Esclaves du harem à l’entrainement
par
popularité : 4%
1 – Une lesbienne et son esclave
2 – Un jouet pour la sieste
3 – Une esclave pour les Dubois
4 - Exposée
5 - Monique suit une formation sexuelle
6 – Les amuseurs
7 – Sur la roue
8 – Qu’allons-nous faire de Maria ?
9 – Les disciplines d’entraînement physique
Traduit de l’anglais par Henic
Prologue
L’emplacement de cette série unique d’histoires illustrées est le harem de Qas-Qatar. C’est un centre dédié au plaisir sexuel, secret et hermétiquement gardé, situé dans les terres perdues d’Arabie. Il a été créé et conçu pour être utilisé par les riches cheiks du pétrole et d’autres hommes d’affaires aisés, et il se spécialise en la fourniture pour leur plaisir de charmantes jeunes femmes blanches.
Ces filles sont enlevées par un Syndicat de l’Esclavage international et proviennent de toutes les parties du monde. Les évaluations de ces femmes remontent annuellement jusqu’à Qas-Qatar et elles sont très prisées. C’est un commerce onéreux mais les clients ont largement les moyens de payer pour leurs plaisirs !
Il est compréhensible que les filles soient terrorisées à leur arrivée. En partie du fait de l’étrangeté de leur nouvel environnement mais surtout lorsqu’elles sont informées de la vie qui les attend désormais. Celle-ci leur est expliquée par la surveillante en chef du harem - Frau Keller - une Allemande de forte constitution au début de la quarantaine. Elle déclare habituellement à une nouvelle arrivante :
« A partir de maintenant, le seul but de ton existence est de plaire et de satisfaire tout homme, ou tous les hommes, à qui tu es donnée… quelle que soit la manière dont on l’exige de toi. En effet, tu es devenue une « chose à trous » qui est mise à la disposition des caprices ou des désirs de ceux à qui tu es fournie pour leur jouissance. »
C’est là une déclaration vraiment terrifiante pour toute jeune femme qui l’entend et, évidemment, une déclaration qui provoque intense indignation, résistance et rébellion. Cependant, Qas-Qatar est bien équipé pour traiter ce genre de réactions… et il s’y trouve des hommes et des femmes qui sont experts dans l’art de la « persuasion ».
Pour commencer, une fille fait l’objet d’une « Initiation » dont le niveau de sévérité varie avec la violence de ses réactions à sa situation récemment découverte. Après que la fille s’est remise de son « Initiation », commence son « Entraînement ». Celui-ci prend des formes variées mais comprend des exercices physiques, des exercices répétitifs et bien sûr, un entraînement sexuel.
Il est compréhensible que dès le début d’un tel programme (totalement opposé à sa pudeur naturelle et à tous ses instincts féminins), une fille continue à résister et à se rebeller. A chaque fois qu’elle le fait, elle est punie. Si elle persévère dans son entêtement, ses punitions deviennent progressivement plus sévères. Jusqu’à ce qu’elle soit finalement brisée. Jusqu’à ce qu’elle soit soumise et obéissante quoi que l’on exige d’elle.
Alors, et seulement alors, elle est prête à prendre sa place dans le harem de Qas-Qatar…
1 – Une lesbienne et son esclave
Le harem dispose d’un grand nombre d’appareils d’exercices de divers types, conçus pour briser et torturer les esclaves. Celui qui est montré ici est un tapis de course semblable à ceux utilisés dans les gymnases mais dans le cas présent, l’esclave fournit l’énergie qui met l’engin en mouvement. Le tapis continu est seulement tendu sur des rouleaux bien graissés.
Ce tapis a trois fonctions principales. Les deux premières sont surtout utiles pendant la période d’entraînement initial. Premièrement, il aide les nouvelles arrivantes à atteindre une complète forme physique. Deuxièmement, c’est une forme de punition particulièrement cruelle. Séance après séance, les jambes qui ont mal et les seins nus qui se balancent douloureusement brisent l’esprit des filles, même les plus rebelles. La troisième fonction du tapis, qui est celle qui nous concerne ici, est simplement de divertir les invités.
Mademoiselle Hartwell est une lesbienne de cinquante ans. Elle est régulièrement l’hôte de Qas-Qatar. Elle est américaine et sa fille favorite est également américaine, une fille de vingt ans nommé Debbie. Debbie est complètement entraînée, à présent. Comme les autres, elle est entraînée à servir les hommes et les femmes. Melle Hartwell l’a choisie comme son esclave personnelle pour son séjour au harem, même si elle utilise aussi d’autres filles. Elle punit Debbie avec une canne ou un fouet. Peu lui importe. Elle apprécie particulièrement de punir Debbie pour des infractions imaginaires aux règles strictes du harem. Debbie ne proteste bien sûr jamais. Elle est complètement entraînée.
Melle Hartwell découvre le tapis dans la salle de torture. Elle en voit immédiatement les possibilités. La nuit tombe et Melle Hartwell vient d’entrer dans la pièce obscure. Debbie est debout sur le tapis, surveillée par un géant nommé Roth qui est armé d’un fouet.
« Tu sais pourquoi tu es là, chérie ? Demande Melle Hartwell.
— N-Non… Madame… Répond Debbie dans un sanglot. »
Elle a bien quelque idée, pourtant : ce n’est pas sa première visite. Melle Hartwell sourit.
« Parce que je veux te voir transpirer et voir tes gros seins magnifiques ballotter de haut en bas. »
Elle fait un signe de la tête à Roth qui abat son fouet sur les fesses de la jeune esclave et ordonne :
« Cours ! »
Debbie pousse un cri de douleur perçant et ses superbes jambes mettent le tapis en mouvement. Melle Hartwell s’assoit dans un fauteuil confortable, les yeux fixés sur les seins ballottants et les fesses trémulantes de la jeune fille. La respiration de Debbie s’accélère. Melle Hartwell crie :
« Plus vite ! Plus vite ! »
SWIIIIIIIIISSSSSSSS ! CLAAAAAAC !
« AAAARRRRRRHHHHHHH ! »
Le fouet s’abat de nouveau sur le derrière de la jeune fille et lui mord profondément les chairs. Debbie court plus vite. Elle cherche sa respiration et la sueur coule entre ses seins. Il y a du désespoir dans ses yeux mais aussi l’amère résignation de celle qui sait qu’elle est impuissante entre les mains de cette répugnante lesbienne.
Au bout de quelques minutes, Melle Hartwell se lève, tenant une canne. Elle ordonne à Debbie de cesser de courir et elle met le bout de la canne entre les lèvres du sexe de la jeune fille, frottant durement le clitoris de haut en bas, encore et encore, en de rapides secousses vibratoires.
« Reprends la course ! Tu vas courir jusqu’à ce ton con soit rouge et douloureux ! »
SSSSSSSSLAAAAACCCCC ! CLAAAAC !
« NON ! ARRETEZ S’IL VOUS PLAIT, ARRETEZ !
— Continuez de la fouetter, Roth ! Un coup toutes les vingt secondes ! Et si elle s’arrête, donnez-lui en quelques-uns sur les seins ! »
SWWIIIIIIIIIIIISSSSSSSSSSSSS !
« AAAARRRRRRHHHHHHH ! »
Debbie court. Parfois, Melle Hartwell tient la canne entre les jambes de la jeune fille. A d’autres moments, elle l’enlève et la masturbe avec ses doigts. Pendant ce temps, Debbie ne cesse de courir, ses seins lui font mal et son vagin devient de plus en plus douloureux… Au bout de dix minutes, elle s’effondre, épuisée. Même la caresse du fouet directement sur ses seins ne parvient pas à la remettre sur ses pieds. Melle Hartwell ordonne alors :
« OK. Montez-la dans ma chambre. Enchaînez-la les mains haut au-dessus de la tête et attachez ses pieds largement écartés. Je veux que ce petit con juteux soit bien offert. Je peux le rendre bien plus rouge et douloureux qu’il ne l’est. Prêtez-moi votre fouet. Je vais d’abord la fouetter, puis la canner, et ensuite, je la lècherai mieux… ! » LIRE LA SUITE
ZONE ABONNES L’abonnement vous permet :
d’enregistrer et d’imprimer l’intégralité des textes publiés de manière illimitée durant la durée de votre abonnement,
d’avoir accès à certains récits dont la teneur ne permet pas une large publication,
(NB : Si vous êtes déjà en possession d’un pass, entrez-le, selon le type de votre abonnement, dans une des 2 zones prévues ci-dessous pour accéder à la partie privée de RdF)
OFFRE DECOUVERTE (1 jours) | ABONNEMENT 7 JOURS | ABONNEMENT 15 JOURS | ||
---|---|---|---|---|
ABONNEMENT 1 MOIS |
ABONNEMENT 3 MOIS |
ABONNEMENT 6 MOIS |
SE DESABONNER |
OFFRE DECOUVERTE (code valable 1 jours seulement)
Commentaires