2- Emmanuelle B ou comment une jeune bourgeoise bcbg est devenue au fil des années, des rencontres une véritable salope, une femelle accro au plaisir, à la jouissance.
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J’ai aussi en mémoire ce stage que j’ai fait à Cosne….C’est sans contredit l’évènement le plus marquant de ma vie, de ma transformation de jeune fille bcbg en salope et en accro de la jouissance. Je le raconte, au meilleur de mes souvenirs, et comme ça s’est passé. Encore ici, je veux avertir les lecteurs que des propos pourront en choquer quelques uns. Mais je me dois de poursuivre mon introspection, de connaitre le cheminement qui a fait de moi ce que je suis aujourd’hui…..une vraie pute…une femelle accro de la jouissance ! Et c’est lors d’un stage que j’ai fait à Cosne sur Loire que s’est produite ma transformation la plus radicale, et cela hors de tout doute !
C’était un vendredi. Je m’en souviens comme si c’était hier.
Tant de chose ses sont passées. Tant de chose, de faits m’ont alors marquée. Si je suis la salope que je suis, si je dois jouir pour continuer de vivre c’est beaucoup entre autre à cause de cette expérience que j’ai vécue lors de mon premier remplacement à Cosne sur Loire.
J’avais terminé mes études en fac et j’avais besoin d’un grand bain dans la vie active loin de la famille, alors j’ai sauté sur ce remplacement de 3 mois
Mon prof préféré à la Fac, M Philippe m’avait suggéré ce stage à Cosne sur Loire.
« Tu verras Emmanuelle, tu adoreras. Les dentistes sont très bien et de chics types. Il y a les Drs Jean-Jacques, le plus âgé, mais d’une telle compétence en particulier en chirurgie. Il y a aussi Dr Bernard très fort en endodontie. On était de la même promo à la Fac et on est toujours demeuré de très bons amis. Il y a aussi Dr Thierry qui est titulaire d’un diplôme américain de parodontologie et bientôt enseignant ici. Tu trouveras un plateau technique exceptionnel et des assistantes compétentes, même si la plus ancienne Thérèse est capable d’autoritarisme et d’aspect revêche (elle protège soigneusement ses trois docteurs, attention à ce que tu lui diras !) Ca fait tellement de temps que j’y vais ! »
« Je leur ai parlé de toi, de ton talent…et de tes charmes…… »
Emma rougit en entendant ces derniers mots…
« Mes charmes se dit-elle ? »
— Professeur Philippe, vous blaguez ? Je suis et je me considère très ordinaire et dans mon cours il y en avait de bien plus jolies que moi.
« Non, sérieusement Emmanuelle, je t’ai toujours trouvée très différente des autres filles de la fac…J’aime ton allure. J’aime ta façon d’analyser les problèmes, avec ton petit nez retroussé. J’aime aussi ta façon très classe et très simple de te vêtir. Tu ne fais pas vraiment le type de la dentiste professionnelle, tu sais ! »
« Euh….euh…Professeur Philippe, je vis comme je sens que je dois vivre. Et j’aime aussi les jolis vêtements. Je me sens mieux et je pense vraiment que je fais un meilleur travail quand je suis bien à mon aise dans ce que je porte. Je sais bien que ça rend certaines filles un peu jalouses. Je sais aussi que plusieurs collègues aimaient bien faire des labos avec moi. Et plus d’une fois j’ai senti leur regard insistant…Mais je vous jure que jamais je ne l’ai fait exprès Professeur. Jamais ! C’est ma façon naturelle d’être. Je suis comme ça depuis que je suis toute petite. Déjà en 5ème et en 6ème, je voulais toujours m’habiller pour que je me sente bien. Et je me sens bien quand je me sens belle. Et quand je me sens belle….ben…faut croire que d’autres me trouvent aussi belle !.... Que je lui dis en éclatant de rire ! »
« Oui, j’ai bien vu ton armée de soupirants et ce depuis ton entrée à la Fac…et je dois dire qu’ils n’ont pas tout à fait tort ! »
Je rougis quand le professeur Philippe me dit ça……Il est bel homme et il a toujours été si gentil avec moi. Grand, les traits bien définis, anguleux les yeux noirs, très noirs, d’un chic fou. Ce qu’il a dû en faire pleurer des minettes quand il était plus jeune…et même maintenant, avec des étudiantes (il ya des bruits qui courent sur des réussites surprenantes à des écrits !!)
J’ai toujours l’impression qu’il peut voir au travers de mon linge, qu’il devine ce que je pense….Et il m’a toujours attiré, dès mes premiers jours à la faculté. Il est marié. Il a 3 enfants et on dit de sa bonne femme que c’est tout le contraire de lui. Dans notre discipline dentaire le nombre de divorce pour prendre une jeunette , assistante ou étudiante ! Mais si j’ai du respect et soupçon de tendresse pour lui, je ne me vois pas faire « l’affaire »
Ces idées m’effleuraient l’esprit alors qu’il me regardait en souriant.
Devine-t-il ce que je pense que je me dis ?...Il y a un trouble qui s’installe en moi….Et pourtant, jamais il ne m’a fait aucune approche. Jamais il n’a tenté de me tasser dans un coin, ou de me pelotter ou de se frotter sur moi.
Pas du tout comme le prof Didier, un gros puant avec des doigts graisseux et qui a tellement de fois tenté de me….Tiens la première année, il m’avait au bout d’un mois fait venir à son bureau après les cours, question de me donner un coup de mains !!
Oui, quel coup de mains…
On était assis dans son bureau. Je me sentais toute petite devant lui. J’avais ce jour-là une robe qui m’a alors semblé tellement petite. Et il me zyeutait. Et je tentais de rabaisser le bord de ma robe sur mes genoux. Mais elle était courte…et sans vergogne, il s’arrêtait de parler, et fixait mes genoux croisés que je m’efforçais de garder bien serrés. Et j’avais aussi remarqué au bout d’un certain temps que son bras droit, derrière son bureau bougeait….Je n’osais trop regarder. Entre chaque question sa respiration devenait plus sifflante….ses mouvements s’accéléraient…..Je me souviens que je m’étais alors dit que le vieux cochon se branlait devant moi, caché derrière son bureau !!! J’étais alors restée bouche-bée ! Je voulais quitter son bureau et je me préparais à me lever.
« Reste assise Emmanuelle….j’ai encore d’autres conseils à te donner. »
Et il s’était levé de son gros fauteuil pour venir me rejoindre !!
J’étais terrorisée. Je n’osais le regarder dans les yeux. J’avais cependant remarqué, dès qu’il s’était levé la grosse bosse que devait faire sa queue dans son pantalon…et sa chemise était à moitié sortie de celui-ci !
En s’approchant de moi, il avait fait un geste pour remettre sa chemise en place en me regardant droit dans les yeux.
« Tu penses que tu m’excites gros porc que je m’étais dit…Viens….Montre-moi !!!…mais fais gaffe à Emma….si tu te sors la queue mon bonhomme, je te flanque un coup de genou dedans….Tu verras bien…que je m’étais dit….. »
Et en passant derrière mon fauteuil, en se penchant sur mon décolleté, il avait négligemment posé sa paluche sur mon épaule. Je l’avais délicatement et calmement pris entre pouce et index et soulevée, et ôtée de tout contact avec mon épiderme et mes vêtements avec un air de dégoût pincé (j’étais à deux doigts d’hurler) , il avait coupé court à notre rencontre très rapidement. Je l’avais entendu alors mettre le verrou dans sa porte….Et curieuse comme je suis, j’étais restée toute proche. Personne dans le corridor. Je m’étais approchée plus près de la porte…Toujours personne….J’avais collé mon oreille sur la porte….
« Petite salope d’emma….tu as voulu m’exciter puis tu as changé d’idée, que je l’ai entendu grommeler, pester…Et bien tiens je vais te foutre ma grosse queue dans ta bouche et tu vas me la sucer….. »
Et je l’entendais gémir. J’étais sûre qu’il avait baissé son pantalon et qu’il se branlait en me parlant comme si j’étais là…
« Allez salope suce moi ma queue….et puis ouvre moi tes jambes que je te vois tes trous de salope pour y fourrer ma grosse bite dure…. »
Et il gémissait encore plus fort…..
Je surveillais le corridor, mais j’étais attentive à ce qui se passait de l’autre côté…attentive…et bientôt incapable de décoller mon oreille…..et avec cette chaleur qui avait envahi mon bas-ventre…cette chaleur que je connaissais bien….
« Merde ce vieux salaud m’excite et me fait mouiller que je m’étais dit…Allez enfonce-la ta grosse pine sale dans ma fente, vieux porc !!…Fourre moi….que je me disais dans ma tête alors que je l’entendais gémir ! »
….Et ma chatte gonflait…je le sentais…et mon clito me suppliait d’y toucher…
Et puis un grognement……..le vieux salaud jouissait.
« Emmanuelle, je me vide de mon foutre dans ta chatte de salope…allez prends le tout… »
J’étais toute rouge et ma main avait commencé à frotter le mince tissu de cette trop courte jupe.
Mais j’entendis alors des voix dans le corridor. Ça m’a aussitôt refroidie. Et je me suis sentie surprise d’avoir été excité par ce vieux cochon.
J’ai quitté son bureau, mais mes talons faisaient un peu de bruit…et avant que je tourne le corridor, j’ai entendu la porte de son bureau s’ouvrir… LIRE LA SUITE
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