne sont pas plus vêtus que la première fois, juste un pagne qui couvre leur sexe.
Ils m’accompagnent vers une petite pièce qui doit donner sur la grande salle, car j’entends un brouhaha de voix de l’autre côté de la porte. Nous attendons un long moment devant la porte. Ce n’est que lorsqu’une petite lampe, placée au-dessus du chambranle, s’allume que les des sbires de Mamadou m’attrapent par les bras et me poussent sans ménagement dans la salle. LIRE LA SUITE
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